Je ne suis pas coupable

Caractéristiques du héro tragique grec 1- Personnage exceptionnel 2- Tombe sous le malheur à la suite d’une erreur commise dont il est à la fois coupable et innocent. 3- Dilemme tragique 4- Confronté à l’absolu des dieux à la fatalité du destin à laquelle il se soumet. 5- Lutte pour faire reconnaître son innocence ou pour prouver que son action est juste. Caractéristique appliqué avec Antigone de Sophocle 1- Antigone est un personnage exceptionnel car, elle fait partie

présidente, Mesdames de la Cour, Mesdames et Messieurs les juges, bonjour En ce mercredi 25 mai, je me présente devant vous pour vous guider sur une affaire, vous guider vers le chemin du juste. En effet aujourd’hui, nous allons déclarer un accusé coupable, Jafar Lazhar. C’est pour cela qu’il en est de votre devoir de rétablir la justice en prononçant une peine pour ce voyou. Je vous propose d’abord de faire un petit retour en arrière pour comprendre un peu mieux dans quoi monsieur Lazhar est-il

est le sentiment plus ou moins diffus d’avoir commis une faute. La faute précède la culpabilité. Est-ce pourtant toujours le cas ? Il y a des individus qui se sentent toujours coupables quand bien même ils n’auraient commis aucune faute. Coupable de ne pas être la hauteur, coupable de ne pas ramener un bon salaire, coupable de se sentir dévalorisé. Il y a bien une culpabilité « sévère » et injuste ! Cette culpabilité ne pourrait-elle pas aussi engendrer des fautes ? Que certains aient besoin d’humilier

fidélité ne sert qu’à faire des adultères. » « C’est en un sens à force d’étudier l’homme que nous nous sommes mis hors d’état de le connaître. » « Suffit-il de n’être jamais injuste pour être toujours innocent ? » « Qui rougit est déjà coupable, la vraie innocence n’a honte de rien. » « Les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n’ont rien. » « J’aime mieux être homme à paradoxes qu’homme à préjugés. » « La jeunesse est le temps d’étudier la sagesse

le thème de la jalousie: « jalouse » l.3, « la jalousie » l.21 Henriette ne laisse plus entrevoir d’ambigüité, elle sait que cette lettre sera lu quand elle sera morte donc plus rien ne peut l’empêcher de se dévoiler entière à Félix. Elle ce sent coupable de ne pas avoir su dire à Félix ce qu’elle ressentait pour lui, sa destinée aurai surement été différente, elle a lutter durant toute son existence contre un « despotique amour », et aurai voulu qu’il en soit autrement mais elle a choisi la vertu

mortelle pensée », et elle ne peut « souffrir un bonheur qui [l’] outrage ». Cette antithèse montre la souffrance de Phèdre, qui se sent coupable d’inceste, devant le bonheur du couple formé par Hippolyte et Aricie, pur et innocent. L’innocence de ce couple est renforcé par le chiasme « homicides mains » et « sang innocent ». Les « homicides mains » désignent Phèdre, coupable d’inceste et « sang innocent » désigne Hippolyte et Aricie. La douleur de Phèdre est aussi exprimée par son champ lexical : elle dit

héroïquement pas les Français, et les politiques locales.Cette affaire à la fois politique, juridique et médiatique aura donc abouti à sa libération, ne soulève pas l’attrait de sa culpabilité. Florence cassez est maintenant libre, mais était-elle coupable ? Pour y répondre, nous étudierons 2 points de vues : Tout d’abord celui de la France, qui soutien l’innocence de la française, puis dans un second temps, le point de vue mexicain qui est persuadé de la culpabilité de la Française. I/ Florence

décider s'il est ou non réellement coupable. Phèdre a bien souvent été considérée comme l'aboutissement de l'art racinien, comme l'héroïne tragique par excellence. Il dit lui-même dans sa préface qu'elle « n'est ni tout à fait coupable ni tout à fait innocente » (...) I une phédre excusable A. Un personnage frappé par la fatalité B. Un personnage qui résiste coûte que coûte C. Un personnage submergé qui n'a d'autre choix que de mourir II) Une Phèdre coupable A. Une conscience aiguë de la

–quel qu’il soit– dans la situation d’un juré. Lire l’Apologie, aujourd’hui comme dans l’Antiquité, c’est être mis au défi de prononcer un jugement sur Socrate. Il est accusé d’être impie et de corrompre les jeunes gens. Est-il coupable ou non coupable ? Et s’il est coupable, quelle peine doit-on lui infliger ? Comment auriez-vous voté si vous aviez été membre du tribunal en 399 ? Comment, dans votre imagination, votez-vous aujourd’hui ? Tel est le défi que l’apologie écrite propose à son lecteur

  la   foule   ne   doute   pas   c’est   que   premièrement   ça   l’arrange   de   trouver   un   coupable,   a   fortiori   juif,   et   croire   que   c’est   la   volonté  de  tout  le  monde  que  de  vouloir  trouver  au  plus  vite  un  coupable  sans  se  soucier   de   sa   véritable   culpabilité   ou   non.   Deuxièmement   l’auteur   insinue