Je vais bien, ne t'en fais pas

restes gravée dans ton coeur éternellement. » Chérie, si je gagnes au loto tu fais quoi ?- Je prends la moitié et je me casse !- J'ai gagné 3 euros, prends 1.5 € et casse toi. »  - Wesh gro ta une clope? Tete d'ma reum jte la ren!  - Sorry I don't speak wesh.  » J'aime bien les gens qui publient des statuts pas intéressant comme " pt1 jean nez marre 2 la life.." avec les points de suspensions, pour bien avoir l'air triste et qui mettent le dernier mot en anglais. On ne sait pas pourquoi

Auteur Robert FAURD - Roman « Le Nil N°5 » - Isa et Luc. Dans cette séquence, je vais montrer quelques aspect du comportement humain : la complicité entre Nine et Luc; le beau-père "Julien" qui prend le risque de laisser sa fille " Isabelle" avec un garçon pour pouvoir faire l'amour à une femme, Nine; le non refus au départ par Isabelle des attouchements de Luc; le piège de la sensualité et de l'ambiance sur une fille; la dissimulation de sa science de l'amour de Luc; le plaisir apporté par un

correspondances de Manosque». En 2000, il publie son premier roman, Je vais bien, ne t'en fais pas, aux éditions du Dilettante. Suivent aux Éditions de l'Olivier : A l'ouest, Poids léger, Passer l'hiver (Goncourt de la nouvelle 2004) et Falaises, salué par le public et la critique en 2005. Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma, dont Poids léger (mis en scène par Jean-Pierre Améris, 2004) et Je vais bien, ne t'en fais pas(2006, primé aux Césars en 2007) dont il a écrit le scénario avec

• Paroles de la saynète et de la chanson : Le professeur : Ohh là !!! Où est ce que tu t'en vas Léon ? Léon : - Ohh ma foi ! ça va ! Qu'est ce que tu fais ? Le professeur : - Comme tu vois je m'en vais planter les choux avec Louise et les enfants  Léon :- Et bien moi je vais venir avec toi ! Je vais garer mon tracteur , et je vous rejoins ! Le professeur : Mais dis moi Léon , est ce que tu as déjà planter des choux ? Léon :- Jamais  moi ! Louise et toi vous allez m'expliquer ! Le professeur :Allez

des autres filles, peur de ma jalousie. J'angoisse tu sais, c'est une angoisse perpetuelle qui me bouffe. Je n'ai plus confiance. Pourtant je t'aime, crois moi sur parole, ca oui je t'aime. Pourtant il n'y a pas d'amour sans confiance, et bien moi je t'aime. Et bien plus que je ne le montre, tu me manques souvent. Tu sais que j'ai besoin de toi, de ta voix, de tes bras, de ton sourire,... Ne me quitte pas. Tu changes. J'ai peur, de toi, de moi, de tout. Mais à chaque moment, souviens toi que moi, où

ELISE Maman, tu as 80 ans. THERESE L'âge d'une femme ne se dit pas, je te l'ai déjà plusieurs fois quand tu étais jeune, c'est moi quand même qui ait fait ton éducation donc je te prie de bien vouloir la respecter toujours à ce jour. Comme je t'ai appris à être un bon amphitryon, que tu sais très bien faire. ELISE Oui mais bon maman, tout le monde sait ici quel âge tu as. THERESE Certes, mais justement ce n'est pas une raison pour que tu le répètes si tout le monde ici présent le sait

Cela fais pratiquement une semaine que je vis ici et pour le moment tout se passe bien. Ce soir par exemple, je suis tranquillement assise sur la table de la cuisine à faire mes devoirs et recopier les quelques cours que j'ai manqué depuis le début de l'année. En fait j'ai de la chance, parce que je comprend très vite les choses, même les plus compliqués comme les maths , les sciences ou même la chimie. La professeur qui me tenait d'ailleurs par correspondante me disait souvent que j'étais douée

quatrième arrondissement, les Pluvinage. Le père est absent. La mère, Albane 42 ans femme au foyer, attend anxieusement sa fille Ivanne, 16 ans, dans le salon pendant que sa servante Suzanne plie le linge en sa compagnie. Elles conversent sur ce que peut bien faire l'adolescente dehors depuis trois heures... Scène Première.- ALBANE & SUZANNE, sa servante, IVANNE, THIBAULT. Albane, faisant les cents pas. Bon sang, mais que fait-elle ? Pouvez-vous me le dire Suzanne?! Suzanne. Malheureusement

de ce voyage. Mais ou rencontrons-nous des personnes ? Je détache mes cheveux puis enfile mes chaussons et me lève enfin m’étirant, un sourire de débile collé à mon visage. « Une belle journée s’annonce. Murmurais-je. Une très belle journée. » Je vais dans ma salle de bains, me regardant dans le miroir. J’observe longuement mon reflet dans le miroir puis grimace et pouffe de rire seul, face à ma réaction plutôt gamine. Je me déshabille lentement, ramassant mes habits que je mets dans la corbeille

blâmable. Que certains sujets importants font réfléchir. Jusqu'à atteindre l'endroit sensible qui parfois nous déchire. Responsable je le suis et des choses j'en prends conscience. Par cette cause je sais très bien à qui j'accorde ma confiance. J'ai compris, que faire du mal aux gens n'était pas bien. Que les regrets ne sont plus utiles quand la mort te parvient. Que chaque seconde nous est enlevée de notre crédit de vie. J'ai compris que sans patience, courage & volonté, on n’arrive à rien. Qu’il