Inégalités De Revenus Et De Patrimoine En France

Stiglitz proposait une nouvelle approche. Où en sommes-nous ? Que faut-il mesurer ? Et comment Notions et définitions : La richesse :La richesse d’un individu ou d’un pays exprime, généralement en termes monétaires, ses revenus mais aussi l’accumulation de ceux-ci sous forme de patrimoine. La richesse n’est pas seulement un état c’est aussi un flux. Telle ou telle activité est créatrice de richesse lorsqu’elle contribue à la croissance économique. Produire de la valeur ajoutée c’est créer de la richesse

organisations internationales, le confirment. [Le PIB chinois] tournerait aujourd'hui, d'après la Banque mondiale, autour de 1500 milliards de dollars. La Chine se situerait, par son PIB total, au sixième rang mondial, entre l'Italie (septième) et la France (cinquième). Le poids et la place réels du pays dans l'économie mondiale peuvent être appréciés d'une autre manière. Chaque pays a un système et une hiérarchie des prix très différents, c'est pourquoi certains économistes rejettent les comparaisons

société jusqu'à nos jours n'a été que l'histoire de luttes de classes ». En réalité, si la plupart des communautés connaissent effectivement une forme de stratification sociale, autrement dit un découpage en catégories, hiérarchisées par des inégalités sociales de différents types, comme la richesse, le savoir, le pouvoir, le prestige…, les classes sociales à proprement parler ne sont apparues que récemment. Propre aux sociétés modernes, la naissance des classes sociales a accompagné le processus

capital humain est un type de capital particulier, on peut alors admettre que celui ci peut augmenter, s'acquérir, et comme tout capital il comporte un coût auquel doit correspondre l'obtention d'un revenu. Il serait donc nécessaire d'entretenir le capital humain pour pouvoir obtenir et améliorer ce revenu. II – Le capital humain a-t-il une spécificité (par rapport aux autres capitaux). Si on essaye de comparer capital financier, humain, physique (tout ce qui concerne les installations pour produire)

différent. Il s’obtient en rajoutant au PIB les revenus des facteurs en provenance du reste du monde et en déduisant des facteurs versés au reste du monde Chaque année différentes organisations internationales : Le FMI, l’OCDE ou encore l’UE collectent des statistiques harmonisées sur les principales grandeurs économiques au premier rang desquelles l’évolution de la production. La prise en compte de ces données permet d’observer à la fois des INEGALITES et des DESEQUILIBRES dans le temps et dans l’espace

est-elle à l’origine des inégalités et de la précarité ? Pour répondre à cette problématique je vais en première partie définir le revenu des ménages, en deuxième partie, j’énoncerai les inégalités de revenu, et, en troisième partie j’exposerai certaines inégalités entre les hommes et les femmes et la précarité. I. LE REVENU DES MENAGES Il est constitué des revenus primaires (ou directs) et des revenus secondaires (ou indirects, ou revenus de transfert). Les revenus directs contiennent :

proviennent) Certains économistes attribuent ces bons résultats Américain à la politique économie appliqué par le FED. Il faut distinguer le modèle USA du modelé Europe Pendant la décennie 90, on peut voir que le chômage est plus bas aux USA qu’en France, on attribue cela au taux de croissance bien plus haut des USA (ce qui n’a pas toujours été le cas ). On peut voir aussi cela dans l’autre sens , le fait que le marché du travail permette a chacun de trouver un travail permet un fort taux de croissance

(pour corriger des écarts par rapport à l'évolution souhaitée). la redistribution (entre régions, entre acteurs) qui vise à modifier la répartition des revenus. L'intervention de l'État entend favoriser l'émergence des marchés, pallier les défaillances du marché, corriger la rationalité limitée des agents économiques et réduire les inégalités (3) pp. 9-23. 3. Quelle évaluation des politiques économiques ? Les critères de décision : en se donnant une fonction de bien-être social U = f (U1, U2,

1. Les revenus primaires (ou directs) : On l’a vu dans le chapitre 5, la valeur ajoutée (VA) produite par une entreprise et restante après partage auprès de ses clients sous la forme d’une baisse du prix de vente, est répartie entre : - les salariés (salaire net versé et non brut), - l’État sous la forme d’impôts et de taxes mais aussi de cotisations sociales (prélevées sur tous les revenus), - les prêteurs : institutions financières qui perçoivent des intérêts (apporteur de capitaux à long

repose sur un poids considérable des pouvoirs publics que la faiblesse des partenaires sociaux, les syndicats de salariés notamment, interdit finalement de réduire. Malgré un marché du travail qui reste très largement protégé, la France ne parvient pas à corriger les inégalités qui se creusent à chaque décennie écoulée. Au final, la cohésion sociale nécessaire au maintien d’un système de protection sociale se délite sous le poids croissant des prélèvements obligatoires et des chiffres du chômage de longue