J'ai de la chance

la voix de la jeune fille, Cathia. Heureuse d’entendre cette voix, son sourire lui revient car elle pensait qu’elle pouvait encore avoir une chance de s’en sortir et de rester en vie, mais elle ne peut pas parler donc ne savait pas quoi faire pour attirer l’attention de la jeune fille. Elle commence alors à reprendre son sourire car elle pense avoir une chance de s’en sortir et de rester en vie mais vu qu’elle ne peut pas parler, elle ne sait pas comment faire pour attirer l’attention de la jeune fille

ne possédons pas les mêmes qualités et défauts. Moi, je suis grand, musclé et vif ; tandis que lui, est petit, maigre et plutôt lent dans ce qu’il fait. J’ai de long cheveux brun, bouclé, qui sur le visage d’une jeune homme, rend plus mature et séduisant. Lui, il a le cheveux très court, très courant mais très peu apprécié de couleur blond. J’ai les mouvements vifs, toujours enthousiaste et un caractère chaleureux. Lui, il est mou, nonchalant, blasé et sceptique tel un peintre froid et ayant perdu

suis désolé j’ai eu un petit oublie. MOLIERE : AH AH AH, j’espère que tu n’aura pas d’oublie lors de la réplétion come tu di. La représentation est à 20h50. Maintenant va te préparer il nous reste plus beaucoup de temps. A.BEJART : Merci (en allant se préparer) MOLIERE : Vous êtes prêts ? LA TROUPE : Oui. MOLIERE : Donc nous allons répéter l’acte 1 scène 4. Alors Armande tu commence. A.BEJART : D’accort alors : « ELISE : Nous marchandons mon frère et moi a qui… Euh pardons j’ai oublié. (Rire

milieux populaires et surtout ceux sans diplôme se voient condamnés à une pauvreté durable. L’AVENIR RESSEMBLE AU PASSÉ, «EN PIRE» «L’avantage c’est qu’on est habitué depuis tout petit. On sait être pauvre» se moque Kevin, 23 ans, manutentionnaire. «J’ai grandi avec des parents plutôt chômeurs, pas forcé sur les études… et voilà, je galère depuis longtemps. Je donne 300 euros à ma mère, dès que je gagne un peu de sous. Je vis de petits plans. On sait comment s’habiller pas cher mais très classe.» sourit-il

me faire taire ? Parce que tu sais que j’ai raison ? Tu crois que je ne lis pas dans tes yeux que tu le sais? Tu sais que j’ai raison, mais tu ne l’avoueras jamais parce que tu es en train de défendre ton bonheur en ce moment comme un os. CRÈON
Le tien et le mien, oui, imbécile!
ANTIGONE
Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu’ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n’est pas trop

questions. Si tu pouvais m’emmener Ou même juste t’avancer Rien qu’une seule fois Je te dirais ce que tu ne vois pas. C’est un grand vide quand tu n’es pas là, Je crois que tu ne le sais même pas. J’aimerais que tu me prennes dans tes bras, J’ai besoin de toi près de moi. Chaque jour où je te vois, Grâce à toi, C’est la même chose, Alors, la vie devient rose. Apprivoisons nous au jour le jour Guidons nos pas vers le futur. Au delà de nos différences A force d’échanger nos silences

| J’ai décidé d’effectuer mes stages dans une maison d’accueil pour femmes. Tout au long de cette période, j’ai été confronté à différentes situations. Les femmes étaient souvent des victimes et cela sous différentes formes de violence, souvent dû à leur mari. Lorsqu’il m’a fallu rédiger un travail sur le secteur auquel j’étais le plus confronté, le professeur et moi-même avons repris celui de l’égalité des chances. Lorsque nous sommes dans une institution

Conclusion page 11 Remerciements page 11 Introduction Du 12 au 22 Janvier 2010, j’ai eu l’opportunité grâce çà l’IUT de réaliser un stage au sein de l’entreprise ORDIServices à 35 rue Guillaume Tell Dijon. Durant ces deux semaines, j’ai pu affiner mes techniques de vente et j’ai pu découvrir plus amplement le monde de l’entreprise : son organisations, ses tâches, son ambiance, etc. Les tâches que j’ai réalisées sont : la vente de matériel informatique, l’organisation de l’entreprise, l’accueil

toute première nuit où je suis devenue une enfant des rues, j’ai peur du noir et ne peux dormir sans lumière... J’ai une mère, j’ai un père. Mais c’est comme si j’en avais pas ! […] Je n’existe plus pour eux. Et moi, j’oublie petit à petit leur visage. Je me demande s’ils ont existé, même. Isabelle Girard Comment survivre quand on est une toute petite fille abandonnée sur un trottoir de Rio ? Comment transformer chaque obstacle en une chance à saisir ? Il faut beaucoup de courage et  de présenc

association est représenté par : ● Loi n°2016-297 du 14 mars 2016 relative à la protection de l’enfant. ● Loi n° 2007-293 du 05 mars 2007 réformant la protection de l’enfance. ● Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. ● Loi n° 2000 du 07 mars 2000 prévoit qu’au moins une séance annuelle d’information et sensibilisation sur l’enfance maltraitée soit inscrite dans l’emploi du temps des élèves des