Je me souviens

vous, mon ami, mettez-vous à l’aise. Ça vous rappellera l’hôpital et le bon temps de la jeunesse. — Ah çà ! où donc avez-vous gagné ces cheveux blancs ? Vous n’étiez pas ainsi, il n’y a pas encore bien longtemps, quand vous étiez interne de L… Je me souviens que c’était vous qui l’assistiez dans les opérations graves. En voilà un homme qui aime couper, tailler et rogner ! C’était vous qui lui tendiez les instruments, les fils et les éponges. — Et comme, l’opération faite, il disait fièrement, en regardant

du Moyen-Age avec celui des danses macabres. Le XVIème siècle voit l’apparition d’un nouveau répertoire. Les vanités furent très répandues à l'époque baroque (XVIe et XVIIe siècles) et sont comme un rappel constant à l'homme de ce “Mémento mori” (Souviens-toi que tu mourras), pour lui faire considérer l'inutilité de s'attacher aux plaisirs de son temps. La peinture à caractère moral est favorisée par les thèses calvinistes, liées à l’idée de grâce et de rédemption. Les vanités à nature morte connaissent

Anthologie Guillaume Apollinaire – Alcools 1) Le pont Mirabeau, page 19 « Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour

appartenait à mon grand-père. Je me suis toujours beaucoup intéressée au armes a feu. Une voiture arrive dans la coure ,devant la maison. Cette voiture me rappelle quelque chose, mais je ne me souviens plus de quoi il s’agit. Jusqu’au moment ou je vois deux hommes habillés en noir qui s’avancent vers l’entrée. Je me souviens maintenant ! Oui, ce sont les mêmes personnes qui ont pris mes parents pour les amener à la guerre. -Madame River ? demanda l’un des deux hommes a ma grand-mère, tout en baissant son

planches. Au tour de Mme R de jouer, elle sent le boitier dans lequel se trouve de la lavande, toute émue, les larmes au yeux, nous énonce le nom de l'odeur qu'elle a senti. Madame R me dit: - « Sa me fait penser à de la lavande, je me souviens de cette odeur j'allais la cueillir.» Moi: - « Avec qui, cueillez vous cette lavande?» Madame R: -« Avec mes petits enfants, Isabelle & Christophe. Ils adoraient m'aider.» Moi: -« Que faisiez vous avec la lavande ensuite?»

C’est la mise en abyme. -Champ lexical de l’exaltation : « j’étouffe », « je suis fou », «  je n’en peux plus », «c’est trop », « je frissonne ». -Nombreuses hyperboles : « tous ceux », « j’étouffe », « je suis fou », « tout le temps », « je me souviens de tout, j’ai tout aimé », « tellement » -La passion est si extrême qu’elle va jusqu’au sacrifice « Ah ! Que pour ton bonheur je donnerais le mien quand même tu

Les soirées de Paris » apparaît très curieusement kaléidoscopique, tel un tissage d’éléments disparates. Mais très vite il apparaît également que derrière la discontinuité et l’empilement d’éléments hétérogènes se jouent d’obsédantes reprises (« Te souviens-tu ? »). Fernand Fleuret, à qui ce texte est dédié, le définit comme une des « chansons farcies », des « complaintes populaires » qu’Apollinaire et lui se plaisaient à composer. Le motif : un homme frappe en pleurant à la porte… de sa propre

- L’invitation au voyage (LIII) ; il parle d'amour. Où il décrit sa femme comme un voyage merveilleux et veut qu'ils installé ensemble Horloge LXXXV : «  Souviens toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup ! C'est la loi. Le jour décroit ; la nuit augmente ; souviens-toi ! Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. » (v17 à 20) L'Ennemi X : « Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage » (v1) «  - O douleur ! O douleur ! Le Temps

sur le monde Donnerait au soleil plus de vive clarté Aux fleurs plus de couleur plus de vitesse à l'onde Un amour inouï descendrait sur le monde L'amant serait plus fort dans ton corps écarté Lou si je meurs là-bas souvenir qu'on oublie - Souviens-t'en quelquefois aux instants de folie De jeunesse et d'amour et d'éclatante ardeur - Mon sang c'est la fontaine ardente du bonheur Et sois la plus heureuse étant la plus jolie Ô mon unique amour et ma grande folie La nuit descend On y pressent

cachait les traits de cette personne. Il me faut comme un élément déclencheur, un mot, une chanson, une personne, une odeur, une sensation,pour que tout me revienne en mémoire, très précisément. Malgré tout ceci, il y a une journée, dont je me souviens parfaitement et que rien ne pourra me la faire oublier. Ce jour, malgré le fait qu'il paraisse assez banale, a marqué comme un tournant dans ma vie. Une nouvelle étape, un nouveau chapitre. Je me suis rendu compte que je ne pouvais plus retourné