James Richard Cross

libération de Cross : • la libération de 23 prisonniers politiques ; • 500 000 $ en or • la diffusion et la publication du Manifeste du FLQ • le réemploi de 400 ex-employés de l'entreprise Lapalme par Postes Canada à la suite de leur mise à pied. « Vive le Québec libre ! Vive les camarades prisonniers politiques ! Vive la révolution québécoise ! Vive le Front de libération du Québec ! » La crise d’Octobre -  Enlèvement de l’attaché commercial brittanique James Richard Cross -  Lecture

1970, un groupe de souverainistes terroristes kidnappe James Richard Cross, un diplomate britannique. Ce groupe, le FLQ (Front de libération du Québec) prône des moyens comme la violence pour arriver à ses fins. Comme rançon, ils exigent entre autre que leur manifeste soit lu à la télévision. Gaétan Montreuil effectue donc la lecture intégrale de cette déclaration et précise au début et à la fin de sa lecture, qu’il agit ainsi pour libérer Cross. Parce que le gouvernement refuse de discuter avec

Rose, ce mouvement fût considéré comme terroriste par ses actions plus radicales comme la pose de bombe dans les quartiers anglophones riches de Montréal, des vols à mains armées et notamment l’enlèvement du commissaire commercial britannique, James Richard Cross et du ministre Pierre Laporte. Le mouvement du FLQ a énormément marqué l’histoire du Québec par la radicalité de ses actions lors d’une période où le Québec changeait grandement après la période sombre que les Québécois avaient connus avec l’ère

connu sous le nom de James VI, qui est désigné pour lui succéder. Le roi d’Ecosse est un lointain descendant du roi d’Angleterre Henry VII Tudor, et il se trouve en effet être le plus proche héritier de la « Reine-Vierge » (The Virgin Queen). Il est le fils de la cousine de la reine, Mary Stuart (connu aussi sous le nom de Bloody Mary), qu’elle a fait décapiter, et de Henry Darnley, lui-même exécuté par Mary Stuart. Il succède sur le trône d’Angleterre sous le nom de James I. Il est à noter que

du Québec (FLQ). C’était en octobre 1970. Une cellule du Front de libération du Québec (FLQ) procéda de sang-froid à l’enlèvement et à l’assassinat de Pierre Laporte, ministre du travail du Québec et à l’enlèvement du diplomate britannique James Richard Cross. Devant cette crise, le premier ministre d’alors, Pierre Trudeau et avec l’accord du premier ministre du Québec, Robert Bou-rassa, imposa des « mesures de guerre ». L’armée entra en force, on imposa un couvre-feu et la suspension des droits

sociales qui ont poussé le mouvement du FLQ vers les enlèvements politiques. Ce sera l’objet de la seconde partie de ce travail. II CAUSES SOCIALES Pour mettre en évidence les causes sociales qui ont conduit le FLQ à enlever le diplomate James Richard Cross et M. Pierre Laporte en octobre 1970, il nous faut prendre conscience de deux facteurs importants; la médiatisation du Manifeste et l’espoir d’une révolution sociale. A. Médiatisation du Manifeste L’objectif de cette partie secondaire est

quelle invention fut à l’origine de la révolution industrielle ? L’invention de la machine à vapeur revient à Denis Papin (1687), Thomas Newcomen (1712) et Thomas Savery. Toutefois, cette dernière version était peu efficace. Par ces modifications, James Watt a rendu cette invention plus fonctionnelle, c’est donc lui qui en a retiré le plus de mérite. B) Qui a amélioré cette machine ? Ingénieur écossais passionné de mécanique, il fut chargé de réparer la machine de Thomas Newcomen en 1763. Remarquant

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les ravisseurs 2. Enlèvement de Pierre Laporte, ministre du Travail et de l’Immigration, par quatre hommes masqués et armés de mitraillettes 3. Lecture du Manifeste du FLQ à la télévision de Radio-Canada 4. Enlèvement du diplomate britannique James Richard Cross à son domicile par quatre membres du Front de libération du Québec 5. Arrestation de Paul Rose, Jacques Rose et Francis Simard à Saint-Luc 6. Entrée en vigueur de la Loi sur les mesures de guerre par Pierre Elliott Trudeau 7. Assassinat du ministre

québécoise à encourager l’indépendance du Québec et à soutenir un régime politique de l’extrême gauche. Le FLQ se sert de la violence et du terrorisme pour réaliser leur désir politique, l’indépendance du Québec. Ce mouvement va jusqu’à enlever James Richard Cross, l’attaché commercial du Haut-Commissariat de la Grande-Bretagne à Montréal, et Pierre Laporte, le ministre du Travail du Québec, car les autorités politiques ne veulent pas coopérer avec le FLQ. Le gouvernement canadien va jusqu’à faire appliquer