Je Suis Jean Valjean

cours du roman il montrerait une capacité morale sur humaine, il serait un héros (au moins dépeint comme cela par le romancier). Par exemple Jean Valjean de Les Misérables, de Victor Hugo est un personnage dans un contexte historique et réaliste mais qui se montre capable de pardon et de bonté surhumaine. L’antagoniste Javert est son opposé, poursuivant Jean Valjean avec acharnement et sans pitié. Ce romantisme de Victor Hugo où les personnages représentent clairement le bien et le mal n’est pas très

Napoléon III qu’il dénonce et dont il se moque dans Les Châtiments. Hugo se fait le porte-parole de la classe populaire, considérée alors comme une sous-classe sociale, pour en dénoncer les conditions de vie difficiles. Dans l’extrait étudié, Jean Valjean, un ancien bagnard ayant volé de l’argenterie chez un évêque qui l’avait accueilli, est arrêté par les gendarmes et ramené chez le clerc. Cependant ce dernier ne le blâme pas, ne le dénonce pas ; il ment au contraire pour le protéger, lui donne

la pauvreté. Pour Victor Hugo, les « misérables » sont, le plus souvent, des victimes de la société. Le lecteur ressent de la pitié pour des personnages comme Cosette et Gavroche (texte 7). Il ressent aussi de l'admiration pour l'honnêteté d'un Jean Valjean, dont la lutte constitue le cœur de ce roman d'apprentissage : il s'efforce de se protéger de la police, incarnée par Javert, et de sauver son âme, grâce à l'exemple de Monseigneur Myriel dont la bonté est remarquable (textes 2 et 3). La dimension

parti des plus démunis. Il fut condamné à l’exil pendant 18ans, période pendant laquelle il écrivit le roman engagé, Les Misérables. Ce roman décrit la misère sociale à Paris et la France provinciale du XIXème siècle en suivant les pas du bagnard Jean Valjean. Dans cet extrait, Victor Hugo s’arrête ici sur le personnage de Fantine qui a dû laisser sa fille Cosette chez des aubergistes malhonnêtes Les Thénardier. Elle vient de se faire renvoyer de l’usine de MrMadeleine car les femmes qui travaillent

Dissertation Sujet : Le personnage principal doit-il être obligatoirement un héros ?“Le personnage est d'abord un texte.”de Louis Jouvet, il semble être fictif, irréel de papier inventé par l'auteur. Il est au centre de l'intrigue et est le pilier du roman. Il vit les actions de l'intrigue, possède une identité et un caractère et un physique proche de l'être humain. À ce titre, le personnage principal doit obligatoirement être un héros. "Obligatoirement", ce n'est pas uniquement devoir ou des contraintes

train de créer de nouvelles relations humaines. Dans un développement argumenté, vous étayerez une telle opinion. Page 2 /3Deuxième sujet: COMMENTAIRE COMPOSE jean Valjean, l'ancien bagnard, vient de sauver /'inspecteur javert qui l'avait reconnu. javert, partagé entre le devoir et la reconnaissance, s'est résolu à laisser partir, jean Valjean. Mais il ne supporte pas d'avoir manqué à son devoir. Tlva s'accouder sur un parapet, au bord de la Seine (fleuve à Paris en France). [avert pencha la tête et

Il est décrit comme ayant des moustaches, de profondes narines et le museau d’une bête sauvage Son caractère, nous trouvons qu’il possède les instincts d’un animal Il sent la menace de Valjean, tel un lion, un tigre, ou un renard sentant la menace d’un chien Jean Val Jean Le role du jardinier rend Jean Val Jean, le guardien de la nature Il est decrivé comme un lion, le roi du monde des animaux, chargé de mener et de s’occuper de tous les autres créatures dans la nature Sa vie suit un cycle comme

sont endettés comme s'ils étaient convaincus que la fin des temps était proche... .'' ce qui le pousse a vivre sa vie comme si demain serait le dernier jour. Ce faux romans autobiographique nous emmène sur le petit nuage de l'auteur. Cosette, Jean Valjean, Cyrano, Tarzan, Oliver twist ou bien Robinson, nous fait voyager dans un rythme endiablé et aiguisé de sens qui mêlent plusieurs réflexions. Il mêle non seulement la mémoire de l'auteur mais aussi l'oubli. Ses rencontres avec des personnages

le siècle tout entier. ORIGINES Tous les auteurs s’entendent pour dire que plusieurs facteurs sont en cause dans la naissance de ce nouveau courant littéraire. D’abord, il y a ceux qu’on a nommé plus tard les « préromantiques » et qui, comme Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire et les Confessions) ou Chateaubriand au tournant du XIXe siècle (avec Atala, en 1801, René, en 1802 et le Génie du christianisme, en 1802) ont

main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés, perdus au | | | |milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. | | | |Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. | | |5 |― Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean !