Jambe

chiton, une robe en tissu fin descendant jusqu’aux pieds que portaient hommes et femmes dans l’Antiquité. Ce chiton laisse apparaître les courbes du corps ; partiellement recouverte d’un himation, un manteau enroulé sur la taille et qui découvre la jambe gauche de la statue. Le vent plaque les vêtements contre le corps et gonfle le chiton à l’arrière. Les jambes sont un peu écartées comme si elle avançait : la Victoire est représentée en train de poser sur le pont d’un navire. Il n’y a pas de tête

phalanges du pied et de la voute plantaire. Elle ressent peu de douleurs à la mobilisation de son pied et peut soulever sa jambe. Elle présente un petit œdème. Elle ne semble pas anxieuse et son discours est cohérent. Dans le même temps, j’ai pris 4 mesures pour réaliser le patron. La première correspond à la longueur : distance proximales (0) : partie postérieure proximale de la jambe qui n’entraîne pas de contraintes avec le creux poplité ; 0 - sur le talon ; 0 - fin du pied. Les trois dernières représentent

Fatiguée par l'effort que lui demande la douche, elle s'assied sur la chaise. Je lui pose la serviette pour protéger ses parties intimes. Je m agenouille devant elle pour sécher les pieds. Je saisis son pied droit en veillant à ne pas trop lui lever la jambe. J'essuie très doucement le dessus du pied, ensuite le talon , la voûte plantaire pour finir par essuyer orteil par orteil. Je passe la serviette entre chaque orteil pour supprimer l'humidité (pour éviter tout risque de mycoses). Je procède de la

« douleur majestueuse » : antithèse rejoignant cette dualité : femme qui crée la douleur et la douceur - Description de la femme : longue et mince -> description d’une silhouette charmante -> Ensuite : description plus détaillée : perçoit une main et une jambe aux vers 3 et 5 -> pas de détails sur son visage -> seulement ses mouvements et son regard -> passe sans s’arrêter-> -> crée un mystère autour de cette dame -> on ne connait pas tt les détails - Vers 4 : Allitération en l : liquide -> fluidité, souplesse

sol (escalier, livre,…). Soulevez vous avec la pointe de vos pieds puis redescendez lentement. Faites une jambe puis l’autre. 
 
 Stepups – Prenez une chaise et posez un pied dessus, sautez avec cette jambe et lorsque vous êtes en l’air changer de jambe : mettez votre jambe qui était sur le sol sur la chaise et celle sur la chaîne sur le sol. Faites le nombre de Reps indiqué pour chaque jambe. 
 
 Thrust ups – Tenez vous debout avec vos pieds largeur des épaules, et ne pliez plus les genoux. Ensuite

Parvana est une petite Afghane de 11 ans. L'Afghanistan est en guerre depuis 20 ans. Malgré les règles des talibans (groupe religieux extrémiste qui dirige le pays), chaque matin elle accompagne son père au marché car il n'a plus qu'une jambe (il a vendu sa jambe de bois). Un jour des talibans font irruption dans la seule pièce où habite la famille de Parvana et prennent son père parce qu'il a fait ses études en Angleterre. Maintenant la famille n'a plus de garçon assez grand pour aller gagner leur

héros voit sa jambe cassée brutalement, or il se trouve qu’au moment où je lisais ces lignes je ressentis une vive douleur à la jambe (la gauche, comme dans le roman). Par réflexe, mes muscles se raidirent et je laissais échapper un cri. Ma jambe était, évidemment, intacte. Mon cerveau avait conceptualisé la douleur et l’avait ressentie. Le livre peut donc transmettre — dans certaines conditions — une forme d’expérience sensorielle inconnue du lecteur (je ne me suis jamais cassé la jambe). Il permet

l'Académie des Beaux Arts  1946 – opération de la colonne vertébrale  1950 – sa santé s'aggrave, elle retourne à l'hôpital  1953 – la photographe Lola Alvarez Bravo organise la première exposition monographique  en août, on l'ampute de la jambe droite  1954, – le 13 juillet – elle meurt - le 14 juillet- elle est incinérée Magdalena Carmen Frida Kahlo Calderón est née le 6 juillet 1907, dans la „Maison bleue“ (la Casa Azul) à Coyoacán, un quartier populaire au sud de Mexico. Elle

fait de dire aussi naturellement « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite » amplifie l’horreur que ressent le lecteur en lisant le passage de plus on apprend par la suite que c’est une pratique courante que de leur couper un main ou une jambe; « oui, monsieur … deux cas » il dit cela comme si c’était normal alors que c’est horrible et extrêmement douloureux. Il y a un parallélisme entre « coupe la jambe ; coupe la main » et il appelle Candide « monsieur » car il lui porte

ville : instant ralenti et figé. b) La beauté Silhouette indeterminée « une » indéfinie et évoquée par métonymie « une main » « le veston et l’ourlet » « sa jambe » « son œil » ( vision fragmentée et aérienne, légère. « Douleur majestueuse » « la main fastueuse » ( Elégance parisienne. v.5 ; « agile et noble avec sa jambe de statue » confirme l’image de majesté et de grâce. Le débordement v4-5 immite l’allure de cette femme, son élan. Rimes riches, 5 sons pour les vers 2 et 3. Et