Introduction Protectionnisme

.) sont considérer comme des industries naissantes et fragiles, et donc retour au mesure protectionnistes par des barrières douanières (la France, la Russie…) et la Grande Bretagnes (leadership) vers la fin de la 1ère guerre mondiale, et ce protectionnisme va durer jusqu’à la fin de la 2ème guerre mondiale. Après la 2ème guerre mondiale, il y a eu un développement quasi exponentiel des échanges internationaux  favorisé par les mesures institutionnelles ou le nouveau leadership (USA) met en place

Chicago et Liverpool se réduit de 58 à 16%) qui marque la formation d'un véritable marché mondial. => spécification => certaines industries nationales sont délaissées, car c'est moins cher d'importer => pour y échapper => droits de douane, protectionnisme 2. Un système commercial centré sur l'Europe L' Europe occidentale exerce un rôle moteur dans le dynamisme du commerce mondial tout au long du XIXème : importation à 80% de matières premières nécessaires à son industrialisation (coton,

esprit républicain (Waldeck Rousseau) + libertés des mœurs, droit du divorce (Alfred Naquet) . Impôt scolaire importante, école laïque, enseignement des filles avec 1er lycée de jeune fille (Camille Sée ) Période marquée par le retour du protectionnisme, (Méline 1892) des convulsions : grande dépression de 1883 avec la crise politique discrédit du personnel politique avec Panama ET le général Boulanger en 1886. La crise avec l'affaire Dreyfus. Période marquée par la conquête coloniale, Jules

royal s’est combiné Le mercantilisme n’est pas libéral, c’est le mercantilisme interventionniste (il agit dans l’éco pour la rendre politiquement plus puissante). L’objectif du mercantilisme est d’emmagasiner l’or et l’argent, implique le protectionnisme, limiter les importations, suppose de substituer aux importations la production nationale, former des compagnies commerciales. Dès cette époque on a réalisé que si l’on colonisait des terres nouvelles cela permettrait d’augmenter les ressources

tandis que l'épargne est productive car celui qui épargne permet à d'autres d'investir. Celui qui thésaurise prive au contraire les autres des ressources qu'il accumule.] Pour parvenir à ce but, l'Espagne a recours à l'interdiction, puis au protectionnisme. B – Le mercantilisme français Le mercantilisme français est représenté par des hommes tels que Jean BODIN (1530- 1596), Antoine de MONTCHRESTIEN (1575-1621) et Jean Baptiste COLBERT (1619- 1683). Il s'agit d'enrichir l'État, mais cette fois

chargé de réguler le commerce international et d’offrir les mêmes règles pour tous. Cet organisme a installé son rôle sur le principe simple du libéralisme économistes en réduisant toutes les formes d’entrave aux commerces et en supprimant le protectionnisme de fait. Seul véritable problème : les pays membres respectent très peu les principes édictés et donc l’’OMC voit ses règles bafouées. Au niveau mondial est apparu le modèle du libre échange il permet d’ouvrir tou les pays aux échanges commerciaux

gagner important de recettes fiscales. La suppression des barrières douanières : La suppression des barrières douanières est une exigence en matière de commerce international, elle vise à supprimer toute discrimination ou tout protectionnisme pouvant résulter de l’application des impositions intérieures des Etats et garantir de ce fait : « la parfaite neutralité de l’impôt »[1] Les accords imposent donc aux parties deux types d’engagements : le premier est de ne plus instituer de

essentiellement à développer les exportations de produits manufacturés et à limiter les exportations de produits agricoles et de matières premières. 2. La limitation des importations : On cherche à limiter le volume des importations par un fort protectionnisme → des droits de douane important et l’instauration de règles diverses contraignantes pour les importations. B. L’abondance des hommes est souhaitée Les mercantilistes étaient populationnistes et on insiste ici sur le caractère productif de

sont étroitement liées à l’économie américaine, d’où le diffusion rapide de la crise 1. Une crise économique On assiste à une contraction des économies -Diminution de la production industrielle, des échanges commerciaux, des importations et protectionnisme des économies : elles se replient sur elles-mêmes et les métropoles coloniales sur leurs empires : le bloc de préférence impériale -« La crise nourrit la crise » 2. Une crise sociale profonde Mécontentement des populations face aux politiques

produits arrivés dans le Royaume, ils sont vendus moins cher que les produits locaux, entraînant ainsi de grosses pertes pour les opérateurs nationaux. De surcroît, certains parmi ces pays ne respectent pas les règles mutuelles et exercent un protectionnisme déguisé sur leurs marchés locaux. Le Maroc perd alors sur deux fronts : l’import et l’export. A cela, s’ajoute la fixation par ces pays-là de taux monétaires non adaptés à la réalité du Maroc. Pour remédier à ce déséquilibre, les mêmes mesures