J Aime Surtout Les Vers Musset

confia à sa mère son désir de se suicider. Aussi évoque-t-il ici la douleur qui était devenue pour lui «la noblesse unique», «le divin remède à nos impuretés» (“Bénédiction”). Il avait déjà célébré le soir. En 1852, il écrivait, dans le poème en vers, “Le crépuscule du soir” : «Ô soir, aimable soir, désiré par celui Dont les bras, sans mentir, peuvent dire : Aujourd’hui Nous avons travaillé ! – C’est le soir qui soulage Les esprits que dévore une douleur sauvage...» Et, en 1855, dans le poème

Machault, près de Reims, vers 1300, était un poète qui a connu une grande popularité posthumement. Le lyrisme est très présent dans ce texte ; en effet les thèmes de la MORT de l’AMOUR sont traités. Il veut mourir car il est empoisonné par l’amour qu’il porte à une femme qu’il ne pourra jamais conquérir. Quand vous serez bien vieille, Pierre de Ronsard. Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise aupres du feu, devidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous esmerveillant :

Beaumarchais (2), Beckett (3), Calderon (1), Jean Cocteau (1), Pierre Corneille (3), Feydeau (1), Jean Genet (1), Jean Giraudoux (1), Victor Hugo (2), Ionesco (3), Alfred Jarry (1), Eugène Labiche (3), Lesage (2), Marivaux (3), Molière (5), Alfred de Musset (3), Pirandello (1), Racine (4), Jules Romain (1), Edmond Rostand (1), Sartre (2), Shakespeare (4). Jean Anouilh  Antigone. Œdipe, roi de Thèbes est chassé de son royaume pour avoir accompli la malédiction selon laquelle il tuerait son père

naïfs, et fumant des roses, les pioupious jeunes soldats Caressent les bébés pour enjôler les bonnes... Moi, je suis, débraillé comme un étudiant, Sous les marronniers verts les alertes fillettes : Elles le savent bien ; et tournent en riant, Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes. Je ne dit pas un mot : je regarde toujours La chair de leurs cous blancs brodés de mèches folles : Je suis, sous le corsage et les frêles atours, Le dos divin après la courbe des épaules. J'ai

à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Michel de Montaigne, Essais I, « De l’amitié », chap. XXVIII. 2. Jean de La Fontaine, Fables, livre VIII, 11, « Les deux amis » 3. Molière, Le Misanthrope, Acte I, scène 1, vers 33-88 Documents complémentaires : Cicéron, Lélius ou l’Amitié, 44 av. J-C Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse, cinquième partie, lettre IX. Histoire des Arts : Raphaël, Autoportrait avec un ami, 1519-1520. Lectures cursives : Voltaire

entre les deux amants est caractérisé par une grande maturité alors que les protagonistes ne sont que des adolescents. Cela a permis à de nombreux spectateurs de s’identifier à la scène jouée et donc de se projeter.   L’organisation de la scène et surtout la répartition des paroles sont particulièrement intéressantes. De cette façon, la scène du balcon débute sur un monologue de Roméo. S’en suit, un monologue de Juliette. Puis, un dialogue entre les deux héros. Les voix se réunissent et symbolisent 

évolué au cours du temps. En effet, au XVIème siècle, les genres étaient très codifiés, avec des règles strictes. Les poètes utilisaient alors le sonnet. Au XVIIIème, les Romantiques libèrent le vers en se servant de nombreux enjambements, rejets, contre-rejets pour donner un rythme. Au XIXème apparaît le vers libre et le poème en prose. Le XXème est également un siècle de nouveauté poétique ; les poèmes courts et les calligrammes voient le jour. Voici quelques définitions de poètes « La poésie c'est

confia à sa mère son désir de se suicider. Aussi évoque-t-il ici la douleur qui était devenue pour lui «la noblesse unique», «le divin remède à nos impuretés» (“Bénédiction”). Il avait déjà célébré le soir. En 1852, il écrivait, dans le poème en vers, “Le crépuscule du soir” : «Ô soir, aimable soir, désiré par celui Dont les bras, sans mentir, peuvent dire : Aujourd’hui Nous avons travaillé ! – C’est le soir qui soulage

Il devient courant seulement vers 1824. Les poètes veulent rompre avec le classicisme, comme dans la bataille d’Hernani (1830) de Victor Hugo qui contredit la doctrine classique. Ils veulent une abolition des règles strictes de ce courant littéraire. Le romantisme se traduit par une communion de l’homme avec la nature, qui le pousse à la création. Les poètes qui caractérisent ce mouvement sont : François-René de Chateaubriand, Alphonse de Lamartine, Alfred de Musset, Gérard de Nerval, Marceline

[pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont commentées (surtout ‘’Méditations poétiques’’). Bonne lecture ! Il est né à Mâcon. Il vécut ses dix premières années en petit campagnard, dans le village de Milly, près de Mâcon, où son père, échappé aux cachots de la Terreur, exploitait le maigre domaine familial. Au charme de la nature s’ajoutait la douce influence de ses soeurs et surtout de sa mère qui, très pieuse, lui donna une éducation catholique, et le confia à l’abbé