Jacques ou la Soumission

FICHE TROISIÈME PARTIE : LE POUVOIR ADMINISTRATIF PREMIÈRE PARTIE : LE POIDS POLITIQUE Ouvrage : Science administrative Auteur : Jacques Chevallier Dernière mise à jour : 2007 (4ième édition) Première Partie : Le poids politique - Vision instrumentale de l’administration : elle est considérée comme un exécutant chargé d’appliquer les orientations fixées par les détenteurs du pouvoir politique  Weber = statut de l’état moderne : rationalisation des modes de domination entre les processus

nombreux qui sont fondés à imposer leur point de vue. Dans cet écrit, Pateman va tenter de répondre à deux questions fondamentales : Qu'est-ce qui rend la soumission d'une minorité à une majorité raisonnable ? Pouvons-nous savoir si la décision de la majorité est correcte ». Afin d'y répondre, Pateman va faire appel aux travaux de Jean-Jacques Rousseau et Nicolas de Condorcet : Le contrat social de Rousseau et les probabilités des décisions rendues à la pluralité des voix de Condorcet. Pateman n'est

- C’est un tableau de propagande, il doit former les esprits et préparer la postérité de l’empereur. David cherche à montrer l’union des Français autour de Napoléon. Présentation de l’auteur : Né à Paris en 1748, mort à Bruxelles en 1825, Jacques Louis David entre à 18 ans à l’Académie Royale de peinture et de sculpture. Plusieurs échecs aux concours officiels le plongent dans une longue période de désespoir, assortie d’une tentative de suicide, avant d’obtenir enfin le Prix de Rome en

conséquences de ses choix. Ce rôle de sécurisation de la part de l’adulte, qui fixe les limites de ce qui est autorisé et de ce qui ne l’est pas, est l’une des constantes universelles qui permet de structurer ce que deviendra l’enfant. Enjeu de la soumission Voilà donc le bébé dans un rapport de grande dépendance à l’égard des adultes qui l’entourent. La qualité des relations que ces derniers tisseront autour de lui a fait l’objet d’une recherche initiée par John Bolby, pédiatre et psychanalyste anglais

BREARD Gérer les conflits au travail, La médiation systémique en entreprise ; Jacques-Antoine Malarewicz Réalisé par : TIZGUI Mohammed SABIR Imane ZAHER Soukainah BOUAYAD Sara Sommaire I. Biographies des auteurs 3 I. Résumé des ouvrages 4 II. Les idées soulevées et les arguments avancés : 5 III. Bibliographie des auteurs : 18 Conclusion 20 I. Biographies des auteurs Jacques-Antoine Malarewicz : est médecin psychiatre, consultant en entreprise et formateur

roche », elle avale les ouvriers dans un « enfournement de bétails ». Animaux du sacrifice, les mineurs ont la « figure moutonnière » de la soumission et l’apparence placide du bovin : « le sein énorme » de la maheude pend « comme la mamelle de vache puissante ». La bête humaine est un oxymore riche de sens. La personnification obsédante de la Lison, que Jacques aime à défaut de pouvoir aimer les femmes, doit être lue ds les deux sens, à double voix en qque sorte. La machine est une métaphore du corps

reconquête du territoire français. Jeanne d’Arc : héroïne divine toute désignée Jeanne d’arc, fille de Jacques d’arc (Dart ou Tard selon le déroulement du procès) et de Isabelle Romée, naquit à Domremy à la frontière de la Lorraine, le 6 janvier 1412. Elle est issue d’une famille de laboureur qui sont de la paysannerie moyenne. Elle est la 4ème enfant d’une famille de 5 enfants. Jacques est un homme écouté et respecté. Elle vécut une enfance paisible. A l’âge de treize ans elle affirme entendre

sans précautions sous peine de nier l’identité propre de chacune [4]. 2) Notre conscience même témoigne de notre liberté. « Que chacun de nous s’écoute et se consulte lui-même, il sentira qu’il est libre comme il sentira qu’il est raisonnable » (Jacques-Bénigne Bossuet, Traité du libre arbitre). « Avant de prendre un parti, on raisonne en soi-même, on délibère, et qui délibère sent que c’est à lui de choisir. » (ibid.) Les hommes peuvent bien se croire non libres, mais c’est souvent parce qu’ils

fait, l’essentiel du fonctionnement est repris des Constitutions consulaires de l’an VIII et de l’an X ; les modifications renforcent le pouvoir de l’empereur, en particulier en matière de contrôle de l’opinion et vis-à-vis du Sénat. L’historien Jacques Godechot en conclut ainsi l’analyse : ces textes instaurent « un régime dictatorial et militaire qui, malgré quelques trompe-l’œil, est en fait plus absolu que ne le fut jamais le régime monarchique sous Louis XIV ». Le pouvoir législatif est exercé

en le maudissant. Créon revient, portant son fils mort dans ses bras réclamant une mort qui a frappé autour de lui mais lui est refusée. Même à partir de ce rapide et imparfait résumé on perçoit que l’enjeu de l’œuvre de Sophocle est celui de la soumission, de la transgression ou pour le dire autrement des raisons qui poussent les personnages à se conformer ou non aux ordres et lois qu’ils revendiquent comme justes ou non. Nous faisons l’hypothèse que la pièce met en forme la question centrale pour