Ionie

Thalès étudie en plus des mathématiques, de la physique et de l’astronomie, la culture et la politique du pays. b. La politique Thalès joua aussi un rôle politique non négligeable. Il réussit à convaincre les états séparés qui constituaient la Ionie de se grouper en fédération avec pour capitale Teos. Il dissuada également ses compatriotes de faire alliance avec Crésus, ce qui permit à sa ville d’être épargnée des conflits. c. L’astronomie On prétend qu’il se serait beaucoup intéressé aux sciences

mêmes. Les idées philosophiques : Elles sont liées à l’interrogation, à l’étonnement et au doute. Elles questionnent l’homme et l’univers pour mieux les comprendre. La philosophie est née sur les rivages d’Asie mineure. (plus précisément en Ionie) 2. L’école de Milet (en quête du Principe des choses) Cette école philosophique, la plus ancienne, est fondée par Thalès. La question que pose Thalès du point de vue philosophique : Qu’est-ce qui persiste dans tout ce qui change ? Anaximandre :

cherchèrent à conclure une alliance avec Sparte, car il possédait la meilleure armée de Grèce, cela aurait été un bon choix tactique. Seulement le roi Cléomène (roi de Sparte) s’y opposa, ne voyant aucun intérêt à envoyer des troupes dans la lointaine Ionie, il refusa donc de soutenir la révolte. Aristagoras arriva finalement à avoir le soutien des cités d’Athènes et d’Erétrie. Pour aider leurs cousins ioniens elles envoyèrent des navires (les athéniens envoyèrent 20 vaisseaux de guerre) et des hommes

 Les différences entre ces trois philosophes ne se limitaient pas à la nature de la matière. Chacun d'eux apporta sa conception de l'Univers. Thalès soutenait que la Terre flottait sur l'eau. Il remarqua le mouvement de certaines étoiles à qui il donna le nom de Planètes. Anaximandre posa la Terre au milieu d'un Univers constitué de roues creuses concentriques emplies de feu, percées de trous, le Soleil, la Lune et les autres astres, et placées à différentes distances. Pour Anaximène, le Soleil

Des traces d'occupation humaine sont attestées dès le néolithique sur le site de l'Acropole (voir Pélasges), sous la forme d'un petit fort. Mais ce n'est que suite aux invasions ioniennes que l'Attique se voit organisée en cités, parmi lesquelles Cécropia, la future Athènes. Vers 1400 av. J.-C. elle devient un centre important de la civilisation mycénienne. Au contraire des autres villes mycéniennes (dont Mycènes et Pylos), elle n'est ni pillée, ni abandonnée lors de l'invasion dorique de 1200

la construction en pierre en même temps que l’écriture. La vie d’Homère se serait déroulée a peu près au 8ème siècle av J.C dans une région de la Grèce où l’on parlait le dialecte ionien, qui se trouve de l’autre coté de la mer Égée et s’appelé Ionie en Asie mineure. Vers 1100 av J.C les achéens avaient été refoulé par les doriens qui avait envahi la Thellalie, la Grèce centrale, la Péloponnèse et la Crète ; et les temps obscurs du Moyen-âge hellénique succédèrent à l’éclat de la civilisation

prestige à Athènes. 486 : Darius meurt, son fils Xerxès lui succède. 484 : Xerxès planifie l’invasion de la Grèce. Les Perses disposent d’un large corps d’armée et d’une grande flotte. Ils creusent un canal pour éviter les tempêtes. Ils arrivent en Ionie, Xerxès fait le tour des troupes et se mettent en route pour Athènes. C’est Thémistocle qui va diriger les opérations. 496 : Archonte ; 490 : Stratège. Des nouveaux filons de mines d’argent ont été découverts ce qui a permis de financer la flotte

seule ville pour tous les Ioniens. Il leur fit voir que, par ce moyen, ils sortiraient d'esclavage, qu'ils s'enrichiraient, et qu'habitant la plus grande de toutes les îles, les autres tomberaient en leur puissance; au lieu que, s'ils restaient en Ionie, il ne voyait pour eux aucune espérance de recouvrer leur liberté. Tel fut le conseil que donna Bias aux Ioniens, après qu'ils eurent été réduits en esclavage ; mais, avant que leur pays eût été subjugué, Thalès de Milet, dont les ancêtres étaient

fixation des légendes par écrit : Homère, Hésiode 682 a.n.è. (Athènes) : abolition de la Royauté. VIIe s. a.n.è. transcription des lois orales par écrit 621 a.n.è. (Athènes) : lois judiciaires du législateur Dracon fin VIIe-VIe s. a.n.è. (Milet en Ionie) : essor de la philosophie et des sciences 594 a.n.è. (Athènes) : lois sociales du législateur Solon 500-338 a.n.è. : Grèce classique : (Athènes) démocratie 508 a.n.è. (Athènes) : constitution de Clisthène 490 a.n.è. : 1ère guerre médique : victoire

délibérèrent sur l'ensemble de la situation ; et des discours furent tenus que certains des Grecs trouvent incroyables, mais qui furent tenus cependant. » Plus loin encore (VI,43) : « Lorsque, longeant les côtes de l'Asie, il [Mardonios] fut parvenu en Ionie, - je vais dire une chose qui surprendra grandement ceux des Grecs qui se refusent à croire que, dans le conseil des Sept Perses, Otanès ait exprimé l'avis que le régime qu'il fallait aux Perses était la démocratie, - il déposa tous les tyrans des