Ironie Stendhal

Rire ; pour quoi faire ? Pourquoi rit-on ? ou les différentes fonctions du rire - La fonction physiologique Le rire est inné chez l’homme et se développe au bout de quelques mois chez l’enfant On rit pour se distraire, se détendre, évacuer : le rire permet de détendre assouplir ses muscles, ses zygomatiques. Aussi, l’image du rieur est celle d’un bon vivant, rabelaisien, sachant profiter en hédoniste des plaisirs de la vie : la bonne chair, le vin, la cigarette, la séduction … celui

Français : Candide Voltaire était un grand intellectuel il faisait fonctionner son cerveau pour son époque. On ne peut pas dire qu’il a marqué dans l’histoire de la philosophie, il n’en a laissé aucune trace. Mais c’était un grand intellectuel, il s’autorisait à braver les autorités pour dire ce qu’il pense. Dans Candide, Voltaire démontre un nouveau style littéraire le conte philosophique. Le conte philosophique est une histoire fictive, produite par l’auteur dans le but de peindre une critique

Lettre IV de Valmont à Merteuil Présentation de l’auteur Présentation de l’œuvre La lettre Iv se situe dans la première partie du recueil. Elle est écrite à Valmont à Madame de Merteuil. C’est une lettre de réponse, Valmont répond à la marquise afin de dépraver Cécile de Volanges et ainsi se venger de Gercourt. C’est l’entrée en scène du personnage principal Valmont. Cette lettre va nous permettre d’esquisser son portrait. Rôle d’exposition : Présenter

----------------------- J. Anouilh XXème siècle Pas de mouvement Fables Fable sous forme de poème en vers libres Types de discours : narratif Registres : satirique, didactique Thème : Rencontre entre un renard et une fourmi pour une question de placement financier Plan : I) Une parodie de la fable de La Fontaine : 1) Une filiation clairement affichée 2) Une transformation radicale de l’œuvre

Incipit de Candide Voltaire Introduction sur Voltaire, le conte philosophique, Candide et ce passage Problématique : En quoi cet incipit est-il une réécriture parodique d’un conte merveilleux ? ( plan détaillé de la réponse) Ce qui fait partie du conte : - la formule « il était une fois » est reprise par « il y avait » - l’emploi de l’imparfait, temps indéfini du conte - le décor est emprunté au conte : le château - les personnages

I / Registre comique : Balance entre le conte et le ridicule. *a - Des archétypes parodiés : entre le cliché de "*l'enfant blond", de l'Ogre et de la Fée. Enfin, la présence de la fée débute et accentue l'univers du conte : on évoque dans le vers 11 une anecdote de l'Odyssée : Calypso a été la femme qui a aimer et accueillit Ulysse. b - Apparente formulation d'un conte ; l'amour tourné au ridicule d'un ogre bucolique à une fée. On remarque que la situation initiale est pareille à celle

L’étranger A Camus « Moi j’écoutais et j’entendais… je ne lis rien que de monstrueux » Questions : 1-Quelle est l’attitude du narrateur ? 2-Relevez les arguments du procureur. Vous paraissent-ils tous acceptables ? 3-Repérez les éléments de rhétorique présents dans son discours. 4- quels autres éléments non verbaux appuient l’efficacité de son discours ?. Réquisitoire du procureur Situation Publié en 1942, l’étranger est intégré au cycle de l’absurde constitué de Caligula, le mythe

PARTIE 1: Les figures d'analogie I) la comparaison La comparaison est la figure de style la plus simple et la plus facile à repérer, elle consiste à comparer, avec un mot outil (tel que, comme, semblable à, ... Ex: "elle avait la peau blanche comme la neige." II) La Métaphore La métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, celle-ci est donc suggérée et implicite. Ex: "l'or du soir" (soleil couchant). Une métaphore est filée si elle se poursuit sur plusieurs lignes III) La

FICHE DE LECTURE Les quatre thèmes abordés par l’ouvrage que j’ai choisi sont : La guerre et ses atrocités L’esclavage La religion L’utopie – L’Eldorado Dans l’œuvre, Voltaire traite d’abord chaque thème avec ironie pour ensuite changer de point de vue et donner le sien au travers _d’un personnage. Passer de l’ironie à la réalité permet à l’auteur de rendre cette réalité plus frappante pour le lecteur._ La guerre et ses atrocités Dans l’ouvrage, au

D’entrée de jeu, en cherchant des informations sur Ook Chung et avant même de choisir le thème sur lequel j’allais me pencher pour mon exposé, je suis tombé sur un article de Jules Nadeau, paru en septembre 2003 dans La Presse. L’article en question s’intitule Écrivain québécois d’origine coréenne né au Japon. Le texte est construit comme une sorte d’entrevue avec l’auteur. Ce qui m’a marqué dans l’article, c’est un passage ou Chung interroge le journaliste et lui demande en s’étonnant « Ne voyez-vous