Je me souviens

handicapés. J’espère bien vous inviter l’année prochaine à son inauguration ! Dix ans plus tard, Danièle Durand, devenue présidente d’une association d’aide aux handicapés, écrit ses mémoires. Rédigez le récit qu’elle vient de raconter. C’était, je me souviens, le 24 mars. Des journalistes sont venus m’interviewer. Ce jour-là a été le plus beau jour de ma vie………. II. Lisez les récits de ces personnes. Que diront-elles dans un an en racontant la même histoire ? Françoise : Ce soir, c'est l'anniversaire

Expression écrite Je m’en souviens comme si c’était hier, quand j’étais jeune et ignorante. Le jour où je perdis ce qui m’étais le plus cher- Je me réveillai très tôt ce matin là, je n’avais pas fermé l’œil de la nuit car j’étais tellement excitée à l’idée de faire cette sortie en famille. De plus, l’odeur des crêpes que maman avait préparées me chatouillait les narines, une bonne raison de plus pour sortir du lit ! Nous devions nous rendre à la mer, à Brighton plus précisément. J’adorai cet endroit

ta mère ! Abandonne-la au ciel et à ces épines qui s'attachent à son sein pour la piquer et la déchirer. Adieu, une fois pour toutes ! Le ver luisant annonce que le matin est proche, et commence à pâlir ses feux impuissants. Adieu, adieu,Hamlet ! Souviens-toi de moi. (Le spectre sort.) HAMLET. - Ô vous toutes, légions du ciel ! Ô terre ! Quoi encore ? Y accouplerai-je l'enfer ?... Infamie !... Contiens-toi, contiens-toi, mon coeur ! Et vous, mes nerfs, ne vieillissez pas en un instant, et tenez-moi

sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois

allaient apparaître petit à petit sur mon chemin, et que la route dont je pensais être droite était en faite un réel labyrinthe. J’étais trop naïf et ignorant face au monde social. Je rêvais de m’introduire dans la haute société parisienne. Je me souviens de ces regards malicieux ainsi que des moqueries insupportables me mettant fort mal à l’aise, et m’ayant fait comprendre mon infériorité sociale dès mon arrivé. Je ne donnais aucun sens à ces railleries inutiles et infructueux. Je compris à quel

le père et la mère » La vie reprend son cours et sa routine infernale : « Les affaires la guerre le tricot la guerre » Enfin le dernier poème, celui de Louis Aragon : « La diane Française ». Ce poème célèbre la résistance, pour que l'on se souvienne de ce qu'elle a apportée ainsi que le prix que l'on a dû payer pour la liberté retrouvée. Il rend hommage à la résistance et lui donne un véritable sens. Les 3 premières strophes parlent de l'occupation ou le français est devenu étranger sur son

tout le monde est depeuplé. J’existe parce que elle * existe, sans elle je ne suis plus rien. L’idéal dans l’amitié c’est de se sentir un tout en restant deux. Ne reste jamais seule car si tu es seule tu penses, si tu penses, tu te souviens, si tu t souviens, tu pleures, si tu pleures, c’est que tu l’aimes encore.. Dieu m’a téléphoné du paradis, il a perdu son plus bel ange, ne t’inquiètes pas je ne t’ai pas dénoncé. Cupidon si je te croise je te casse tes fleches une part une, mais avant

Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous        Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   L'amour s'en va comme cette eau courante

raison, qui l'a marquée, il se lance dans une série appelée « les Expulsés ». « Je trouvais saisissant, bouleversant, ces immeubles éventrés, cette mise à nu, cette projection aux yeux de tous des traces de l’intimité de la vie des gens. Je me souviens d’une chambre d’enfant, du papier bleu, des bateaux découpés et collés qui dessinaient l’emplacement d’un lit. Cette exhibition me semblait d’une grande violence, comparable à un viol. Par ailleurs, il est évident que ces espaces déterminés par les

Histoire : Reda, du peu qu'il en sait, est né quelque part sur ce continent. Ses parents, il ne les a jamais connus. Malgré ses recherches, il n'a jamais su qui étaient ses géniteurs, ni d'où ils venaient exactement. Du plus loin qu'il s'en souvienne, Reda a d'abord grandit comme esclave sous plusieurs propriétaires, tous des démons bien entendu, plus ou moins bien traité. Les démons n'avaient pas bonne réputation en ce monde et il en avait largement fait les frais, sans pouvoir réellement