Je Veux Mourir Pour Tes Beautés Maîtresse

Objet d’étude n°1 : Ecriture poétique et quête du sens du Moyen-Âge à nos jours La Muse vénale La beauté La chevelure Remords posthume Causerie Quel parcours initiatique dans le langage poétique les figures féminines des Fleurs du Mal proposent-elles ? La muse vénale Problématique : - quelles représentations allégoriques de la Muse ce poème propose-t-il ? - Pourquoi peut-on dire que ce poème est entre tradition et modernité ? Introduction : - Baudelaire est un poète de

L’enfance de Victor fut quelque peu mouvementée, partagée entre Paris et les lieux de mutation de son père, entre l’amant de sa mère (le général Victor Lahorie) et les maîtresses de son père. Alors qu’il est au lycée Louis-le-Grand, Victor Hugo semble déjà avoir une idée très précise sur son avenir. A 14 ans, il écrit « Je veux être Chateaubriand ou rien ».À dix-sept ans, il fonda avec son frère Abel une revue, le Conservateur littéraire, rédigée presque intégralement par lui. A 19 ans, le jeune

poème le poète nous parle d’une femme dont il fait l’éloge de la beauté et de la grâce, ce poème est en fait un hymne à l’amour. Histoire du poème : Ce poème est une description d’un des amours de Baudelaire nommée Jeanne Duval, qui était une créole et qui incarnait selon lui l’idéal de la femme exotique qui est séduisante et dangereuse en même temps. Tout au long du poème le poète utilise des termes qui font l’éloge de la beauté pour décrire la femme : vers2 : de ton corps si beau. /vers 14 :

alors tombèrent par hasard entre les mains de quelques personnes d'esprit ; elles m'excitèrent à faire une tragédie, et me proposèrent le sujet de la Thébaïde. Ce sujet avait été autrefois traité par Rotrou, sous le nom d'Antigone. Mais il faisait mourir les deux frères dès le commencement de son troisième acte. Le reste était, en quelque sorte, le commencement d'une autre tragédie, où l'on entrait dans des intérêts tout nouveaux ; et il avait réuni en une seule pièce deux actions différentes, dont

par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames. Elle souffrait sans

été arraché à son pays. Le tableau de Caspar David Friedrich représente vraiment ce poème car on voit un homme seul devant une mer de nuage en haut d’une falaise. On ressent la solitude ainsi que la tristesse de Charles d’Orléans mais aussi la beauté du paysage. La musique illustrant ces deux oeuvres est une musique mélancolique, «L’adagio» d’Albinoni. En regardant vers le pays de France, Un jour m’advint, à Douvres sur la mer, Qu’il me souvint de la douce plaisance Que je soulais au dit

l’herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j’ai gardé la forme et l’essence divine De mes amours décomposés ! 4 Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire (1857) 1 5 10 15 20 25 30 35 40 LXXXVIII À UNE MENDIANTE ROUSSE Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poëte chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de

loin que je n'ai cru le devoir faire. Encore s'est-il trouvé des gens qui se sont plaints qu'il s'emportât contre Andromaque, et qu'il voulût épouser une captive à quelque prix que ce fût. J'avoue qu'il n'est pas assez résigné à la volonté de sa maîtresse, et que Céladon a mieux connu que lui le parfait amour. Mais que faire ? Pyrrhus n'avait pas lu nos romans. Il était violent de son naturel, et tous les héros ne sont pas faits pour être des Céladons. Quoi qu'il en soit, le public m'a été trop favorable

loin que je n’ai cru le devoir faire. Encore s’est-il trouvé des gens qui se sont plaints qu’il s’emportât contre Andromaque, et qu’il voulût épouser une captive à quelque prix que ce fût. J’avoue qu’il n’est pas assez résigné à la volonté de sa maîtresse, et que Céladon a mieux connu que lui le parfait amour. Mais que faire ? Pyrrhus n’avait pas lu nos romans. Il était violent de son naturel, et tous les héros ne sont pas faits pour être des Céladons. 5 Quoi qu’il en soit, le public m’a été

romanesque : mort violente par une maladie qui advient bien à propos (déjà trop nombreuses dans ce roman) ; entreprises extraordinaires de l’amant rejeté, pour rechercher l’oubli et la mort (comme l’avait fait le chevalier de Guise) ; enlèvement de la maîtresse par son amant, etc.10 9 Ibid., p. 128. Collection dirigée par Henri Mitterand, La Princesse de Clèves, Madame de Lafayette, Éditions Nathan, 1989, p. 95. 10 10 PREMIÈRE PARTIE: PERSONNAGES ET VALEURS DANS LA PRINCESSE DE CLÈVES DE MADAME DE