Jacques Chaban-Delmas

d’électeurs au 2nd tour. Présidents élus grâce à ce mode de scrutin (toujours élu au 2nd tour) : -1965 : Général De Gaulle -1969 : Georges Pompidou -1974 : Valéry Giscard d’Estaing -1981 : François Mitterrand (réélu en 1988) -1995 : Jacques Chirac (réélu en 2002) -2007 : Nicolas Sarkozy  Effets importants de ce choix de mode de scrutin sur la vie politique : -Le fait que seulement 2 candidats peuvent se retrouver au 2nd à entraîné une bipolarisation de la vie politique Française

lien avec ce qui est censé être sa propre histoire 16. Cécilia et Richard : le « développement par les mondanités » En guise d’épilogue Annexes 1. Un « enfant » de Foccart Ali Bongo, actuel chef de l’État gabonais, est une création de Jacques Foccart, le tout-puissant conseiller du général de Gaulle qui avait la haute main sur la politique africaine de la France et sur ses services secrets. Né dans l’ex-province nigériane du Biafra, Ali fut recueilli à Libreville, et ce sont les « réseaux

symbolique de tout lien avec ce qui est censé être sa propre histoire 16. Cécilia et Richard : le « développement par les mondanités » En guise d’épilogue Annexes 1. Un « enfant » de Foccart Ali Bongo, actuel chef de l’État gabonais, est une création de Jacques Foccart, le tout-puissant conseiller du général de Gaulle qui avait la haute main sur la politique africaine de la France et sur ses services secrets. Né dans l’ex-province nigériane du Biafra, Ali fut recueilli à Libreville, et ce sont les « réseaux

du gouvernement et la nomination du premier ministre 4/02 Pour DG il était essentiel que la personnalité du premier ministre soit la plus proche possible de ses opinions politiques, compte tenu de la composition de l'AN il aurait pu imposer Jacques Soustelle qui avait beaucoup oeuvré lors de son retour au pouvoir et qui avait la confiance des européens d'Algérie, mais il lui préféra Michel Debré qu'il savait plus souple et qui avait eu un rôle décisif dans l'élaboration de la constitution toutefois

Mitterrand avait fait instaurer le scrutin à la proportionnelle départementale intégrale pour l’élection des députés. Ce mode de scrutin, mis en oeuvre lors des élections législatives de 1986, est remis en cause par le Gouvernement de cohabitation de Jacques Chirac. Le scrutin majoritaire uninominal à deux tours est alors rétabli par la loi. En 1992, François Mitterrand met en place une commission présidée par le doyen Vedel et spécialement chargée de réfléchir à la réforme du mode de scrutin législatif

président de la république et les envoient au Parlement avec mission de le soutenir. Le fait majoritaire a été favorable à la droite entre 1962 et 1981 même si il a été affaibli pendant le mandat de Giscard d'Estaing en raison de la rivalité avec Jacques Chirac. Cette majorité a ensuite été favorable à la gauche entre 1981 et 1986. Après la parenthèse de 1997-2002, le fait majoritaire a été à nouveau favorable à la droite avec les élections présidentielles de 2002, jusqu'à 2007 du fait de la suprématie

George POMPIDOU de 1962 à 1968, et Maurice COUVE DE MURVILLE de 1968 à 1969. George POMPIDOU est élu au suffrage universel direct en mai 1969mais il décèdera dans l’exercice de ses fonctions le 2 avril 1974. Ses premiers ministres seront Jacques CHABAN DELMAS de 1969 à 1972 et Pierre MESSMER de 1972 à 1974. Pendant cette période, on assiste au fait majoritaire parfait. C’est-à-dire que les électeurs désignent le président, ils forment une majorité présidentielle, et envoient à l’assemblée une majorité

RDP, 1999, p. 723-730 (extraits). ............................................................. 36 c. L’expérience de la cohabitation .................................................................................. 38 Doc. 20. Déclaration de M. Jacques Chirac, Premier ministre, le 20 mars 1986 in Les grands textes de la pratique institutionnelle de la Ve République, Paris, La Documentation française, 1992, p. 104-105. ...........................................................................

élémentaire de droit constitutionnel, rééd. par G. Carcassonne et O. Duhamel, Dalloz, Paris, 2002, p. 330 sq ; Georges Cahen-Salvador, « Le Conseil National Économique », Droit Social, septembreoctobre 1946, pp. 301-309. Sur l'ensemble de la question, v. Jacques Martin, La représentation politique des intérêts économiques : une solution : les conseils économiques régionaux, Thèse, Lille, 1927 ; François Gaillard, Le Conseil économique et social, Thèse, Paris XIII, 1975, p. 17 sq ; Olivier Gohin, L'Assemblée

Pompidou entendait imiter de Gaulle. Il nomme Chaban-Delmas (un “no body fidèle”). Pompidou était donc tranquille pour gouverner. Sauf que Delmas avait envie de montrer au Président qu'il n'était pas tributaire de son pouvoir. Delmas va donc devant l'Assemblée Nationale et décide de demander la confiance du Parlement. “Je vais montrer au Président que j'existe par le soutient de l'Assemblée Nationale”. Cette dernière ne pouvais pas dire “non” à Delmas (parce qu'il a été nommé par le Président qui