Je Suis Jean Valjean

d'enfants font partie d'équipes d'adultes ; ils sont soumis aux mêmes horaires et ne sont pas mieux traités Victor Hugo cherche à travers l’exemple de Jean Valjean, ancien forçat, à montrer la difficulté pour quelqu’un possédant un passé de s’en défaire. Hugo dénonce les préjugés de la société, avec comme exemple frappant Javert qui fait de Jean Valjean son obsession, allant même jusqu’à le poursuivre à Paris. -enfants errants (Gavroche puis ses petits frères) -1ere victime de la misère, celle-ci

du Dernier Jour d’un condamné B- Grâce au choix de la focalisation omnisciente 1- Le narrateur nous oriente sur les vertus de son personnage Ex : Balzac, « historien des mœurs », mais aussi des âmes cf honte de César Birotteau // Hugo, Jean Valjean. 2- Mais aussi ses vices Ex : Maupassant, Bel-Ami Georges Duroy est le type même de l’homme cynique, calculateur et opportuniste. II- Mais parfois cette connaissance nous est interdite A- Le genre du texte éloigne le narrateur de

souvent l’antipathie du lecteur et ne les aide pas à s’évader de leur quotidien : • Le personnage de Cottard dans la Peste, par exemple. • Le couple des Thénardier ou Javert dans les Misérables : le héros de ce roman = le gentil et courageux Jean Valjean. (Ne pas oublier dans le développement de commenter les exemples, d’expliquer en quoi ils éclairent l’idée énoncée. Là, il faudrait par exemple, donner les caractéristiques et rôles des personnages dans le roman et expliquer sur quoi repose leur

personnage réaliste. Calvino, dans “Le chevalier inexistant” (texte 4), nous offre un héros irréel, il fait appel à notre imaginaire. Son courage l’aide à faire face à Charlemagne en se présentant devant lui alors que c’est un chevalier inexistant. Jean Herbillon et Claude Maury, sont les héros collectifs de “L’équipage” de Kessel (texte 5). Ils agissent ensemble malgré leur différent personnel dans un but commun : leur survie. Bardamu le héros de “Voyage au bout de la nuit” de Celine (texte 6) est

paranormaux du héros en font un personnage fictif, contribuant ainsi à l’univers désiré pour le roman. A bien y réfléchir, même les grands personnages classiques ne copient pas autant que cela la réalité : les prouesses physiques et morales de Jean Valjean en font un être à part ; la gentillesse et l’abnégation de Nana dans Nana de Zola également. Enfin, les textes surréalistes, écriture automatique sous la dictée de l’inconscient, donnent  également naissance  à des personnages idéalisés, tels 

En 1862, Hugo prend sa plume pour mettre en scène, dans un roman qui retrace la vie d’une jeune enfant que la vie a délitée, le quotidien d’un forçat tutélaire, Jean Valjean. Dans l’extrait soumis à notre étude, Hugo donne à voir l’assujettissement de Cosette, figure pathétique dont la vie est soumise à la férule atrabilaire des Thénardier qui traitent l’enfant avec mépris. Alors qu’elle doit s’acquitter d’une tâche imposée par la Thénardier, aller puiser de l’eau à la source, Cosette est animée

la solitude et la spiritualité. Le romantisme s’oppose aux Lumières et au classicisme. Partie 1 : Artiste et contemporain La Révolution de 1789 et les précurseurs du romantisme ont inspiré les écrivains. Ces précurseurs étaient : - Jean-Jacques Rousseau : Julie et le Nouvelle Héloïse  (1761), Confessions (1782), Rêveries d’un promeneur solitaire (1776-1778). Ces œuvres expriment l’harmonie entre l’homme et la nature. - Madame De Staël : Pour elle il n’y avait pas assez de sentiments

utopies. 3. Incarner une idée : le porte-parole du romancier ? Personnage qui incarne une idée, lui sert de support et se fait le porteparole de son créateur. Il prend une portée argumentative et est proche du personnage d’apologue. Exemples : Jean Valjean dans Les Misérables ; les personnages dans La Peste de Camus, au service de l’intention didactique de l’auteur (comment réagir devant le mal dans le monde ?) ; L’Alchimiste de Coelho. 4. Devenir une oeuvre d’art Au-delà de toute « utilité »

couvent des Augustines. C'est cet événement qui, selon Sainte-Beuve , conduit Victor Hugo à se retirer chez lui [3] et à entreprendre une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères , dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean . Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849). Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de La Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables

au lieu de se laisser écraser par lui. Certains sont même devenus de véritables archétypes, capables de nourrir l'imaginaire des lecteurs, au-delà des histoires dans lesquelles ils s'inscrivent. C'est le cas de Jean Valjean ou de Gavroche, héros des Misérables de Victor Hugo. Jean Valjean, par ses multiples évasions, ses efforts pour échapper au policier Javert qui le poursuit et son parcours exemplaire : le forçat devenu le bon M. Madeleine, bienfaiteur de la petite ville dont il est le maire et