Jacques Rivette

louis Feuillade), ceux qui ont régné sur l'âge d'or de l'avant-guerre(jean Renoir, julien Duvivier, Sacha Guitry, marcel Pagnol) et les "jeunes turcs" de la nouvelle vague(François truffant, Jean-Luc Godard, Claude chabrol), sans oublier tous ceux, jacques Deray à Claude Sautet, de Bertrand tavernier à André Téchiné, qui ont témoigné de l originalité et de la diversité de la production française. C est à cette redécouverte que nous vous invitons. Plan I-Histoire du cinéma français 1) histoire

apparences morales et de l’asservissement de la femme. N’aurait-on pas encore aujourd’hui besoin des « Lumières » de Diderot ? Ce texte, mis sous cellophane pendant nombre d’années, encore interdit lors de son adaptation cinématographique par Jacques Rivette en 1967, dérange parce qu’il démonte la perversité du système catholique et celle d’une société toute entière fondée sur le faux semblant bourgeois, mais il dérange aussi parce qu’il met en scène un personnage (Suzanne Simonin) perdu au plus profond

(Les barbares, Peer Guynt) Au cinéma : Avec A. Robbe Grillet (La belle captive), Raoul Ruiz (Régime sans pain, Richard III…), Krystof Rogulski (Les enfants du vent), Jacques Rivette (La belle noiseuse), Gérard Kraswyck (Fanfan la tulipe), Karl Zéro (Le tronc)  Thierry Bosc, comédien, Hamm Il a travaillé Au théâtre : Avec Jacques Nichet (Le rêve d’Alembert, le triomphe de l’amour), Claude Yersin (En attendant Godot, Les voix intérieures), Mathias Langhoff (Le Roi Lear), Stuart Seide (Henri VI)

l’instituteur, la lecture de l’ouvrage de Balzac La Recherche de l’Absolu. - cinquième journée : Antoine dort chez son ami René, puis scène de l’incendie dans sa chambre, puis la sortie au cinéma de la famille Doinel qui va voir Paris nous appartient de Jacques Rivette (clin d’œil ici de Truffaut à son ami cinéaste qui tourne à l’époque ce film). - sixième journée : il vole la machine à écrire, passe la nuit au commissariat - septième journée : le réveil en prison Ensuite, divers épisodes se suivent : chez la

Ministre de l’Information contre Société Films Rome-Paris » du 24 janvier 1975. Il s’agissait pour le Conseil d’apprécier la régularité d’une décision de refus d’un visa d’exploitation concernant l’œuvre du célèbre cinéaste de la Nouvelle Vague, Jacques Rivette, La religieuse de Diderot. Ce film, rebaptisé Suzanne Simonin, la religieuse de Diderot, pour éviter les polémiques suscitées par les associations de religieuses, reçoit une mesure ministérielle d’interdiction totale d’exploitation et d’exportation

hexagonal avec : l'émergence d'une critique et de revues (Revue du cinéma, Les Cahiers du cinéma, Positif) une nouvelle esthétique : la Nouvelle Vague (nouveaux langages cinématographiques avec François Truffaut, Jean-Luc Godard, Eric Rohmer, Jacques Rivette et Claude Chabrol) de nombreux ciné-clubs qui se créent un peu partout en France et des salles labellisées "Art et Essai". Dans les années 60, on constate une nouvelle baisse de la fréquentation des salles. Peu à peu, les ménages s'équipent

La duchesse de Langeais Balzac La duchesse de Langeais est le titre d'une oeuvre d'Honoré de Balzac (1799-1850), cette oeuvre a été publié une première fois en 1834 sous le titre de Ne touchez pas la hache et la deuxième fois en 1843 sous La duchesse de Langeais. Le récit commence en 1823, sur une île espagnol où le général Montriveau est venu pour une expédition française pour rétablir l'autorité royale de Ferdinand VII. Mais celui-ci est surtout venu pour retrouver une femme qu'il cherchait

à donner le coup d'envoi de ce nouveau genre. L'histoire de La Nouvelle Vague découle d'une relation étroite entre réalisateurs et critiques. En effet, la plus grande partie des figures du groupe, comme François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jaques Rivette, sont issus des Cahiers du cinéma. Ils créent une politique des auteurs et prônent une position critique qui attribue à certains réalisateurs un statut d'auteur, qui donne la sensation de mettre au grand jour le lien interne de l'œuvre du réalisateur

par ordre alphabétique ; Chabrol, Demy, Godard, Rivette, Rohmer, Truffaut … C'est dans cet univers, dont les passions de chacun mêlé à une certaine providence permit l'existence, que ces « jeunes pousses » se construisent. Cet amour sans concession du septième art dont ils partagent l'érudition ainsi que de nombreuses valeurs renforce leur assurance et inévitablement leur volonté de propre mise en scène. Ainsi dès 1956, le plus âgé des six; Rivette réalise à 28 ans; Le coup du berger , premier

Cousins, sortis début 1959) ,mais il est à coup sûr un des plus contestés, dépeint par ses ennemis comme "un critique acariâtre qui s'est assuré une irritante publicité". Truffaut et ses amis des Cahiers (Bazin, le "guide", mais aussi Chabrol, Godard, Rivette, Rohmer...) se révoltent alors contre le cinéma "de qualité" des années 1950, et avec quelle violence! En 1959, Godard apostrophe ainsi les réalisateurs "académiques":"vos mouvements d'appareil sont laids parce que votre sujet est mauvais, vos acteurs