Je vais craquer

et elle raconte aux autres ce qui lui est arrivé. Que la diligence n'a libre passage que lorsqu'elle aura passé la nuit avec l'officier. Les voyageurs se rangent du même coté et mettent la pression sur Boule de Suif pour consentir. Finalement elle craque sous la pression des voyageurs et elle couche avec le Prusse. Le lendemain, tout le monde la regarde de travers, on la condamne pour ce qu'elle a fait et on la considère comme une pute de bas niveau. Boule de Suif reste seule, triste et abandonnée

patce que les princes m'intimident, mais je te préviens que les punaises ne m'intimident pas. Si tu ne fermes pas ta grande gueule, je te prends entre deux ongles et je te fais craquer. Comme ça. fait le geste. Le public se tait.) Messieurs dames, bonsoir. Roméo, Lear et Macbetha se rappellent à votre bon souvenir : moi .ie vais les rejoindG et je leur diaai bien des choses de votre parl. qui est faux. LORD MEWILL, de sa /oge. - Cabotin I KEAN. - Qui parle ? Eh I Mâis c'est Mewill3 ! ( 30

que les princes m’intimident, mais je te préviens que les punaises ne m’intimident pas. Si tu ne fermes pas ta grande gueule, je te prends entre deux ongles et je te fais craquer. Comme ça. (Il fait le geste. Le public se tait.) Messieurs dames, bonsoir. Roméo, Lear et Macbeth (4) se rappellent à votre bon souvenir : moi je vais les rejoindre et je leur dirai bien des choses de votre part. 1 Anna joue Desdémone. Cassio est, dans la pièce de Shakespeare, celui qu’Othello pense être son amant ; de

parce que les princes m'intimident, mais je te préviens que les punaises ne m'intimident pas. Si tu ne fermes pas ta grande gueule, je te prends entre deux ongles et je te fais craquer. Comme ça. (Il fait le geste. Le public se tait.) Messieurs dames, bonsoir. Roméo, Lear et Macbeth4 se rappellent à votre bon souvenir : moi je vais les rejoindre et je leur dirai bien des choses de votre part. Je retourne dans l'imaginaire où m'attendent mes superbes colères. Cette nuit, Mesdames, Messieurs, je serai Othello

parce que les princes m'intimident, mais je te préviens que les punaises ne m'intimident pas. Si tu ne fermes pas ta grande gueule, je te prends entre deux ongles et je te fais craquer. Comme ça. (Il fait le geste. Le public se tait.) Messieurs dames, bonsoir. Roméo, Lear et Macbeth4 se rappellent à votre bon souvenir : moi je vais les rejoindre et je leur dirai bien des choses de votre part. Je retourne dans l'imaginaire où m'attendent mes superbes colères. Cette nuit, Mesdames, Messieurs, je serai Othello

dire à un Modérateur qu'il connaît. →« Depuis que tu es Modérateur, tu n'es plus le même tu as changé, avant tu étais cool. » → « Tu mérites pas ton poste, tu étais déjà nul avant. Je t'aime pas toi, je vais te lancer pleins de cadeaux et je vais te donner pleins de boulot pour que tu craques et que tu démissionnes » Leurs amis seront jaloux, leurs ennemies seront en train de les harceler, etc... Le fait de rester anonyme peut éviter ce genre de situation, et beaucoup d'autres... 9 - Un utilisateur

à lui sans arrêt, je griffonne son prénom sur mes cahiers, non! C'est impossible, ça ne peut pas être possible, ça va passer, c'est juste un béguin, n'est ce pas? Je n'en ai parler qu'a ma mère et avec difficultés, comme si j'avais honte d'avoir craquer pour un garçon à peine quelques semaines après ma rupture, pourtant j’étais dévastée lorsque mon ex m'a laissée tomber, pourquoi ça m'arrive à moi, pourquoi maintenant… Je ne me sentais pas heureuse comme on est censé l’être lorsque l'on est amoureuse

grand-tante en levant le bras comme si elle allait le frapper.— Mais laisse-le, il n’est pas méchant, dit Kléber.— Moi, je vais la tuer, moi. J’ai mon vérolair !De la poche de son pantalon, Simple extirpa un pistolet d’alarme. La vieille dame poussa un cri.— Une arme ! Il a une arme !— Mais c’est une fausse, intervint Kléber.— Oui, mais on dirait qu’elle tue pour de vrai. Attention, quand je vais faire « pan », tu vas être mort. Attention, la viève dame…Simple visa posément sa grand-tante, qui se mit à hurler

intérêt à être en retard ! Taylor : En retard pour quoi ? Moi : T’es sérieuse là ? Taylor : Hein ! L’enterrement là ? C’est qui déjà ? Moi : La mère d’Alex. Taylor : C’est mort, on n’y va pas ou bien t’y vas sans moi, vu la vitesse à laquelle je vais me préparer… Moi : Taylor ! Dans dix minutes tes douchée. Taylor : Dix minutes ? Non mais je ne viens pas Stan. Vingt minutes plus tard… Taylor : Stan ! Je mets quoi ? Je n’ai rien à me mettre ! Moi : On ne va pas en soirée, on va assister

tous que la dictée est un exercice très controversé dans l’enseignement des lettres, toutefois, c’est un exercice qui peut , selon les pratiques se révéler , tout à fait inutile ou , au contraire , très constructif selon la manière de procéder. Je ne vais pas entrer dans le débat du « c’est bien, ce n’est pas bien… ». Cela n’est pas mon but , je préfère donner des outils aux autres collègues qui se posent chaque jour de nombreuses questions face à ce désastre linguistique. Tout d’abord, il est tout