Jardin des Tuileries

Museumsmeile, Bonn, Allemagne, 1999 à Trondheim, Norvège, 2007 à Art Basel, Bâle, Suisse, 2007 au Madison Square Park, New York, États-Unis, 2008 à la galerie Kammel Mennour, Paris, France, 2008 à l'Hôtel de la Monnaie, Paris, France, 2008 à la Fiac, jardin des Tuileries, Paris, France, 2008 à Art Basel Miami Beach, Miami, États-Unis, 2008 au Donjon de Vez, Vez, France, 2009 à la Haus der Kulturen der Welt, Berlin, Allemagne, 2009 et au Centre Pompidou, Paris, France, 2010 "Travailler in-situ est vraiment important

du ravitaillement est moins cruciale que pendant le siège hivernal de Paris par les Prussiens. Sauf le pain qui est taxé, les autres aliments se trouvent suffisamment grâce aux stocks accumulés après le siège, aux arrivages des terres agricoles et jardins compris entre les fortifications et les lignes allemandes. Pourtant, par sa circulaire du 21 avril, le gouvernement Thiers impose le blocus ferroviaire de la capitale. Des ventes publiques de pommes de terre, des boucheries municipales sont créées

de beug e Cy r Vic tor De cro s Ru e Gr av Ja urè s Pé te Je an Fbg Qu a Niel Gouv ion Ma rt du Fbg Aven ue de S Ve rd un Di on d'Alsa ce wa Jem ma p Le Tra m Pont de Puteaux o Jardin d'Acclimatation hi Rue Rue Vellefaux Sa in t-Den is Claude Dh uys B Po m l' Eau Gamb Stra sbou mb ett a Ne Aven ue i en lli Ga uil Fbg o de Mar guer ite Rue Mar igny Rein aud

pour base la religion, la propriété, la justice, l’amour des classes souffrantes. » Après avoir passé en ce 2 décembre les troupes en revue, avoir descendu les Champs-Elysées sous les acclamations de la foule, pour la première fois, le soir, aux Tuileries, dans la salle du trône, devant toutes les personnalités politiques réunies, Napoléon III signe : « Napoléon, par la grâce de Dieu et la volonté nationale, empereur des Français. » 29 janvier 1853 Mariage de Napoléon III et d'Eugénie de Montijo

de vallées qui ondulent vers de nouveaux mondes. et de voyages en voiture. je trouve très important d’accepter de ne pas être les maîtres de cet endroit. nous sommes ses visiteurs. et tels des invités profitons de cet endroit comme d’un jardin. traitons-le avec la douceur de nos mains. afin que ceux qui viendront après nous puissent en faire l’expérience eux aussi. trouvons notre propre soleil. faisons pousser nos propres fleurs. l’univers nous a fourni la lumière et les graines

fréquente des hommes qui participent à la collaboration et à la dénonciation. Le fils et son père s'en retournent à Paris pour que ce dernier puisse s'enfuir en Belgique sous une autre identité. Alors qu'il doit retrouver son passeur à l'« hôtel Tuilerie-Wagram », place des Pyramides, Chalva Deyckecaire est arrêté par quatre hommes et son fils ne pouvant se résoudre à l'abandonner, se laisse également embarquer. Des années après, le narrateur fait identifier sur une photo, par le vieux barman du

j’ai les allures à la fois funèbres et cyniques. Je n’aime point la vie et je n’ai point peur de la mort » (à Mlle Leroyer de Chantepie, 30 mars 1857). « Quels étranges souvenirs j’ai en ce genre ! L’amphithéâtre de l’Hôtel-Dieu donnait sur notre jardin. Que de fois, avec ma sœur, n’avons-nous pas grimpé au treillage et, suspendus entre la vigne, regardé curieusement les cadavres étalés ! Le soleil donnait dessus : les mêmes mouches qui voltigeaient sur nous et sur les fleurs allaient s’abattre là

se rapproche des milieux jansénistes car sa fille paralysée a été miraculeusement guérie au couvent de Port-Royal, évènement qu'il célébrera dans le célèbre et pourtant atypique Ex-voto en 1662. À partir de 1654, il participe à la décoration des Tuileries. Ce tableau, aujourd'hui conservé au musée du Louvre, représente la fille de l'artiste avec la mère supérieure Agnès Arnaud. Son œuvre est vaste, il a laissé nombre de tableaux religieux et des portraits fameux et très appréciés: Haute Noblesse,

j’ai les allures à la fois funèbres et cyniques. Je n’aime point la vie et je n’ai point peur de la mort » (à Mlle Leroyer de Chantepie, 30 mars 1857). « Quels étranges souvenirs j’ai en ce genre ! L’amphithéâtre de l’Hôtel-Dieu donnait sur notre jardin. Que de fois, avec ma sœur, n’avons-nous pas grimpé au treillage et, suspendus entre la vigne, regardé curieusement les cadavres étalés ! Le soleil donnait dessus : les mêmes mouches qui voltigeaient sur nous et sur les fleurs allaient s’abattre là

et harangue la foule des promeneurs et l’appelle à prendre les armes contre le gouvernement du roi. Dans les rues de Paris et dans le jardin du Palais-Royal de nombreuses manifestations ont lieu, les bustes de Jacques Necker et de Philippe d’Orléans sont portés en tête des cortèges. Le régiment de cavalerie, le Royal-allemand charge la foule amassée aux Tuileries. On compte plusieurs blessés, peut-être un tué parmi les émeutiers. En début de soirée, Pierre-Victor de Besenval à la tête des troupes