Jacques Cartier

artistes comme Fernand Léger qui était son maître à penser artistique pour le côté graphique, Robert Giraud qui lui fit découvrir le monde de la nuit, des forains et des Halles ; Blaise Cendrars, avec qui Doisneau partagea son amour de la banlieue et Jacques Prévert qui bouleversa sa vision de la rue, imprégnée de magie et de fantaisie, dont il multipliera les portraits. Doisneau est un passant patient qui conserve une certaine distance vis-à-vis de ses sujets. « Paris est un théâtre où l’on se paie

Cartier 1. Histoire de la marque, noter les dates et événements clés : Né en 1819, Louis-Francois Cartier, fils d’un fabricant de poires à poudres, entre en 1936 comme ouvrier bijoutier chez Adolphe Picard. Adolphe Picard sera à la fois son mentor et son modèle. Exactitude au travail, sérieux, méthode, respect absolu du client, minutie et patience sont quelques-unes de vertus enseignées dans l’atelier. En 1947, au bout de 11 ans de services, Adolphe lui laisse la bijouterie rue Montorgueil

floues”. Par dérision, Capa reprendra ses mots pour titrer ses mémoires de guerre. Au cœur de l’action Comment Capa a-t-il pu prendre cette image de soi près ? Grâce à une innovation de l’époque : l’appareil Leica, petit et léger, que son ami Henri Cartier-Bresson utilisait aussi. Capa se déplace ainsi aisément. Il semble ici aux pieds du soldat chancelant, isolé dans le cadre, légèrement en contre-plongée, ce qui renforce la proximité du reporter et du milicien, et place le spectateur en plein cœur

de photo Dephot. Pendant les années 1931à 1933 il fait des études de sciences politiques à la Deutsche Hoschule für Politik de Berlin. Robert Capa s'installe à Paris durant les années 1934 où il recherche activement du travail. Il rencontre Henri Cartier-Bresson, David Seymour ainsi que Gerda Taro pendant cette période. Il prend un maximum de contacts qui lui seront très précieux par la suite pour la fondation de l'agence Magnum. Il participe à la création de l'agence Alliance Photo (crée en 1934)

production de pellicules très sensibles) transforment radicalement la pratique du photojournalisme. Libérés de leurs lourds appareils, les photographes peuvent dès lors opérer spontanément et réaliser des instantanés chocs. Le photographe français Henri Cartier-Bresson est d'ailleurs passé maître dans la saisie de ces « instants décisifs » tant prisés par le photojournalisme. Rechercher l'inédit et l'inattendu devient alors une priorité. À la fin des années 1930, des magazines illustrés tels que Life et

Triplement inquiété comme immigré,juif et gauchiste,il s'enfuit à Vienne puis à Paris en 1933 . Il francise son prénom et se fait connaître sous le nom d'André Friedmann .C'est dans les cafés de Montparnasse qu'il rencontre David Seymour et Henri Cartier-Bresson , avec qui il fondera quelques années plus tard la coopérative photographique Magnum.Il fait aussi la connaissance de Gerda Taro, sa compagne,avec laquelle il forgera en 1935 le personnage de Robert Capa. Ses photos se vendant très mal,il

à la fin du diaporama tu commence:  Dans quelle mesure la photographie a-t-elle le pouvoir de dénoncer le contraste entre l'Enfance en Afrique Subsaharienne et celle des pays développés? était notre problématique. Le grand photographe Henri Cartier-Bresson disait " la photographie est une réponse immédiate à une interrogation. Elle vaut mille discours". La photographie permet de transmettre très rapidement une énorme quantité d'information sans demander un grand effort pour le spectateur.

la vie quotidienne. L'image se classe parmi les « instantanés » d'Elliott Erwitt, un photographe américain humaniste aujourd'hui âgé de 85 ans. L'oeuvre de celui-ci est considérable, moins connue que celle de ses confrères aînés Doisneau ou Cartier-Bresson, mais ses photos sont tout de même célèbres. Un photographe en balade Fils d'émigrés russes, né en France en 1928, Elliott Erwitt a immigré aux États-Unis avec ses parents en 1939. Il s'établit à New York au début des années 1950, où

de sciences-politiques. Devant la monté du nazisme, il s’enfuit à Vienne puis a Paris en 1933. Il francise son prénom et se fait connaitre sous le nom d’André FRIEDMANN. C’est dans les cafés de Montparnasse qu’il rencontre David SEYMOUR et Henri CARTIER-BRESSON, avec qui il fondera la coopérative photographique Magnum. En 1934, il rencontre Gerda Pohorylle, jeune Allemande qui devient sa compagne et sa collaboratrice. Ses photos se vendant très mal, il se choisit un pseudonyme chique et américain :

la seconde guerre mondiale de 1941 à 1945, en 1943 à Naples... Ayant émigré en 1939 aux États-Unis, il sera correspondant de guerre pour les magazines Life et Collier’s à New York, pour l’armée américaine en Europe. En 1947, il fondera, avec Henri Cartier-Bresson, David Seymour et George Rodger, l’agence coopérative Magnum, dont il sera président. Les créateurs de Magnum veulent une agence indépendante, forte, fondée sur une éthique du métier de photo reporter, sur une véritable tradition de photographie