Je sais tout

Ce matin je me suis reveillé dans cette pièce si etroite , entre ces quatre murs. Comment, je ne sais pas , pourquoi? Je ne sais pas non plus . Qui suis-je? Je voudrais le comprendre . Ce matin j’ouvre les yeux et seul le silence se perçoit , pas un bruit , je ne n’entend rien . Mes pensées se troublent , mais au fond existent-elles vraiment ? Je ne sais pas , je ne sais plus , je ne sais rien et je n’ai jamais su . Je me sens mal , mes yeux sont lourds … je ne les retient plus , ils se ferment

21 décembre 1821 Adèle, sais-tu quelle est l’insupportable idée que je veux fuir et qui revient sans cesse m’obséder depuis le dernier jour que je t’ai vue, depuis quatre jours ? Grand Dieu ! si notre mariage faisait jamais ton malheur !... Adèle, sais-tu quelle est ma jalousie ? En as-tu bien pesé, avant de songer à lier ta vie à la mienne, toutes les exigences, toute la susceptibilité ? L’autre jour, quand ta mère a dit devant moi que tu avais accepté le bras de je ne sais quel autre homme, je ne

vue? Non je suis bête! Pour toi ta lame est ta meilleur ami,mais merde! Pourquoi tu t inflige autan de dégâts? On dirait que ton corps a subit le seconde guerre mondiale! Et puis pense à tout ces gens quivt´aime et qui ne serait rien sans toi! Même si tu te dit qu il n'y en a pas détrompé toi! Merde quoi! Tu sais que tu peut pas continuer a faire sa toute ta vie? Et puis souris un peu,mais cette fois je veut un vrai sourire,pas un sourire qui cache la douleur qui t'innonde! Regarde toi tu est tellement

CHAPITRE TRENTE-HUIT TOBIAS TOURNE LA TÊTE et ses yeux sombres se posent sur moi. Il se lève. Il me vise avec son pistolet. — Lâche  ton  arme,  m’ordonne-t-il. — Tobias, tu es dans une simulation. — Lâche ton arme, répète-t-il. Ou je tire. Je  sais  qu’il  ne  me  reconnaît plus. Et Jeanine a précisé que la simulation faisait de ses amis des  ennemis.  S’il  doit  tirer,  il  le  fera. Je pose mon pistolet à mes pieds. — Lâche ton arme ! crie-t-il. — Je  l’ai  fait. Une  petite  voix  dans

raisonner Je me décourage Et puis je laisse tout tomber J'ai essayé si fort ne pas flancher J'ai trouvé des millions, millions d'excuses J'ai pensé à toutes les possibilités Et maintenant je sais que mon cœur s'arrête Tu feras de moi ce que tu voudras quand tu le souhaiteras Je te promets chaque seconde chaque moment de ma vie Maintenant, Mmmmm ... J'attends juste que tu sois là ! Mmmmm ... Je devrais t'attendre Je ne renoncerais pas Et j'ai tout mon temps Toute ma vie pour te trouver

d'habitude. Peut-être parce que tu apparais partout sauf dans ma vie. Je te vois sur les photos, sourire encore, un peu. Parfois je m'imagine que l'on joue un jeu ; c'est à celui qui craquera le premier qui perdra sa dignité. Alors on en est là. Ou tout du moins, moi j'en suis toujours là. Je me demande à qui tu parles aujourd'hui de tous tes non-dits, qui te remonte le moral et qui te connait par cœur jusqu'à te balancer tes défauts en pleine gueule les jours où il y en a besoin. Avec qui tu t'engueules

dépendante, mais pour combien de temps j'en aurais avec ma dépendance envers ton être ? Regarde ma meilleure amie ce sera pour toujours, toi j'en sais rien. Je sais même pas si je suis amoureuse ou si je m'accroche, enfin si un tout petit peu, mais vraiment un peu hein ? Tu ne me crois pas, ce n’est pas grave. Ca passera un jour, un jour j'oublierai tout mais pas maintenant, pas maintenant non, je n’ai pas envie, parce que ces mes plus beaux souvenirs. Mais dit toi bien je ne suis pas dépendante,

par un E.Coli BLSE (Béta Lactamase à Spectre Elargi), il s’agit d’une BMR (Bactérie Multi-Résistante c'est-à-dire qu’elle est insensible à 5 famille d’antibiotique). La patiente est placée en isolement de contact. Elle rejoint donc une chambre seule. Tout le matériel est dans la chambre soit une boite DASRI (Déchet d’Activités de Soins à Risque Infectieux) ainsi que le tensiomètre manuel. Un chariot est mis à disposition devant la chambre avec des sur-blouses à usage unique, des gants en vinyles et

Tafafilt c'est la mort et pourtant j'y suis née. Je m'appelle Jbara. Il paraît que je suis très belle mais que je ne le sais pas. Ca me fait une belle jambe à moi d'être belle. Je suis pauvre et j'habite dans le trou du cul du monde. Avec mon père, ma mère, mes quatre frère et mes trois sœurs. Mon père serait incapable de vous dire, si je suis belle, ma mère aussi. Ils diraient tout au plus: « C'est une fille travailleuse Jbara. » Il me pénètre et moi je ne pense qu'à mon Raïbi Jamila, un délicieux

rêve beaucoup, si tout le monde le faisait, le monde serait en paix. Et enfin dans le dernier couplet, il imagine un monde sans possession, dans le besoin de tuer ou de mourir, une fraternité humaine. Lalallalallalalalalalallalalallamamamamamalalalallalalalalla- lala lallalalalalalalalalallalalalalamamallalmamalmaa... Lallalalallalalallalalalalalalallalalllallllalalllllalalalal- alal... Lalalllllllalalll lllalalalalalalalalalalalalalallalalalallalalallallalalaalal- llla... Je sais plus quoi dire et