Je vais bien, ne t'en fais pas

électrique, elle a besoin de sa dose quotidienne de chupachups, sinon elle peut être sur les nerfs toute une journée. Elle prend soin d'elle, elle est très capricieuse et très persuasive, elle aime faire chier son monde. Son rôle dans le groupe est bien entendu chanteuse, elle chante depuis ses quatre ans.Ils sont bizarres, aimés d'un côté pour leur musique et détestés de l'autre pour leur célébrité, des quadruplés, quatre caractères différends, quatre personnes mais une seule pensée. Ils représentent

cheveux brun, mon père je ne le connais pas. J’ai un secret a vous confiée et en aucun cas a le dévoiler , c’est un secret lourd à porter pour les personne que nous sommes, je suis un être humain mais pas comme tout le monde, j’ai pas peur de la mort bien au contraire de fois pas hasard je la cherche en fessant quelque bêtise. Moi un personne qui et très pale avec les yeux assez clair dans la nuit, par énervement je peux ainsi me métamorphoser plus vite, je suis rapide quand je veux, dans les mythes

J'veux pas que tu reviennes. Je ne sais pas t'en vouloir. Je ne sais te haïr que quand tu n'es pas là. Je ne sais pas refuser tes mots. Je ne sais pas te bloquer. Je ne sais pas t'effacer. Je ne sais pas oublier, t'oublier. J'veux pas que tu foutes en l'air toutes les promesses que je m'étais faites. J'veux pas que tu me dises que t'es désolé. Parce que non, t'es pas désolé. Et parce que non, j'ai pas envie de te répondre que ce n'est rien, rien que du passé, que t'as dû changer. Parce que j'ai cru

Maintenant, tu ne peux pas savoir, tout est déjà rose, jaune, vert. C'est devenu une carte postale. Il faut te lever plus tôt, nourrice, si tu veux voir un monde sans couleurs. Elle va passer LA NOURRICE Je me lève quand il fait encore noir, je vais à ta chambre, pour voir si tu ne t'es pas découverte en dormant et je ne te trouve plus dans ton lit ! ANTIGONE Le jardin dormait encore. Je l'ai surpris, nourrice. Je l'ai vu sans qu'il s'en doute. C'est beau un jardin qui ne pense pas encore

elle ferma doucement les yeux pris une profonde inspiration et murmura -un rêve je croix. -un rêve ? s’étonna Victor , il brille tellement où l’as-tu trouvé ? -il m’appartiens … déclara-t-elle. -Ton propre rêve ? demande t-il surpris. -Oui et je vais devoir y retourner … murmura-t-elle . -Puis-je t’accompagner ? questionna-t-il. -Si tel est ton souhait. Dit-elle en lui tendant une de ses mains et laisser jaillir une vive, intense et éclatante lumière, Victor attrapa la main d’Hikari. La lumière

révélant une psychologie perturbée : le jeu sera furtif afin qu'une phraséologie trop pesante s'allège et passe la rampe. Les actrices retiendront donc leurs gestes, chacun étant comme suspendu, ou cassé. Chaque geste suspendra les actrices. Il serait bien qu'à certains moments elles marchent sur la pointe des pieds, après avoir enlevé un ou les deux souliers qu'elles porteront à la main, avec précaution, qu'elles le posent sur un meuble sans rien cogner - non pour ne pas être entendues des voisins

nous est étranger. 2. Ce qui dépend de nous est libre naturellement, ne naturellement esclave et pour un bien propre ce qui t’est étranger, tu vivras contrarié, chagriné, tourmenté ; tu en voudras aux hommes comme aux dieux ; mais si tu ne juges tien que ce qui l’est vraiment – et tout le reste étranger –, jamais personne ne saura te contraindre ni te barrer la route ; tu ne t’en prendras à personne, n’accuseras personne, ne feras jamais rien contre ton gré, personne ne pourra te faire de mal

nous est étranger. 3. Donc, rappelle-toi que si tu tiens pour libre ce qui est naturellement esclave et pour un bien propre ce qui t'est étranger, tu vivras contrarié, chagriné, tourmenté; tu en voudras aux hommes comme aux dieux; mais si tu ne juges tien que ce qui l'est vraiment -  et tout le reste étranger  -, jamais personne ne saura te contraindre ni te barrer la route; tu ne t'en prendras à personne, n'accuseras personne, ne feras jamais rien contre ton gré, personne ne pourra te faire de mal

populaires, celles qui sont comme tout le monde, belle mais un peu cruche tu vois. Mais rend toi compte des choses un peu ! Tu divague là c'est pas bon tout ça.. Moi j'aimerais que si tu m'aimes alors que tu m'aimes sincèrement  et que tu réfléchisses bien à toutes les minutes qui passent entre nous. Un jour on m'a dit que la vie n'avait de sens. C'est vrai. †  Si j'avais pu, je t'aurais offert des cadeaux, des places de cinémas, je t'aurais emmenée manger au Mc Do et je t'aurais prise en photos

dit ». (il l’arrose) Hakim : ne dit rien et regarde la scène, un peu embêté pour Jules - Surveillante : (en restant dehors) : « Tout va bien ? Y’a un problème ? » - Les garçons : « Non, non, tout va bien » - Sarah en parlant à Jules la victime : « Et toi si t’en parles à quelqu’un, t’auras des problèmes et ta sœur aussi, fais gaffe