Je Travaille Sur Mon Memoire D éducateur Spécialisé Sur Les Incasables

n: Jeunes face à la violence Dossier Analyse des représentations de professionnels impliqués dans deux parcours de sujets dits « incasables » Résumés Cet article expose les premiers résultats d’une recherche portant sur les trajectoires institutionnelles de jeunes dits « incasables ». A partir de la reconstitution sur dossier de deux parcours en protection de l’enfance et d’entretiens menés avec les professionnels concernés, nous esquissons un tableau des troubles et de l’environnement familial

de vie des jeunes dits `incasables´ Recherche réalisée pour et financée par l’ONED, le Conseil général du Val-de-Marne et le Conseil général du Val d’Oise Synthèse Jean-Yves Barreyre (chef de projet), Patricia Fiacre, Vincent Joseph, Yara Makdessi Août 2008 Oned – 63 Bis Boulevard Bessières – 75017 Paris - contact@oned.gouv.fr 1 La présente recherche a été sélectionnée et financée par l’ONED dans le cadre d’un appel d’offres portant sur les incasables (3 études) et co-financée

instituteur, toutefois, il fera un bref passage dans l’éducation dite conventionnelle. De 1936 à 1939, il est instituteur à Nogent où il s'occupe d'une classe d'enfants dans un IMP. Il entre au parti communiste avant 1934. Il est mobilisé en 1939, puis travaille en 1941 à l'hôpital psychiatrique d'Armentières avec des adolescents psychotiques et des délinquants dits "inéducables. "Alimentée par toutes ses expériences passées, Fernand Deligny nourrit une rancœur tenace envers les institutions et leurs modes

Boulanger Olivier Mémoire D.U Adolescents difficiles pour une approche plurielle 2011 INTRODUCTION L’origine de ce travail réside de constats que j’ai pu faire après mon arrivée dans l’équipe du réseau d’accompagnement éducatif et thérapeutique de la Ferme de Morbecque : Dans ce C.P.I (centre de placement immédiat) les enfants, demande quotidiennement aux éducateurs, un investissement en temps et en énergie. A partir de ces observations, j’ai été amené à me poser des questions :

INTRODUCTION Depuis mars 2012 je travaille par le biais d’un contrat d’apprentissage au sein d’un Institut Thérapeutique, Educatif et Pédagogique (ITEP) situé à l’ouest de Paris. Cet apprentissage est mis en place dans le cadre de la formation d’éducatrice spécialisée. Les ITEP sont les anciens Institutions de Rééducation réformés par le décret du 6 janvier 2005 n°2005-11, puis complétés par la circulaire du 14 mai 2007 (n°2007-194). Les ITEP accueillent des enfants, adolescents ou jeunes adultes

1 - 15 Jun 2012 tel-00708810, version 1 - 15 Jun 2012 Remerciements Je tiens tout d’abord à remercier mon directeur de thèse, le Professeur Henri CHABROL, pour m’avoir encouragé à réaliser ce doctorat et pour avoir accepté de diriger ce travail de recherche. Merci pour la confiance que vous m’avez toujours accordé, pour votre soutien et pour votre disponibilité. De la même manière, je remercie chaleureusement mon co-directeur de thèse suisse, Patrick Bonvin, pour son écoute, son accompagnement

REPUBLIQUE DE CÔTE D’IVOIRE ANNEE ACADEMIQUE 2008-2009 UNION –DISCIPLINE –TRAVAIL …………………………………… MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE COCODY ABIDJAN Unité de Formation et de Recherche Criminologie UFR CRIMINOLOGIE OPTION : PSYCHOLOGIE CRIMINELLE Présentée et soutenue le 15 Juillet

DE LA POLITIQUE DE LA VILLE .............................. 98 1. Une prolifération anarchique ..................................................................................................................... 98 a) L’élargissement des axes de travail ..................................................................................................... 98 b) La multiplication des outils ............................................................................................................

relation entre eux et la société et montrerai que le point commun à tous ces parcours se situe dans la rupture. Notamment, dans la première qui se présente à nous : la rupture d’hébergement. C’est alors, qu’au travers la description de réalités du travail quotidien émergera la question de l’accueil. Relativisant alors la question du « pourquoi  » citée plus haut, je montrerai que, pour nous, la question prioritaire devient plutôt celle du « comment  ». Comment, à la place qui

national et a été formalisé par la Loi de lutte contre les exclusions de 1998, qui a instauré le dispositif de veille sociale. Mais cette veille, comme pour porter une attention particulière au sommeil de ces grands exclus, se nourrit à la fois d’un travail essentiel et professionnel mais aussi de forts paradoxes. La population accueillie dans les méandres de l’urgence sociale n’est donc plus seulement cet homme boiteux à la barbe longue, c’est aussi ces sans papiers venant tenter leurs chances au sein