J'aime lire

quasiment sûr que vous n’atteindrez pas la maison à temps. Cette incipit m’a rapidement attirée car l’auteure nous interpellent dès le départ en utilisant le pronom ‘’ vous’’. Je me suis donc sentie interpellée et cela m’a donné le goût de continuer à lire. Cet incipit m’a paru malheureux et je voulais savoir pourquoi il y avait autant de tristesse. Je tenais aussi à comprendre pourquoi l’auteure avait instauré cette tragédie dans l’incipit. (63 mots) 2. Au détour de la 50e page. ‘’ Je me suis réveillée

Critiques et analyses Ce livre, je l'ai adoré, Patrick Senécal et tellement fort pour écrire des histoires d'horreur comme ça. J'aime sa manière d'introduire des précisions pour que l'on se voie à la place du personnage principal. L'histoire et bonne car sa ne manque jamais d'action. Et moi je trouve ça tout simplement fantastique de lire un livre qui écrit au même endroit où je vis. Comme exemple, au début du livre, Aliss se retrouve sur Saint-Denis et Jean-Talon est c'est super

A quoi ca sert de lire la poésie aux lycée? Platon disait qu'elle était inutile car elle éloigne l'homme de la vérité première, l'intelligible, l'idée est très vite dépassée, je ne la partage pas, j'estime d'après mon expérience de lecteur lycéen, que la poésie est utile, son rôle est important dans la littérature et pour nous autans que lycéen . Elle peut en effet procurer du plaisir par la beauté qu'elle offre et ses réflexions. J'aime lire les poèmes du Parnasse(Le Parnasse, parfois appelé mouvement

on peut pas faire la même manière? Tu es le meilleur de ses clients spécialisé en fait un petit mail les deux premiers . J'aime bien que tu as un problème de la semaine prochaine pour le moment je suis en train de regarder le temps passe bien que le plus vite et plus particulièrement les autres paysage de me donner des nouvelles de la part des choses qui me dit de vous lire la vidéo de la place du village de la part des choses qui me dit de vous voir les budgets 7 la vie est lié à la maison des

cet objet. Rentrez dans l’image : vous êtes cet objet. Que dirait-il de vous ? » J’aime – je n’aime pas « Faites la liste des choses que vous aimez et celle des choses que vous n’aimez pas. Sans trop réfléchir ni faire de grandes phrases, écrivez du plus insignifiant au plus « existentiel », dans l’ordre, dans le désordre, comme ça vous vient à l’esprit. » Pour donner le « rythme », on peut lire le j’aime-je n’aime pas de Roland Barthes ou celui du prologue d’ Amélie Poulain (le film)

plus qu'hier et bien moins que demain. [ Rosemonde Gérard ] Chaque parole qui sort de ta bouche est comme sorcellerie qui m'envoute dans l'amour.. [ Inconnu ] Compte les étoiles dans le ciel et tu sauras combien je t'aime. [ Inconnu ] Dans la vie j'aime deux choses, la rose et toi. La rose pour un jour et toi pour la vie [ Inconnu ] Dans le ciel il y a des nuages, dans le désert il y a des mirages et dans mon coeur il y a ton visage. [ Inconnu ] Dans un an il y a douze mois, dans une main il y a

IV. Bilan Le livre m’a beaucoup plu. Je trouve que c’est un livre très intéressant. Bien que ce soit écrit dans un style monotone j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire. J’aime comment Camus nous montre le malheur et les différentes manières d’agir. Il nous transmet très bien les sentiments de l’humanité en face du mal. J’aime les livres qui ont un sens psychologique comme dans « La Peste ». Ce sont des livres où l’auteur laisse beaucoup de place pour interpréter. En plus je dois dire que Camus

imbécilité: ils se fient au nom d'un plat pour l'apprécier : après avoir dit : « [Terrine de Nérac] [...] j'aime assez ça », Colladan avoue, avec une naïveté prétentieuse déconcertante : « je ne sais pas ce que c'est, mais j'aime assez ça ! » (l. 14-15). Plus loin, après la description d'un mélange peu ragoûtant (l. 34-36), il s'écrie : « que ça doit être bon ! » (l. 37). En conclusion il ne faut pas lire  La Cagnotte comme une pièce engagée ou sérieuse ; c'est tout au plus une pièce comique et de détente

présente à nous est « Zone », ce qui peut paraître très surprenant puisque c’est le dernier poème à avoir été écrit. « Zone » est un poème très moderne traitant d’un thème peu poétique, un thème industriel qui ressort en particulier dans le vers 23 « J’aime la grâce de cette rue industrielle ». Sa position dans le recueil n’est pas anodine puisque le premier poème est la première impression du lecteur et par ailleurs on voit aussi une symétrie entre les poèmes par exemple entre « Zone » et « Vendémiaire »

étudié : Scène 2 : Lisette, Colette, Blaise, Merlin Merlin : Allons, mes enfants, je vous attendais ; montrez-moi un petit échantillon de votre savoir-faire, et tâchons de gagner notre argent le mieux que nous pourrons ; répétons. Lisette : Ce que j'aime de ta comédie, c'est que nous nous la donnerons à nous-mêmes ; car je pense que nous allons tenir de jolis propos. Merlin : De très jolis propos ; car, dans le plan de ma pièce, vous ne sortez point de votre caractère, vous autres : toi, tu joues