J'aime lire

"chercher la petite bête". Nous lisons, en effet, des phrases et des textes organisés si souvent et depuis si longtemps! Et pourtant les aptitudes de lecture nécessaires au cycle supérieur de l'enseignement secondaire font souvent défaut. C'est que lire demande de mettre en œuvre une série d'opérations relativement complexes. Il est utile de s'arrêter quelques moments à les expliciter. C’est dans ce contexte qu’il est soutenu pour dire que « les livres ne versaient pas seulement l’oubli et la distraction »

si les préjugés sont tenaces ! Par ailleurs, à moins de faire preuve d’une pratique intensive et d’un grand savoir-faire en la matière, quoiqu’on en dise, certaines activités manquent terriblement d’originalité comme : la lecture (chacun a appris à lire !), le ski (passer une semaine chaque année à la montagne ne relève pas de l’exploit !), le cinéma (qui déteste se faire une toile ?), la cuisine (vous n’empoisonnez pas vos amis ?) ou encore la natation (vous partez en vacances à la mer ?). Pour que

du Soir). On a pu remarquer que le Soir fait partie du Top of Mind malgré que celui-ci ne soit pas lu par tous. La majorité des personnes qui ont été interrogées font surtout attention à la Une des journaux. C'est ce qui va les pousser ou non à lire un article qui pourrait les intéresser. Nous avons pu récolter beaucoup d'information en ce qui concerne ce qu'ils pensent du Soir. Nous avons pu ainsi apprendre qu'il en avait une image d'un journal sérieux, complet et que c'est une bonne source

mettre nos aptitudes à l'épreuve 3". Se trouve ainsi posée la question essentielle du poids respectif du lecteur et du texte dans l'acte de lire. 5. Umberto Eco et la coopération interprétative C'est une analyse de cette tension entre le texte et le lecteur que propose Umberto Eco, dans Lector in fabula, en 1979. Il s'agit d'une approche sémiotique de l'acte de lire conçu comme " coopération interprétative ". Comme ses prédécesseurs, U. Eco souligne l'incomplétude du texte qu'il décrit comme " un tissu

homme déjà fou ou sur le point de le devenir pouvait avoir écrit ses contes fantastiques. » Dans le fantastique du Horla deux logiques s'opposent, l'une est rationnelle l'autre est irrationnel. En effet car malgré un décor rassurant « J'aime ce pays et j'aime y vivre parce que j'y ai mes racines », « J 'aime ma maison ou j'ai grandi. », nous remarquons l’apparition de faits inexplicables « la tige d'une de ces roses se plier, comme si une main l’eut tordue, puis se casser, comme si cette main

le lecteur par surprise avec les énoncés complexes. Le passage, où le personnage principal décrit son pays natal dans une manière très descriptive et élaborée, donne au lecteur une image très vivide et détaillée du pays, et de l'homme. «J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions

Je ne suis pas un fonceur, un dragueur... J'aime prendre mon temps, séduire, conquérir. Ca n'a pas l'air de te déplaire, bien au contraire. Nous apprenons à nous connaître, nous découvrons l'autre petit à petit. Nous dinons ensemble, nous discutons. Nous nous croisons, nous nous sourions.Nous avons de petits gestes l'un vers l'autre. Et pourtant, alors que tu te prêtes à ce jeu, que tu suis les pas de la danse, j'ai toujours du mal à te lire. Tu es probablement la plus jolie femme

garçon élevé par tante Yvette? Carlo vient de Sicile. 6)Quel animal Yvette et Pierre élèvent-t-ils? Dans quel but? Des chèvres .Pour du fromage et du lait. 7)Qu'apprend Claudine chez son oncle et sa tante?(3 éléments) Elle apprend à lire, écrire et dessiner. 8)Quel métier rêve-t-elle d'exercer plus tard? Elle veut devenir styliste. 9)Quelle loi très importante pour l'avenir de Claudine Jules Ferry fait-il voter à Paris? Il a décidé que l'école était obligatoire. 10)Pourquoi

lorsqu’on lit un livre, on a le temps de se poser des questions… Ce que fait ce personnage est-ce juste, comment ferais-je à sa place, suis-je triste pour lui, qu’est ce que l’auteur essaie de nous dire ? Personnellement, quand j’ai fini de lire un livre, j’aime en parler avec ceux qui le connaissent, pour savoir comment eux ils l’ont trouvé et pourquoi, ou même pour discuter des problématiques soulevées par l’auteur, des idées générales du roman, et, au final, même du sens plus profond du livre. Un

je sens en vous faisant ce récit ») mais aussi de vérité générale (« j’aime à voir une jolie femme ») et de narration (« il se hâte d’arranger ses affaires »). Autre façon de rendre le texte plus vivant que ne le serait une argumentation simple et traditionnelle, rendre la scène visible, la mettre sous les yeux des destinataires, pris à témoins par les nombreux déictiques : « celui qui », « c’est qu’ils », « celle que j’aime », « ce que je possède », « cet homme », « c’est les larmes aux yeux »)