J'arrive

belle demoiselle , vous êtes très alléchante ! (Il prend Donche et est sur le point de la mordre mais à cet instant Mélis et Maquet entrent en scène tout en parlant de math (sur quelle chanson ?? )) Donche : AU SECOUUURS , AIDEZ MOIII ! Mélis : J'arrive ma petite perruche ! Viens avec moi, je t'emmène dans un endroit à l'abri des regards! Maquet : PILOU ?! Qu'est-ce ue tu fais là ? Tu faisais quoi au juste ? Non mais tu te fous de moi ? ! QU'ON LUI COUPE LA TETE !! Ce que femme veut, Dieu veut

J'ai rendez-vous à 8h avec M. XXX. J'arrive avec un peu d'avance. Je monte directement à l'étage comme | | |me l'avait demandé M. XXX dans le courriel. | |Prise de contact | | | |J'arrive dans les bureaux de l'entreprise

nécessairement à vous mais peut-être à l’un de vos concurrents. C’est donc à vous de faire en sorte que le prospect aille chez vous et pas ailleurs. Ce qui vous donne bien 45% de chances qu’un prospect achète chez vous. Et pas chez quelqu’un d’autre. J’arrive presque au chiffre que vous attendez. Patience… Lors de sessions de phoning, 48% des commerciaux laissent tomber dès le premier appel C’est à dire que selon une étude de Dartnell Corp, un commercial sur deux ne relance pas ses prospects. Donc

Et eux, ne sais-je rien sur les rhumes d’amour. Atchoum en écho dans le casque…atchoum. C’est elle, elle est là, cachée et discrète dans le fond de cette salle, elle m’attend, elle m’appelle, elle aussi trahie par son rhume d’amour. J’arrive ma belle, j’arrive mon chou. Atchoum en écho. Je me guide vers cet écho, jusqu’au fond de la salle, me dirige vers la lumière extérieure, des grandes fenêtres. Mais personne, personne. Où es-tu ? M’as-tu seulement laissé un indice, un signe, un message de

d'tout, j'en ai ras-le-bol tu comprends pas tu peux pas comprendre. Vous êtes tous là à vous demander, retournez à votre vie la mienne est en train décéder.J'veux pas d'votre aide, j'veux m'pendre, j'veux me flinguer. Tu comprends pas j'arrive même plus a m'fringuer. J'arrive même plus à faire semblant, j'suis dégouté. J'veux ne plus être tout simplement. - Arrête de t'morfondre. Toi t'as rien, y'a pire que toi. Arrête de parler de ça et tais-toi allez! -Tais-toi ? C'est toi qui va te taire, t'es là

fond. je sent la honte et la haine qui monte en moi mais je remarque que Sarah ne rigole pas. Ceci me procure un sentiment étrange. En rentrant seul à pied chez moi je pense à tout ce que je vais pouvoir faire en étant chez moi, j’accélère mon pas, j'arrive à la maison je jette mon sac et me met devant ce cher ordinateur. Je joue à quelques jeux, je m'ennuie, je regarde alors des séries japonaise… Unumi Kanzaki, voilà une fille intéressante. Dommage qu'elle n'existe pas. Pourquoi je continue de vivre

Papie Antoine- Eh mémé, mémé. Dépêche. C'est la publicité sur la TSR. Mamie-(en coulisse) Le dessert? Quel dessert? Papie Antoine- Mais non, pas le désert. La pub sur la TSR. Mamie- Ah! La une ou la deux? Papie Antoine- Les deux. Mamie- J'arrive. J'arrive. Je veux pas rater les actions de la Coopé. Papie Antoine- La Coopé, c'est passé. Maintenant, c'est Palmolive. Scène 2 Mamie- (entrant)L'huile d'olive? Non. J'aime pas l'huile d'olive. TV- Ce soir, nous vous présentons en exclusivité

courriers départs et arrivées, à envoyer les fax et remettre tous les travaux de photocopies que l’on me demande…). Ma tutrice ou le Directeur de la structure sont toujours présents afin de m’épauler en cas de nécessité. -Yasmina souhaite que j’arrive à être autonome pour la plupart des tâches à accomplir, comme répondre avec les termes appropriés et adaptés à chaque demande, présenter les différentes activités proposées au public, transmettre correctement les messages aux personnes concernées

Monologue sur SALINA de Laurent Gaudé(p148) « La barque s’enfonce encore un peu puis disparait tandis que les portes achève de se fermer. »Darzagar, le passeur : On y est .Ma mission s’achève ici, malgré le temps qui s’est écouler ces lieux non pas changé et son identique au lieu que j’avais connu à l’époque où ce n’était qu’une ile comme les autres. Cela fait déjà 97 ans que je suis en vie, malgré une ville qui fus chamboulée, rien ne me fait regretter mes décisions qui m’ont

page. J'ai beau essayer de t'oublier, ça revient à la charge constamment. Ton sourire me manque, c'est fou comme il m'était indispensable. Te voir sourire était la chose la plus belle que j'ai vue dans ma vie. Te voir heureux me comblait de joie. J'arrive plus à faire semblant. Je pensais qu'avec le temps, tu serais de moins en moins présent. On m'a toujours dis que le temps efface les blessures mais c'est faux ! Ce n'est que des conneries. Des putains d'espoir ! Malgré le temps qui passe, je pense