Je Hais Plus Que La Mort Un Jeune

I- L’auteur FICHE DE LECTURE : Hervé Bazin, de son nom de naissance Jean-Pierre Hervé-Bazin, né le 17 avril 1911 à Angers, où il est mort le 17 février 1996 (à 84 ans), était un écrivain et poète français. Hervé Bazin est né au sein d'une famille aisée. Il passe son enfance à Marans, dans la propriété du Patis, où il s'oppose à sa mère qui était une femme autoritaire et sèche. Il fugue plusieurs fois pendant son adolescence et refuse de passer les

1ère L Objet d'étude : La Poésie. Corpus : TEXTE A: Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). TEXTE B : : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant II, 9 (1869). TEXTE C : Charles Baudelaire, « Le mort joyeux », Les Fleurs du Mal (1857), « Spleen et Idéal ». Questions : (4 points) Comparez en quoi ces textes sont provocateurs. Travaux d’écriture : au choix (16 points) Commentaire : Vous ferez le commentaire du texte de C. Baudelaire Dissertation : La

mains ou pas assez de pieds pour s'abaisser à jouer au football. Le football. Quel sport est plus laid, plus balourd et moins gracieux que le football ? Quelle harmonie, quelle élégance l'esthète de base pourrait-il bien découvrir dans les trottinements patauds de vingt-deux handicapés velus qui poussent des balles comme on pousse un étron, en ahanant des râles vulgaires de boeufs éteints ? (...) Je vous hais, footballeurs. Vous ne m'avez fait vibrer qu'une fois : le jour où j'ai appris que vous aviez

Commentaire de Texte : La Religieuse, 1796, Denis Diderot, (extrait) Diderot (1713-1784) est un philosophe des Lumières du XVIIème siècle. C’est aussi l’instigateur (avec D’Alembert) de l’Encyclopédie, un ouvrage parmi les plus marquant de son siècle. Ce projet consistait en une compilation de toutes les connaissances existantes. C’est un énorme progrès très engagé qui correspond bien aux idées des Lumières et à leur engagement contre le pouvoir séculier et ecclésiastique. En 1796, il écrit La

sentiments, et plus présiment d'une plainte, d'une mélancolie pour l'élégie. Beaucoup de thèmes sont ainsi traités : l'amour, la passion, la mort... La mort est d'ailleurs un thème récurrent chez certains poètes tels que Baudelaire, atteint du spleen, le "mal du siècle". Elle peut d'ailleurs apparaître comme une banalité pour certains, ou susciter un plus ou moins grand intérêt chez les poètes. Dans les trois religions monothéistes, soient le christianisme, l'Islam et le judaïsme, la mort est le renouveau

noirs. Deux anneaux d'argent fin lui pendent aux oreilles, Et ses yeux sont plus clairs que l'astre des beaux soirs. Va, sombre messager, dis-lui bien que je l'aime, Et que voici mon coeur. Elle reconnaîtra Qu'il est rouge et solide et non tremblant et blême Et la fille d'Ylmer, Corbeau, te sourira ! Moi, je meurs. Mon esprit coule par vingt blessures. J'ai fait mon temps. Buvez, ô loups, mon sang vermeil. Jeune, brave, riant, libre et sans flétrissures, Je vais m'asseoir parmi les Dieux

quatre vingt dix? Des cheveux bruns attachés en queue de cheval? Un sous-Pull marron malgré qu'on crève de chaud? Pas de doutes, vous êtes tombés sur moi. Et maintenant, voici mon nom, comme le veux la coutume. Je suis Matthieu, allias Matts pour les plus intimes. J'ai dix-sept ans, une passion pour la cigarette ce qui, par ailleurs, me place au rang de masochiste je crois, vu ma parfaite connaissance du danger de fumer. Mais bon, puisqu'il faut bien mourir de quelque chose, autant que ce truc soit

Le choix du lexique 3. Le recours à des images Extrait du commentaire composé du livre “Oeuvres poétiques (Hugo)” Ce poème est présenté sans date car il n'a pas été publié du vivant de Hugo. Il fait partie des textes inédits et rassemblés après sa mort dans un recueil intitulé Océan. Dans ce poème structuré d'un seul tenant en alexandrins, Hugo s'adresse aux jeunes et oppose à leur joie de vivre l'existence tarie et envieuse des vieillards qui cherchent à freiner leur élan en leur recommandant d'être

consiste à atténuer l'expression, à dire moins pour exprimer davantage. Elle est souvent à la forme négative. Ce n'est pas mal. ( = c'est bien) Va, je ne te hais point. ( = je t'aime) (Corneille.) 4. Euphémisme : formule adoucie destinée à atténuer la brutalité de l'idée ou de la réalité exprimée. Hippolyte n'est plus. (= il est mort) (Racine) Le troisième âge (= les personnes âgée). 5. Métonymie et synecdoque (proches) : désignation d'une chose par une de ses caractéristiques, par exemple

les premières scènes, on voit qu’elle est attentive aux autres : elle va vers eux, s’inquiète de leur état (p. 54). Elle est compréhensible en vers ses camarades, de Stepan, elle dit : « Je crois qu’il n’aime personne. Quand tout sera fini, il sera plus heureux ». Elle sait que tuer n’est pas si facile que Kalieve se l'imagine et que au sein de l'Organisation, c'est une tâche cruciale et importante; elle essaie de le mettre en garde : « il faut que tu sois prévenu ! Un homme est un homme. » Elle