Intériorité Du Personnages

Le personnage de théâtre Le comédien est passé, dans le monde occidental, d’un statut de quasi paria, pratiquant un métier par nature immoral, à celui d’une icône de la culture populaire. Le personnage de théâtre : (du latin Person, « masque de théâtre ») Personnage fictif incarné par un acteur, se définit par son action, son discours, sa présence sur scène. Le lecteur-spectateur ne peut avoir, comme dans le roman, accès à son intériorité. « Devenir » le personnage L’effet de la présence

Le Personnage Romanesque I. Personne et Personnage Un personnage : * Représentation d’un être vivant * Être de papier / Être fictif * Animal emblématique du fonctionnement humain (comme dans Les Fables de Lafontaine) * Un humain qui se transforme en animal (Les Métamorphoses d’Ovide) II. Désignation et caractérisation Nom : L’onomastique : la science des noms, l’étude des noms propres. * Le nom présente des dénotations objectives (renseignements précis comme la catégorie

intolérance on a traité de monstre à partir du 13e siècle les païens et les hérétiques. -un être particulièrement grand par sa taille ex : monstres marins. -par exagération : un être très laid mais pas difforme. -l’expression « un monstre sacré » ex : personnage célèbre, hors du commun, avec une gloire mythique. Le mot monstre est plus employé pour les êtres difformes, car on sent qu’il y a une articulation particulière derrière, connotation morale péjorative qui est toujours présente et nous empêche de

de geste mais adouci par la courtoisie qui refuse la violence des batailles (présente dans la Chanson de Roland lorsque sa cervelle gicle). Romans populaires : Personnages d’origine modeste (Aucassin et Nicolette) ou des récits plus proches du conte ou de la fable (ex : Le Roman de Renart) « populaire » se rapporte aux personnages et non aux lecteurs qui restent de toute façons des nobles ou des bourgeois riches lettrés et éduqués. Roman chevaleresque : Le monde médiéval représenté dans le

se met en place, multipliant l’illusion théâtrale. Genest, le personnage central apparaît ici dans ces multiples fonctions de comédien, mais aussi de metteur en scène. Se met dès lors en place une réflexion multiple et en miroir sur l’enchâssement théâtral, l’illusion dramatique. Pour dégager cet enjeu, c’est tout d’abord l’illusion théâtrale, qu’il s’agit d’interroger pour ensuite comprendre le fonctionnement en miroir du personnage de Genest. I) L’illusion théâtrale :  A° La décoration :

projetiez-vous en venant ici, à quoi pensiez-vous, que voulez-vous ? - En principe, on réserve cependant le terme à ce qui n’est pas humain. On est censé traiter les hommes comme des sujets et non des objets ! Car les objets sont considérés sans vie, sans intériorité. Objectivité * C’est l’attitude consistant à s’en tenir à ce qui est propre à l’objet. Est objectif, celui qui met sa subjectivité entre parenthèses, en recul et qui se met au service de l’objet pour le décrire, le comprendre

amie. Devant des inconnus, elle est un peu timide et procure ne leur parler pas trop. Elle obéit et doit suivre les désirs de ses parents: être la fiancée d’Anatole. D’un autre côté, c’est-à-dire, dans une séquence simultanée, deux nouveaux personnages sont présentés. Il s’agit des deux canotiers, des habitués au restau- rant, car ils tutoient M. Poulin et lui parlent de manière aisée. Ils sont jeunes, at- tirants, de bons amis qui ne se ressemblent pas trop dans la manière de concevoir l’amour:

omniscient dans ses romans, soumet ses Personnages à une fatalité déterministe chrétienne. De son côté, Mauriac a conscience de ce que le romancier qui crée des personnages ne peut accéder à la complexité réelle de la vie : c’est un art factice qui découpe la vie. Le « moins pire » serait de se concentrer sur un seul personnage. Le « réalisme subjectif » : Sartre se fonde sur l’idée de « l’intentionnalité » d’Husserl, la conscience n’est pas une intériorité, elle est tout en son dehors : mouvement

traits de shakespeare ( veuve juvenile impertinante )   Montrer que fantasio est le personnage mis en lumière pas Musset.   I. Un personnage protagoniste. a. construction de la scènr b. les relations entre les 2 persos. c. le personnage inscrit le texte dans l'univers de la comédie et complète la scène d'exposition.   1.   I. Un personnage atypique. a. personnage contradictoire b. liberté et insouciance c. tentation de la

et très simple dans sa versification, jouant le rôle d’une ouverture qui annonce les grands thèmes et la tonalité générale du volume : la poésie, la nature, la spiritualité. Le personnage du poète fait son apparition dans cet extrait, comme dans Les Rayons et les ombres : à travers la description d’une promenade du personnage, dans les champs puis dans les bois, l’auteur propose en fait une réflexion sur le rôle du poète. Nous étudierons l’idée que Victor Hugo se fait du poète et la place qu’il accorde