Ionesco Quelle Place Pour Le Texte

INTRO: Molière a dit: « Le théâtre n'est fait que pour être vu ». Le texte, essentiellement destiné à la représentation n’aurait aucune valeur propre, excepté quelques oeuvres comme le « théâtre dans un fauteuil » de Musset. De surcroît, dans la Grèce antique, le mot théâtre désignait le lieu où l'on pouvait observer un spectacle. Ce n'est qu'après la Renaissance et donc le théâtre classique, que le terme va concerner aussi la littérature, écrite spécialement pour la représentation théâtrale

| | | |dans les genres de |monde |Livre de littérature p.318 | | | |1e texte : L’incipit - « Les curieux |l’argumentation | | | | | |événements (l.1) ... sur le hasard des |

Le texte théâtral et sa représentation, du xviie siècle à nos jours L'objectif est de faire découvrir des œuvres théâtrales qui renouvellent les formes classiques étudiées en seconde, mais aussi de sensibiliser les élèves à l'art de la mise en scène, notamment dans sa capacité à enrichir l'interprétation. La réalisation scénique déterminant profondément l'écriture des textes dramatiques et permettant d'en faire jouer pleinement les effets, on s'attache à faire percevoir aux élèves les interactions

Français 1eres ES et L Objet d’étude : le théâtre texte et représentation Sujet de dissertation : Le texte théâtral est-il suffisant en lui-même pour monter un spectacle ? Interroger le sujet : -Quels éléments du texte théâtral permettent de monter un spectacle ? Le théâtre est un genre littéraire, en ce sens il est production d’un texte; cependant il occupe une place particulière dans la littérature puisque l’écriture est destinée à la représentation, cf étymologie et origine du genre

théâtre symboliste Point sur le XIX : Théâtre reste une mimésis : représentation de la société et des conflits humains. Après le drame romantique : (La dame au camélia, Dumas = La traviata,) Vaudeville : débute au XVIIIème = opéra comique ; mêle texte parlé et chanté : la pièce comporte des couplets sur des musiques que le public peut reconnaître Opérette en concurrence avec le vaudeville. Elle est plus évoluée, donc plus estimée et fait oublier le vaudeville. Vaudeville réapparaît avec le théâtre

didactique et critique. I- En effet le théâtre permet de se divertir a) La comédie (but > amuser, mais parfois se moquer et donc critiquer, cet argument a-t-il sa place dans cet axe ?) ex : Tartuffe de Molière 1.I b) La recherche dans la mise en scène & jeu d’acteur (donne du rêve au spectateur) ex : « Le texte et la scène » Anne Ubersfeld, La machine infernale de Coteau (analyse du titre en rapport avec les machineries théâtrales ?) et Le théâtre et son double de Artaud. c) L’intrigue

essentielle. (A. Les didascalies) Tout d'abord, les didascalies nous permettent de comprendre le texte, on lit les actions des personnages, leurs humeurs, ou même leurs pensées, elles nous renseignent sur des éléments de mise en scène, ou sur les émotions du personnage. Grâce aux didascalies, on comprends tout de suite ce que fait le personnage, puisqu'on lit les actions. Par exemple, dans La leçon de Ionesco, il y a une première didascalie qui raconte presque l'histoire. Il est dit dans cette didascalie

Ecriture d’invention « traité sur l’homosexualité », inspiré du « traité sur la tolérance », de Voltaire. Analyse rédigée du dessin de Plantu. Interrogation systématique de l’article « Guerre » de Voltaire. Entrainement de commentaire littéraire sur le texte « De l’esclavage des nègres », de Montesquieu. Lectures Micromégas, de Voltaire. Comme un roman, de Daniel Pennac. SEQUENCE 2 : L’ETRANGER, CAMUS. L’Etranger, une « fable » romanesque ? Travaux Travail d’écriture sur l’extrait « Marie demande Meursault en

remplir les fonctions traditionnelles d'une exposition ? Dans quelle mesure ?A quoi tient l'originalité de l'écriture scénique de Ionesco en ce début de pièce ? IntroductionÀ l'ouverture de la pièce, le lecteur peut être frappé par l'abondance et la précision desindications scéniques, et notamment par la longue didascalie initiale, titrée « Décor ». L'examen analytique du texte révélera effectivement l'importance des élé­ments non verbaux de ce début de pièce. Parailleurs, on s'interrogera sur l'éventuelle

dû au fait que le metteur en scène eût choisi « un rose « framboise écrasée » et un rouge « sang de bœuf » » à la place du gris beckettien caractéristique des pièces de cet auteur, dans le but de provoquer un effet de surprise pour les spectateurs. Au contraire, Jean-Luc Lagarce, en 2009, dans sa mise en scène de La Cantatrice chauve, en respectant les indications fournies par Ionesco, notamment la didascalie initiale avec la pendule, les costumes de M. et Mme Smith et l’univers anglais qu’il fonde