Je vais bien, ne t'en fais pas

Je vais bien, ne t’en fais pas Introduction Je vais bien, ne t’en fais pas est tout d’abord une œuvre littéraire écrit par Olivier Adam en 2000. Elle fut adaptée au cinéma en 2006 par Philippe Lioret. L’œuvre traite du déni sur la mort et le refus de l’absence des proches. Ainsi nous verrons comment l’œuvre littéraire a été adaptée au cinéma. Nous y répondrons premièrement par l’étude d’une scène différente : la disparition de Loïc (p.58-67 ; t.1’05-2’25). Puis dans un deuxième temps nous

Je vais bien ne t’en fais pas Le film Résumé Lili rentre de vacances, apprend par ses parents que son frère jumeau, Loïc, a quitté la maison après une violente dispute avec son père. Les jours, les semaines passent, son frère ne lui donnant pas de nouvelles, Lili est persuadée qu’il lui est arrivé quelque chose. Elle n’arrive pas à vivre sans Loïc, cela lui semble tellement impossible, qu’elle risque sa vie en ne s’alimentant plus et se faisant hospitaliser. Ses parents se sentent impuissant

Je vais bien, ne t’en fais pas. Éliste Tellier, dite Lili, est une jeune femme qui retourne d’un voyage de vacances en Espagne avec son amie Léa. Quand elle retourne, elle se trouve que son frère jumeau Loïc a quitté la maison de famille seulement avec une guitare en raison d’une dispute avec leur père Paul. Lili appréciait beaucoup à son frère et cette nouvelles ont été très choquant pour elle, au point de retournée à ses études de BTS à contrecœur et sans enthousiasme, alors elle cesse de manger

est «  je vais bien, ne t’en fais pas », Claire a reçu des lettres de ce genre ou sois disant Loïc était parti de la maison et que il aller bien mais toute c’est lettres n’étais pas envoyer par Loïc mais par le père, en gros claire croyer que toutes aller bien mais non. 2) Mensonge cacher : Pourquoi j’ai choisi ce titre c’est très simple tout l’histoire se déroule dans un mensonge même la fin est clôturer avec un mensonge, je m’explique. Au débuts quand la famille de claire fais croire que

Le réalisateur Philippe Lioret explique ce qu'il a voulu transmettre avec Je vais bien, ne t'en fais pas : "Le livre d'Olivier Adam est beaucoup plus noir que le film, mais j'y ai trouvé matière à quelque chose d'humain, simplement, profondément, et aussi la possibilité de mettre en scène des personnages qui pourraient être nos parents, nos frères et nos soeurs. À travers l'histoire qu'il raconte, Je vais bien, ne t'en fais pas révèle les sentiments extraordinaires de gens simples. Il parle aussi de

APIFRUIT 1) L'entreprise : a) Historique Apifruit est une marque de fruits cuits sous-vide 100 % naturels. Cette entreprise existe depuis 1964 et a été améliorée au fil du temps. En 1964 ça à commencer par la création de la coopérative de Coopex, puis en 1973 il y a eu la création de l'unité de conserve de boite. En 1987, deux divisions se créent : Blue Whale pour la vente de fruits frais et Apifruit pour la transformation de fruits. L'année d'après, la coopérative du Val de Garonne est

 en criant des mots qu’elle necomprenait pas, en agitant ses mains, ses bras. Claire a eu peur, en a touchédeux mots au vigile, qui a répondu qu’il était là pour s’occuper des vols à latire, pas pour faire la police dans la rue. Sur ce, il est remonté au rayon deslégumes où, c’est bien connu, frappent les malfrats, obscurs revendeurs depoireaux et de raisins en grappes. Claire en a parlé à Maud, qui n’a rienrépondu. Il reste juste deux clients avant lui, et le type la regarde fixement enmarmonnant des trucs entre ses dents serrées

Olivier Adam, Je vais bien, ne t’en fais pas 1 “Je vais bien, ne t’en fais pas” est : - le premier roman de l’écrivain - le troisième roman - le plus récent 2 Le nom de l’auteur du livre est : Olivier Adam 3 Quel est le thème général du livre ? (un seul mot) la disparition de quelqu’un 4 Combien de parties y a-t-il dans le livre ? 4 5 Le personnage principal s’appelle : Claire 6 Où habite-t-elle ? La banlieue de Paris, un F2 à la cité des bergeries 7 Le livre

étage dans la rue des Martyrs. Depuis Loïc est parti, tous a semblé figé, rien n’a bougé. Pour moi il y était juste une question : « Où est mon frère ? « et une jour j’ai tout à coup reçu une lettre de Loïc, qui était à Portbail. Il m’a dit qu’il va bien et que je ne dois pas être inquiète. C’était comme un électro choque ma vie avait tout à coup de nouveau une signification. Je suis partie à Portbail, j’aillais chercher mon frère. Je pensais qu’il m’a besoin et que je lui manque. C’était chouette

l’histoire est de montrer avec une rare violence que la vie ne tient qu’à un fil. On ressent par le style de l’auteur que l’univers est fragile, à la limite de la chute. On essaye de savoir tout au long de l’histoire pourquoi Loïc est parti. Le roman est bien écrit car l’écrivain parvient à garder la surprise de la mort de Loïc. On ne s’attend pas à ce retournement de situation. A travers des chapitres très courts Olivier Adam ménage l’intérêt du lecteur. L’envie de poursuivre la lecture est toujours renouvelée