Isotope stable

hydrogène, hélium et lithium. Elle constitue, aux côtés de l’expansion de l’Univers et du rayonnement cosmologique fossile (« Cosmic Microwave Background », CMB 1), l’un des trois piliers de la théorie du Big-Bang. En effet, les proportions relatives des isotopes de ces éléments, couvrant 9 ordres de grandeur, de 4He/H ≈ 0,1 à 7Li/H ≈ 10-10 (rapport en nombre qui correspond au rapport du nombre d’atomes de l’élément sur le nombre d’atomes de l’hydrogène) sont expliquées de manière cohérente dans le cadre

molécules plus stables un élément chimique est défini par son numéro atomique • exemple : si Z=6 il s'agit du carbone C • pour le symbole C : il s'agit du carbone donc Z=6 les isotopes d'un même élément chimique ont même valeur de Z, mais des valeurs de A différentes : autant de protons, mais un nombre de neutrons différents II La radioactivité naturelle Ch9 Découverte-de-la-radioactivité.swf • Dans la nature la plupart des noyaux des atomes sont stables. • Certains noyaux ne sont pas stables,ils possèdent

aimantés. Si le H1 est visible en RMN le Deutérium (H2) lui ne l’est pas donc lorsque l’on ne veut pas voir nos métabolites on utilise l’eau lourde ou D2O comme solvant. Seule le C13 est visible du fait du déséquilibre en proton-neutron les autres isotopes ne le sont pas. On est constitué (au même titre que les bactéries) de 1,1% de C13 donc on ne voit pas tout le Carbone. Cela permet de suivre des molécules comme le Glucose par exemple. En métabolomique c’est 90% de protons et 10% de 13C. Spin

𝐈𝟓𝟑 𝟏𝟑𝟏 53 protons 127-53 = 74 neutrons 53 protons 123-53 = 70 neutrons 53 protons 131-53 = 78 neutrons 3. Proposer une définition d’atomes isotopes. Des atomes isotopes ont le même nombre de protons mais pas le même nombre de neutrons 4. Seul l’iode 127 est stable, tous les autres isotopes sont radioactifs. Proposer une définition d’un atome radioactif. C’est un atome dont le noyau se désintègre, il va se former un nouveau noyau. Donc formation d’un nouvel

est à maintenir dans tous les cas, à mon sens. Rayons alpha, bêta, gamma Les trois rayonnements émis par les noyaux Carte des modes de radioactivité La carte des noyaux est coloriée en fonction des modes de désintégrations. Les noyaux stables, situés au fond de la vallée de stabilité, sont en noir. Les émetteurs bêta sont situés de part et d'autre cette courbe : les bêta-moins (en bleu) du côté excédentaire en neutrons, les bêta-plus (en orange) du côté excédentaire en protons. La ligne

chimiques suivantes : L'uranium, élément de numéro atomique Z = 92, fait partie de la famille des actinides (qui compte quinze éléments de l'actinium (Z = 89) au lawrencium (Z = 103)). C'est l'élément naturel le plus lourd. Il comprend de nombreux isotopes, dont les plus importants à l’état naturel sont 238U (fertile) à 99,27%, 235U (fissile) à 0,72 % et 234U à 0,005 %, outre 232U, 233U, 236U, 237U et 239U. La capacité de fission spontanée de l'235U peut conduire à des réactions très dangereuses :

produits volcaniques (coulées de laves et dépôts de cendres). Dans une telle série, une couche quelconque est plus récente que la couche qu’elle recouvre et plus ancienne que celle située au-dessus. Cette règle est très simple à utiliser dans une région stable. En revanche, quand des déformations comme des plis ou des failles ont modifié profondément l’aspect des terrains, il faut s’appuyer sur d’autres principes. Le principe de continuité : Si, en des endroits éloignés, deux couches présentent les

en des noyaux atomiques plus stables ayant perdu une partie de leur masse. Les rayonnements ainsi émis sont appelés, selon le cas, des rayons α, des rayons β ou des rayons γ. Les radioisotopes les plus fréquents dans les roches terrestres sont l'isotope 238 de l'uranium (238U), l'isotope 232 du thorium (232Th), et surtout l'isotope 40 du potassium (40K). Outre ces isotopes radioactifs naturels encore relativement abondants, il existe dans la nature des isotopes radioactifs nettement plus rares

double brin : -ADN déjà cloné dans un plasmide -Amplifié par PCR -stable, obtention possible en grande quantité  -dénaturation avant utilisation -séquence longue (TM élevée) ADNc simple brin -Obtention par PCR asymétrique (présence d’une faible quantité d’amorces) -Stable -Ne nécessite pas de dénaturation ARN messager -ARN cloné dans un plasmide contenant deux promoteurs viraux -grande quantité -sondes très marquées -stable -hybridation à haute température Oligonucléotides -séquence codante

les activités émises ont été beaucoup plus faibles. On constate donc que l'iode et le césium sont les principaux isotopes radioactifs libérés dans l’atmosphère par le réacteur de Tchernobyl. b) La réaction nucléaire On dit que la réaction nucléaire est un processus entraînant une modification du noyau des atomes. Les atomes qui constituent la matière sont en général stables, mais certains d’ entre eux se transforment spontanément en émettant des rayonnements qui emportent de l’énergie.