Je Hais Plus Que La Mort Un Jeune

Colle de Français n°1 Khâgne Considération sur Cicéron Ce chapitre est l’occasion pour Montaigne de critiquer la tradition rhétorique antique dont il prend pour paradigmes Cicéron et Pline le Jeune. Il fustige leur style grandiloquent et leur quête de gloire que l’on retrouve même dans leurs correspondances privées. Il s’opère dans ce chapitre une analogie entre l’entreprise épistolaire et l’entreprise des Essais. En effet, en exposant ce pour quoi il ne peut pas s’adonner à ces correspondances

pourrait retrouver une authenticité, en s'affranchissant des arrières-mondes fantasmatiques que son appel de sens suscite, et en se libérant de cette pulsion de fuite qui le conduit à se nier comme être de pensée pour mieux escamoter une pensée de la mort qu'il esquive par la fuite. Révolte et liberté ont donc partie liée. Le thème de la liberté est présent dans la pièce, mais moins à l'état d'affirmation que comme question, moins comme position que comme débat, comme tension entre une liberté négative

suivent.« Je saurai parler seul ! Et, de par tous les diables, /Je saurai bien toujours la prendre dans mes bras ! » (E. Rostand, « Cyrano de Bergerac ».) La gradation est une énumération dont les termes sont ordonnés du plus faible au plus fort ou du plus fort au plus faible.« Va, cours, vole et nous venge ! » (Corneille, « Le Cid ».) L'hyperbole est une exagération excessive.« J'ai dix cœurs, j'ai vingt bras... » (E. Rostand, « Cyrano de Bergerac ».) L'antithèse emploie dans la même

contre Rodrigue. Il connaît la valeur du jeune homme aussi bien que son amour pour Chimène. Il sait également qu’il est plus fort que Rodrigue et plus expérimenté. Quand Rodrigue l’enjoint à se battre v.403 : « A quatre pas d’ici je te le fais savoir », le comte le ridiculise un tant soit peu : « Jeune présomptueux » (v.404), mais Rodrigue ne se laisse pas impressionner : « La valeur n’attend point le nombre des années » (v.406), autrement dit, on peut être jeune est courageux ! 4/. Dans la scène

~ L E F A U X O P E R A ~- Le Malade imaginaire, II, 5, Molière - CLEANTEMais, Philis, une pensée,Vient troubler ce doux transport,Un rival, un rival…ANGÉLIQUEAh! je le hais plus que la mort,Et sa présence, ainsi qu'à vousM'est un cruel supplice.CLÉANTEMais un père à ses vœux vous veut assujettir . ANGÉLIQUEPlutôt, plutôt mourir,Que de jamais y consentir,Plutôt, plutôt mourir, plutôt mourir.ARGANEt que dit le père à tout cela?CLÉANTEIl ne dit rien.ARGANVoilà

22… ⇒ Responsable - Hermione dilue ses propres responsabilités dans un « nous » vers 15 - Exclamations « Qu’il périsse ! », termes « rage » « orage » ⇒ Violence, force de sa colère, de sa haine => parce qu’elle le hait, elle veut sa mort - (Rythme régulier = arguments ⇒ raison) On peut dire que cette accumulation d’arguments, cette responsabilisation de Pyrrhus et la colère d’Hermione lui servent à justifier sa décision précédente qui a été d’envoyer Oreste tuer Pyrrhus. Mais

en détail la prise de décision de la jeune femme. I. La Justification des actes d’Hermione. - Vers 7,8 et 10 => Questions rhétoriques, réponses évidentes ⇒ Pour la décision passée d’Hermione - Voca. Sentimental « gémissement », « soupirs », « alarmes » en opposition ac « muet » « tranquille » (comportement de Pyrrhus) + insouciance « triomphant » « ne s’informe pas » ⇒ il n’a aucun sentiment pour Hermione = justifie sa mort + se projette à sa place

Il est issu d’une famille bourgeoise, il fut orphelin très jeune et il fut donc envoyé à Port Royal chez les jansénistes. Il écrit ses premières pièces dans les années 1660 mais c’est en 1667 avec Andromaque qu’il connut le succès. Par la suite, il fut nommé historiographe du roi Louis XIV et décida d’abandonner le théâtre. Jean RACINE est du courant du classicisme. Définition de cinq mots inconnus : * « Funeste » : Qui apporte la mort /Qui apporte le malheur ou la désolation. * « Courroux » :

je boirai la mer et ses poissons | Litote | Dire moins pour faire comprendre plus | Va, je ne te hais point = Je t’aime | Périphrase | Évoquer un mot sans le nommer | La capitale de la France | Euphémisme | Périphrase qui atténue | Il a vécu = il n’est plus là | Antiphrase | Éléments contraires ironiques | Dracula, ce charmant jeune homme | Prétérition | Dire en précisant qu’on ne veut pas le dire | Je ne rappellerai

s'accompagne, elle, d'une action plus ou moins explicite sur la sensibilité du lecteur qu'elle s'efforce de gagner par le pouvoir de suggestion des images, la violence du verbe, la complicité qu'elle peut établir par l'émotion ou le rire : le registre laudatif se caractérise par l'abondance des évaluatifs mélioratifs et des exclamations admiratives. C'est le ton de l'éloge, du panégyrique, de l'oraison funèbre : Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers