Invasions Germanique

Francs sont un peuple d’origine germanique qui va combler la place laissé par l’empire romain et ce, en exerçant un contrôle dès 554. Cette nouvelle culture est prise en compte par l’Église. Le développement d’une principauté met en cause l’unité politique du territoire. Logiquement, elle appartient à un prince. Quand celui-ci meurt, le territoire est morcelé entre les héritiers mâles de ce dernier. On peut citer aussi plusieurs origines à ce peuple germanique dont : ❖ Les Visigoths.

première moitié du ixe siècle Les Francs sont le peuple germanique qui s’installe et impose leur autorité en Gaule à la chute de l’Empire Romain. On utilise le terme de Royauté Franque pour qualifier les deux premières dynasties : d’abord les Mérovingiens jusqu’au viiie siècle (I) et les Carolingiens jusqu’au milieu du xe siècle (II). La royauté mérovingienne, une synthèse maladroite entre tradition romano-chrétienne et tradition germanique En apparence, la transition est brutale en Gaule entre

akademischen Gebrauche, Leipzig, Veit & comp, 1898). Les Francs sont un peuple germanique, sous la forme d'une confédération de tribus au moment des grandes invasions. Certains d’entre eux jouent un rôle important et central dans l'histoire de France, des Pays-Bas, de Belgique et d'Allemagne à compter de leur implantation en Gaule romaine. Les Francs étaient à l'époque romaine l'un des nombreux peuples germaniques installés sur la rive droite du Rhin, à l'extérieur des frontières de l'Empire

des méthodes employées par les populations barbares (des raids, en rentrant en force, ou des négociations en signant des traités). Ces peuples sont conscients et admirateurs de la culture romaine. Les barbares sont essentiellement des peuples germaniques, slaves voire orientaux. A la fin de l'empire romain au Vème siècle, les combats effectués contres les barbares sont très souvent des barbares romanisés contre des barbares. Les barbares qui s'installent dans l'empire se voient attribuer des terres

droit (pouvoir réagit par le Droit), il crée lui même la règle de Droit. Cela ne peut fonctionner que dans un environnement étatique (au Moyen Age c’est la conception inverse). Cette conception va changer radicalement lors des invasions germaniques au V eme siècle. La primauté de l’Etat sur le droit va laisser place a là suprématie du Droit sur l’Etat. Se renversement de conception va fortement freiner la remise en place d’un Etat fort. Dans cette nouvelle société le Droit ne dépend plus

fondamentaux. Le 1er : l'apport de Rome, ensuite l'apport du christianisme, et l'apport de l'empreinte germano-franque. Ces 3 influences (romaine chrétienne germanique) se st emmelés, mais elles seront étudiées séparément. A l'apport de Rome il est considérable ds de très nombreux domaines, ds le domaine juridique est exceptionnel. Les peuples germaniques installés en Gaulle, n'ont pas pu imposer leur droit, ni leurs institutions, car ils étaient peu nombreux, peu oppressifs. De plus leur droit n'était

sorte de punition, l’ « invasion » des Barbares. « Invasion » = pénétration des barbares. Cette thèse vient de l’évêque Saint Augustin : « La cité de Dieu ». Ici, il pose la question essentielle du pouvoir. ( Le gouvernement de la cité des Hommes doit exercer son pouvoir non pas dans leur intérêt propre, mais pour assurer l’ordre, la paix, la sécurité, la justice. « Que sont des Royaume sans justice sinon de vastes brigandages ? » La prise de Rome par les peuples Germaniques : apparait comme l’expression

anthropisés (perturbés par l'homme). Elle est écologiquement adaptée aux milieux ouverts (donc ensoleillés), aux sols riches en azote (à cause des déjections des troupeaux), caractéristiques des abords de campements. Depuis l’Antiquité, les peuples germaniques cultivaient également le chanvre, au moins pour ses fibres — utilisées pour la fabrication de vêtements et de cordes pour les bateaux. Ainsi, à Eisenberg dans le Thuringe, des fouilles archéologiques ont mis à jour des semis de chanvre à côté de

guerriers prêtent serment à une personne, leur roi. Si celui-ci disparaît, le serment est caduc ; ce qui est à l'origine d'une instabilité du pouvoir. Contrairement à une idéologie qui laisserait croire une unité tribale, les peuples germaniques sont au départ des Grandes invasions du ve siècle une confédération de tribus mêlées qui se choisissent un chef de colonne. Lors de leur sédentarisation, ils sont amenés à légiférer pour que la cohésion sociale entre peuples des territoires et armée de combattants

«fermées» (pronoms, conjonctions...) ne reçoivent que rarement d’ajouts. Cela peut arriver cependant, notamment quand la langue donneuse est une langue de prestige. Le latin de Gaule a ainsi reçu plusieurs mots grammaticaux des langues germaniques après les grandes invasions[]. Cependant, les classes dont on parle sont celles d’arrivée : en effet, il n’est pas rare qu’une langue emprunte, par exemple, un pronom à une autre langue mais pour en faire un nom. C’est le cas de quidam, emprunté au latin. C’est