Jacques Cartier

et la Fondation Cartier tout en verre en 1994. Le Palais de la culture et des congrès de Lucerne, inauguré en 1999, lui permet d'acquérir une dimension internationale. Lui sont alors confiés la Dentsu Tower de Tokyo, l'extension du Musée Reina Sofía, la Tour Agbar et le théâtre Guthrie de Minneapolis[4]. Il reste attaché à la Dordogne, où il réalise le musée gallo-romain de Périgueux, Vesunna, et l'aménagement de l'église Sainte-Marie de Sarlat en marché couvert[1]. Jacques Chirac le choisit

même ligne de mire la tête, J'œil et le cœur" dit Henri Cartier-Bresson. Une conception particulière de la photographie Après la Seconde Guerre mondiale, certains photographes apparaissent parti­culièrement attentifs au spectacle des rues et aux expressions fugitives révéla­trices de traits psychologiques ou sociaux. Robert Doisneau, Izis, Willy Ronis, Edouard Boubat effectuent une sorte de reportage humaniste. En 1947, Capa, Cartier-Bresson, David Seymour et George Rodger créent une agence

monde comprend la même chose.» Henri Cartier-Bresson : Photographe de légende, il a débuté sa carrière en 1950. Il a marqué son temps par ses reportages couvrant les grands évènements du siècle dernier comme la libération du camp de concentration de Dachau, Gandhi avant son assassinat, la libération de Paris, les républicains espagnols... «  Je suis un visuel, j'observe, j'observe, j'observe. C'est par mes yeux que je comprends les choses. » Henri Cartier-Bresson, Life, 15 mars 1963. Philip

En 1947, plusieurs photographes (Robert Capa, Henri Cartier-Bresson, David Seymour [alias Chim] et Georges Rodger) décident de créer un regroupement indépendant de reporters internationaux, pour assurer leur indépendance morale et matérielle face au marché et conserver leurs droits légitimes sur leurs œuvres. Magnum est une coopérative qui distribue la production photographique de ses membres, contrôle son utilisation, prospecte des débouchés, exploite les archives...- Dans les années 50, pour répondre

des sujets inclut le spectateur → on se sent plus impliqué, aspect plus touchant, on sent que c'est une photo, que le photographe est derrière l'objectif puisque les sujets le regardent → photo reportage beaucoup plus proche de la réalité. Henri Cartier Bresson → un photographe très humaniste, d'ailleurs les deux ont travaillé ensemble, qui présente des clichés assez similaire, laissant une place très importante à la réalité, sans fioriture de mise en scène. Côté esthétique, la lumière → contraste

séparent, commence à travailler dans un labo commercial où il développe des tirages signés de stars. C'est en 1949,alors qu'il retourne en Europe qu'il entame sa carrière de photographe professionnelle.C'est une photo d'un dépôt de train de Henri Cartier-Bresson qui lui révèle qu'une belle image peux se cacher dérrière une banalité du quotidien. Il repart à New York dans les années '50 et s'y établit, même si pour lui "s'établir c'est où on est pour le moment présent, pourvu qu'on aille pas ailleurs"

Henri Cartier-Bresson Sa Biographie Henri Cartier-Bresson est né à Chanteloup le 22 août 1908. Décédé le 03 août 2004 dans sa maison en Provence. Il à été prisonnier par les Allemands en 1940, il réussit à s’évader en février 1943. Après cela il décide de partir en Côte d’Ivoire où il restera 1 an et où il fera ses premières photographies. Henri Cartier-Bresson est considéré comme un ‘‘photographe humaniste’’, en 1986, il reçoit le prix Novecento à Palerme. Ce qu'il a fondé, ses caractéristiques

une recherche d'expressivité par la mise en scène et une expressivité plus « spontanée » qui surviendrait, comme nous l'avons vu précédemment, d'un certain abandon, d'une certaine absence à soi. Claass convoque toujours à ce sujet l'exemple d'Henri Cartier-Bresson, dont les divers portraits (il n'en désigne aucun en particulier) témoignent à son sens d'une intensité humaine rare. L'instant décisif, pour Claass, ce serait cet instant de « dessaisissement de soi », où le sujet, visé par un « coup de fusil »

révolutionnaire Trotsky en exil. Il part donc à Copenhague pour le photographier. (diapo2) En 1933, Hitler accède au pouvoir. Etant juif, il quitte Berlin pour Vienne mais finalement vas a Paris en automne 1934 ou il y rencontre David Seymour et Henri Cartier-Bresson mais aussi Gerda Pohorylle, une étudiante allemande juive, antifasciste. Elle devient photographe sous le nom de Gerda Taro, avec qui il vit une histoire d'amour.(Diapo3) En 1935, il se fais passée pour un américain. Mais ses photos se vendent

Communication culturelle de Cartier L’Odysée de Cartier Qui : Avec le spot publicitaire de « l’Odyssée de Cartier », durant 3 minutes 30 secondes, diffusées pour la première fois le 4 mars sur Tf1 directement après le journal de 20 heures, pour avoir la plus grande visibilité possible auprès de toutes les personnes présente devant la télévision. La cible est assez large elle va 13 ans à 75 ans approximativement. A qui : Le court métrage de Cartier, « l’Odyssée de Cartier » est un condensé de l’univers