Jardin des Tuileries

dictatorial et limité très strictement la liberté d'expression. Mais au fil des années, le régime a évolué vers des formes plus libérales, proches d'un régime parlementaire. Avec l'impératrice Eugénie, Napoléon III a animé une vie de cour brillante, aux Tuileries (Paris), à Fontainebleau et à Compiègne, sans oublier les stations thermales et balnéaires créées sous son égide (Biarritz,...). Cette cour est ouverte à toute la bourgeoisie sans esprit de classe et se montre accueillante pour les gens de lettres

paix Daphné des Tuileries : représente Daphné, terrifiée, bras levés et suppliante, dans le mythe d’Apollon et Daphné Utrecht : ville en Hollande, l’académie d’Utrecht est cependant une école d’art carravaggesque Shiva : dieu hindou, il aurait coupé la tête de Ganesa et aurait remplacée celle-ci par celle d’un éléphant Ladon : reptile aux cents têtes de la mythologie grecque qui protège le jardin des pommes d’or des Hesperides

précis, sans pittoresque ni profondeur, il est vrai. Qu'importe, il laisse à l'imagination le soin de se représenter le cadre et les figurants. Le Paris de la Régence revit devant nos yeux. On se donne rendez-vous au Palais Royal, dans le jardin des Tuileries, au Luxembourg. Le héros a fait ses études au séminaire de Saint-Sulpice, il soutient un « exercice public » en Sorbonne, attend en vain sa bien-aimée au café Ferré, rue Saint-André-des-Arts, près du pont Saint-Michel. Désespéré, il s'assied

Louis XIV à pour mission de redessiner le parterre du château des Tuileries. Le Nôtre se concentre sur l'allée centrale et il décide alors de la prolonger en ligne droite par un « mail planté » au delà du parc vers le Rond-Point. En 1709, cette promenade est nommée « plantée d'ormes - ChampsElysées » On fait allusion au lieu de séjour des héros et des « âmes vertueuses » dans la mythologie grecque. En 1724, le directeur des jardins royaux, le duc d'Antin, prolonge l'avenue jusqu'à l'actuelle Etoile

elle, lui préparait la jouissance inconnue que rêvait son assouvissement. La calèche prit l'avenue de la Reine-Hortense, et vint s'arrêter au bout de la rue Monceau, à quelques pas du boulevard Malesherbes, devant un grand hôtel situé entre cour et jardin. Les deux grilles chargées d'ornements dorés, qui s'ouvraient sur la cour, étaient chacune flanquées d'une paire de lanternes, en forme d'urnes également couvertes de dorures, et dans lesquelles flambaient de larges flammes de gaz. Entre les deux

ouvriers pour terminer ce gigantesque projet. Les architectes qui ont réalisé cette œuvre sont : Le Vau et Hardouin-Mansart.    Le peintre  Lebrun s'est occupé avec d'autres artistes de sa décoration et le jardinier Le Nôtre a dessiné le magnifique jardin et les fontaines.    En logeant la noblesse à Versailles, le roi évite les complots. Il est très bien renseigné par ses espions des moindres faits et gestes des personnes importantes de son palais. La noblesse ne pense plus qu'à plaire et à satisfaire

libéraux, parmi lesquels Necker, contrôleur des Finances, renvoyé le 11 juillet. La nouvelle est connue à Paris le 12. Dans l’après-midi, dans les jardins du Palais-Royal, le journaliste Camille Desmoulins exhorte la foule à se mettre en état de défense. Il considère le renvoi de Necker comme une attaque contre le peuple. Dans les jardins des Tuileries et aux Invalides, les Parisiens se heurtent au régiment dit du Royal-Allemand du prince de Lambesc dont les soldats sont accusés d'avoir tué des manifestants

sculpture devint de plus en plus naturaliste. Les gens du peuple, les femmes, les enfants, les animaux et les scènes domestiques devinrent des sujets de sculpture, qui étaient commandées par de riches familles pour l'ornement de leurs maisons et de leurs jardins. Des portraits réalistes d'hommes et de femmes de tous âges furent produits, et les sculpteurs n'étaient plus obligés de les représenter comme des idéaux de beauté et de perfection physique. Pendant ce temps, les nouvelles cités hellénistiques s'érigeant

d'autres pays. On peut dire que la volonté du groupe LVMH, d'affirmer un geste architectural contemporain a été une réussite, salué de toute part, dans le cas de la fondation Louis Vuitton mais celle-ci est situé dans un environnement tout autre, dans le jardin d'acclimatation, Gehry a délcaré lui meme de construire un immeuble de verre dans ce bois de façon à ce qu'il n'apparaisse pas trop intrusif ( grace à ce matériau) il fallait arriver à qeulquechose d'évanescent sans quoi nous n'aurions jamais obtenu

le macadam grinçait ; et tous les équipages descendaient au grand trot la longue avenue, en se frôlant, se dépassant, s'écartant les uns des autres, puis, sur la place de la Concorde, se dispersaient. Derrière les Tuileries, le ciel prenait la teinte des ardoises. Les arbres du jardin formaient deux masses énormes, violacées par le sommet. Les becs de gaz s'allumaient ; et la Seine, verdâtre dans toute son étendue, se déchirait en moires d'argent contre les piles des ponts. Il allait dîner, moyennant