Je vais bien, ne t'en fais pas

ÉMILIE Ah ! tu sais me frapper par où je suis sensible. Quand je songe aux dangers que je lui fais courir, La crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi-même s’oppose : Je veux et ne veux pas, je m’emporte et je n’ose ; Et mon devoir confus, languissant, étonné, Cède aux rébellions de mon cœur mutiné. Tout beau, ma passion, deviens un peu moins forte ; Tu vois bien des hasards, ils sont grands, mais qu’importe : Cinna n’est pas perdu pour être hasardé. De quelques

parc ainsi je contemple le ciel qui est remplie d’étoiles, ma nourrice m’a dit que si un jour elle n’était plus la et qu’elle me manquait je n’avais juste à lever la tête au ciel et invoqué son nom et je ressentirai sa présence, et c’est ce que je fais maintenant depuis 5ans et je peux vous jurer que je la sens à mes côtés. Je ne pleure jamais, je me retiens car une princesse n’a pas le droit de pleurer. Cette nuit du 20 juillet je suis plongée dans mes pensées, je ne sais pas quel est mon avenir

Edouard à son père. La nuit tombait, Nestor regagna sa case. C’était une sorte de cabane sans aucun confort avec de la paille disposée sur le sol. Nestor avait de la chance : il était seul à dormir dans son habitation. Il en était d’ailleurs bien reconnaissant envers son maître. Alors qu’il s’apprêtait à s’endormir, Édouard bondit dans sa case. Il était heureux de retrouver don fidèle ami qu’il considérait comme son second père. Malgré le fait que Nestor soit fatigué, il enlaça chaleureusement

Anthologie de poémes Dans cette anthologie je vais m'intéresser a la relation,a travers les siècles, entre les poètes et le thème de la nature pour tenter de montrer que selon les époques et leur sensibilité, ce thème est utilisés de différentes manières: parfois comme une simple description d'une émotion ressentie parfois comme une métaphore de la femme ou du sentiment amoureux ou même la référence au temps qui passe parfois encore pour décrire le cycle des saisons ou l'initiation au voyage

crainte ou à quelque désir? va, sache le, je suis prêt, si je puis, à vous donner une aide entière. Il faudrait bien que je fusse insensible pour n'être pas pris de pitié à vous voir ainsi à genoux. LE PRETRE. - Eh bien ! je parlerai. ô souverain de mon pays, Oedipe, tu vois l'âge de tous ces suppliants à genoux devant tes autels. Les uns n'ont pas encore la force de voler bien loin, les autres sont accablés par la vieillesse ; je suis, moi, prêtre de Zeus ; ils forment, eux, un choix de

choses en si peu de temps, elle sentit que son pied droit était à moitié dans le vide, sur le bord du trottoir. Sa cheville se tordit vers l’intérieur. Elle tomba en avant et son arme lui échappa. Chute brutale ! Elle resta sonnée deux secondes. Un bien court instant ! Mais un instant malgré tout trop long ! Retrouvant en partie ses esprits, elle eut conscience qu’on essayait de la soulever et qu’on lui parlait. Quand toute sa conscience lui fut rendue, elle réalisa qu’un homme la 10 CONFLIT GÉNÉTIQUE

ce qu'il y avait parterre Mais maintenant que j'ai l'étiquette du bagarreur Qui peux-tu accuser ? Fumer de l'herbe m'aide à rejeter la douleur Donc y a plus rien à faire pour moi Roulant sur l'autoroute, je perd le contrôle T'inquiètes pas Je vais me crasher debout sur les freins car j'y vois plus rien Peut-être ont-ils essayé de me comprendre Que dois-je faire ? J'ai du nourrir ma putain de famille Que puis-je faire d'autre Que de devenir un voyou Insultant le monde avec les potes Putain

«  - Adélaïde, mais qu'est-ce que tu fais là, dis-donc, je m'attendais à tout sauf à toi. Oh, tu sais Wesley, peux-être que Anne-Laure a décidé de couper les ponts avec sa famille, mais elle reste ma fille, et, même si sa mort remonte a 1ans, je sais ce que tu vis, j'ai perdu mon mari moi aussi, et je resta bouche bée lorsque j'appris pour ma petite fille chérie, elle qui se portait si bien, elle avais l'air tant heureuse et si tranquille, qu'est-ce qui a bien pu se passer ? Je ne comprend pas. »

longueur en passant par le bassin et s’est logée au-dessus du genou. Aussitôt je ressens une grande souffrance et une fièvre brûlante. Les balles continuent à pleuvoir autour de moi, je risque d’être de nouveau atteint ; je fais donc tout mon possible pour me traîner dans un trou, j’ai bien du mal à m’y blottir. Le combat est terminé, tous mes camarades ont battu en retraite, et nous les blessés, nous restons abandonnés, sans soins, mourant de soif. Quelle affreuse nuit ! Rien que la fusillade, car

empestes l’air ! (Un temps.) Prépare-moi, je vais me coucher. » alors qu’il vient de se réveiller, comme lui indique Clov  les ordres deviennent comme quelque chose d’automatique chez Hammdimensions cyclique des choses  ou encore p39-40 lorsque Clov le promène dans la pièce : de nombreux paradoxes dans les répliques « A peu près ! A peu près ! »  « Il te semble ! Mets-moi bien au centre » -Hamm présente une figure