Jalousie

____________________________________ Christian MORIN Un amour de Swann, un amour comique? Déjà dans le théâtre antique et jusque dans les comédies sentimentales hollywoodiennes d’aujourd’hui, les contraintes sociales et financières ou encore la jalousie briment l’amour. Sans être comiques en soi (on prend ici comique dans son sens le plus large, regroupant toutes les formes du risible), ces contraintes peuvent donner lieu à des situations comiques, mille fois reprises au théâtre et au cinéma, où

famille Roland qui ne cherche pas plus que ça la raison de cette héritage donné par Léon Maréchal a Jean. Des le début les deux frère sont présentés comme très opposés avec quelques points communs : ils courtisent la même jeune femme. La rivalité et la jalousie eprouvé par Jean qui lui gâche la vie va le poussera découvrir la vérité : son petit frère n'est pas le fils légitime de M. Roland mais il est naît d'un adultère avec Maréchal. Pierre ne se sent plus bien du tout en sachant ça sur sa mère et quand

l'homme vis-à-vis de l'impuissance est insupportable et il est prouvé que désormais, la satisfaction sexuelle constitue un élément indispensable pour une vie de couple épanouie. L'homme est d'autant plus blessé à cause de la jalousie qu'il éprouve. En effet il y a deux types de jalousie selon le sexe : la femme est plutôt jalouse affectivement tandis que l'homme l'est plutôt sexuellement ce qui provoque chez lui une frustration en cas d'impuissance. Les causes de l'impuissance sexuelle sont souvent psychologiques

une « rivale » vers 880. « Une autre de César a surpris la tendresse : elle aura le pouvoir d'épouse et de maîtresse. » vers 887,888. C'est pourquoi elle éprouve une jalousie vis à vis de Junie qui lui fait exprimer ses sentiments de façon dramatique et pathétique comme si elle était une pauvre victime trompée par un homme. b) Sa jalousie envers Junie« Bientôt, si je ne romps ce funeste lien, ma place est occupée et je ne suis plus rien » vers 881,882. Il s'agit donc bien d'un désir d'évincer la mortelle

il faut qu'il puisse comprendre facilement, qu'il apprécie la lecture. Lorsque le texte (même un roman ou une pièce) est trop ardu => public plus restreint, fatigue de la lecture. • Universalité du message. Ex : tout le monde a pu ressentir la jalousie de Phèdre tu pourrais te demander comment l'auteur et le dramaturge s'y prennent-ils pour faire passer les émotions aux différents publics! car il s'agit bien de publics différents car les attentes ne sont pas les mêmes! où crois tu que le public

violent. Ils déménagent à Paris où les choses vont bien jusqu’à la visite d’Henri Smith, ami d’enfance de Brigitte, amoureux d’elle, il essaie de la convaincre de rentrer mais elle refuse par devoir et est malheureuse. Tout cela torture Octave de jalousie, ce qui le pousse jusqu’à tenir un couteau au dessus de Brigitte endormie. Il finit par découvrir qu’elle est amoureuse d’Henri et décide de la quitter.

Les trois textes qui nous sont proposés sont des extraits de romans d’époques différentes, mais leur thème est identique : le personnage principal est confronté à la jalousie car il soupçonne (commeSwann dans Un amour de Swann de Marcel Proust), a soupçonné (comme Mme de Clèves dans La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette), ou constate (comme le narrateur des Confessions d’un enfant du siècled’Alfred de Musset), l’infidélité de la personne aimée. Quels moyens les auteurs ont-ils choisis pour

La nostalgie revient lorsque le présent n'est pas à la hauteur du passé ... " Je suis ce genre de fille qui s'attache très vite aux gens. Je suis ce genre de fille parfois trop naïve. Je suis ce genre de fille plutôt jalouse, mais on dit que la jalousie est une preuve d'amour. Possessive aussi je l'admet. Je suis ce genre de fille plutôt maladroite, qui a tendance à trébucher partout. Je suis ce genre de fille joueuse, et qui n'aime pas perdre. Je suis ce genre de fille qui, une fois une idée en

transparent de laquelle se dévoilait à lui, avec le secret d'un incident qu'il n'aurait jamais cru possible de connaitre, un peu de la vie d'Odette, comme dans une étroite section lumineuse pratiquée jusqu'à l'inconnu. Puis sa jalousie s'en réjouissait, comme si cette jalousie eût une vitalité indépendante, égoïste, vorace de tout ce qui la nourrirait, fût-ce aux dépens de lui-même. Maintenant elle avait un aliment et Swann allait pouvoir commence à s'inquiéter chaque jour des visites qu'Odette avait

lieu d’un serviteur c’est accepter un maître. Quand on n’en souffre qu’un, qu’on ne pense qu’à lui, Tous autres entretiens nous donnent de l’ennui, Il nous faut de tout point vivre à sa fantaisie, Souffrir de son humeur, craindre sa jalousie, Et de peur que le temps n’emporte ses ferveurs, Le combler chaque jour de nouvelles faveurs: Notre âme, s’il s’éloigne, est chagrine, abattue ; Sa mort nous désespère, et son change nous tue. Et de quelque douceur que nos feux