J'ai deux amours

physique J'écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J'écris ton nom Sur la lampe qui s'allume Sur la lampe qui s'éteint Sur mes maisons réunies J'écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J'écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J'écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du

Malgré l'empressement d'un curieux désir, Il faut, pour lui parler, attendre son loisir : Chaque jour il se montre, et nous touchons à l'heure Où pour se divertir il sort de sa demeure. PRIDAMANT. J'en attends peu de chose, et brûle de le voir. J'ai de l'impatience, et je manque d'espoir. Ce fils, ce cher objet de mes inquiétudes, Qu'ont éloigné de moi des traitements trop rudes, Et que depuis dix ans je cherche en tant de lieux, A caché pour jamais sa présence à mes yeux. Sous ombre qu'il

les textes dans l’ordre chronologique de parution pour démontrer le dégout de vivre qui se fait de plus en plus présent au fil des années. Je vis, je meurs Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est et trop molle et trop dure. J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie.

En 1901 et 1902, on publie ses premiers textes dans deux revues. C’est en 1902, lorsqu’il retourne à Paris, qu’il commence à se faire connaître par ses activités littéraires et journalistiques. Il fait la rencontre de nombreux artistes. En ne mettant aucune syntaxe et aucun signe de ponctuation dans ses textes, Apollinaire décide de suivre le mouvement des cubistes et futuristes italiens qui veulent réformer la langue poétique. Il écrit deux recueils de poésie : « Alcools » en 1913 et « Calligrammes

meneuse de revue*. Elle est considérée comme la première star noire. * Une meneuse de revue est la vedette principale dans un spectacle théâtral qui associe de la musique, de la danse et des sketches. Nous allons présenter notre exposé en deux parties. I. Tout d’abord nous vous exposerons les grands points de son enfance et ses premiers débuts dans le spectacle II. Puis nous vous parlerons de son arrivée en France, son succès à travers les années folles. La revue nègre de son activité

et répondez aux questions (le titre des recueils est signalé en bleu).Cherchez la définition et les caractéristiques d'une ode, d'un sonnet et d'une élégie et donnez un exemple de chacune de ces formes poétiques parmi les poèmes lus.Quels sont vos deux poèmes préférés ? Pourquoi? Argumentez votre réponse.LA POESIE DU XVIEME SIECLEI] L’ECOLE LYONNAISE L' École de Lyon  est au  xvie siècle  un groupe de  poètes , d'

AMITIY LAVIGNE Célestin                              2nde 5 Anthologie de poèmes sur le thème de l’« L’amitié, c’est être frère et sœur, deux âmes qui se touchent sans se confondre, les deux doigts de la main »Victor HUGONotre Dame de ParisLivre II, chapitre 7PréfaceJe ne pourrai pas parler de poésies sans parler d’artistes qui marquent notre histoire depuis l’Antiquité. Depuis toujours, le peintre a ses pinceaux, le sculpteur taille la pierre, le compositeur accorde ses notes de musique et d’autres

rameaux, en des temps plus heureux, Devaient être arrosés des larmes de tes yeux. Cette triste verdure est mon vivant symbole ; Ami, de ton oubli nous mourrons toutes deux, Et son parfum léger, comme l'oiseau qui vole, Avec mon souvenir s'enfuira dans les cieux. LE POÈTE Quand j'ai passé par la prairie, J'ai vu, ce soir, dans le sentier, Une fleur tremblante et flétrie, Une pâle fleur d'églantier. Un bourgeon vert à côté d'elle Se balançait sur l'arbrisseau ; Je vis poindre

loisirs / Pastel. Résumé du livre Terminale ! Tout le monde descend : L’histoire se passe entre deux personnages, une mère et sa fille. Ce livre a été écrit par ces deux personnages et parle de leur vie quotidienne en famille ou entre amis. La mère : je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semble que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j’ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le papier, le crayon – un affrontement muet, mais plein

| |[Poésie] |de Tahar Ben Jelloun | |"J'ai commencé par écrire de la poésie. La première fois, où j'avais |[Littérature étrangère XXIe] | |vraiment envie de crier... J'ai choisi cette forme à cause de |Tanger, début des années 1990 : un groupe d'étudiants se retrouve| |l'impatience, de l'urgence..." déclarait Tahar Ben Jelloun