Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

jardins de Zeus et s’endormit. Pauvreté, sans ressources, voulait avoir un enfant de lui, s’étendit à son flanc et devint grosse d’amour. Comme l’amour a été engendré le jour de la naissance d’Aphrodite, il est amoureux de la beauté (Aphrodite). Il y a un lien entre Eros et la beauté Parents d’Aphrodite : Père = Ressource Mère = Pauvreté Pauvreté (mère) : Quand je désire, il y a qch qui me manque Quand il y ale sentiment de plénitude il n’y a pas de désir L’homme

et de l’ivresse, plus précisément dans le poème Enivrez-vous. Selon Baudelaire, le temps est un poids à porter pour l’homme, il le fragilise, et lui rappelle constamment sa condition humaine de mortel et que l’homme va impuissamment vieillir puis mourir. L’enivrement peut, au contraire nous élever vers l’Idéal et nous sortir de cette condition malheureuse. Dans Enivrez-vous, Baudelaire propose de s’enivrez avec la poésie, l’alcool et la vertu. Dès lors, on peut donc se demander en quoi le temps

Le premier arbre regarda les étoiles qui brillaient comme des diamants au-dessus de lui. «Je veux abriter un trésor, dit-il. Je veux être recouvert d’or et rempli de pierres précieuses pour devenir le plus beau coffre à trésor du monde». Chant numéro 2, ou extrait. Le deuxième arbre regarda le petit ruisseau qui suivait sa route vers l’océan. «Je veux être un grand voilier, dit-il. Je veux naviguer sur de vastes océans et transporter des rois puissants. Je serai le bateau le plus beau du

attendu ce moment Pour me venir encor déclarer son amant ? Quel fruit me reviendra d'un aveu téméraire ? Ah ! puisqu'il faut partir, partons sans lui déplaire. Retirons−nous, sortons, et sans nous découvrir, Allons loin de ses yeux l'oublier, ou mourir. Hé quoi ? souffrir toujours un tourment qu'elle ignore ? Toujours verser des pleurs qu'il faut que je dévore ? Quoi ? même en la perdant redouter son courroux ? Belle reine, et pourquoi vous offenseriez−vous ? Viens−je vous demander que vous

L’auteur fait référence au mot solide pour décrire les bras de Perceval, comme quoi il est puissant et fort. Ça nous donne une impression qu’il peut maîtriser la femme facilement. Citation b : « Allez! L’anneau ! Je veux l’avoir ! » Procédé b : Accumulation Explication b : Nous pouvons observer que Perceval est agressif dans ses propos et insiste vigoureusement pour faire peur à la demoiselle et lui soutirer l’anneau

la justice : « aveu » ; « innocence » ; « liberté » l.6 -> ton moralisateur= dimension théâtrale/tragique : se met à genoux=geste d’humilité + supplications (début tirade) - « Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour, et que je veux éviter les périls où se trouvent les personnes de mon âge. »= confirme les soupçons de son mari= « éviter périls […] personnes de mon âge » -> se différencie, extraordinaire- « nulle marque de faiblesse » -> répétition « jamais » (l.2 ;4 ;9 ;10)

Je suis un homme ridicule. Maintenant ils me traitent de fou. Ce pourrait être une promotion, s'ils ne me trouvaient pas toujours aussi ridicule. Mais maintenant je ne leur en veux plus, je les aime tous, même quand ils se moquent de moi - c'est peut-être là, que je les aime le plus. Je suis triste quand je les vois. triste, parce qu'ils ne connaissent pas la vérité! , et, moi, je connais la vérité! . Avant j’étais énervé d'avoir l'air ridicule. Pas d'avoir l'air, d'être. J'ai toujours été! ridicule

commune à tous les hommes. » Boèce, De consolatione philosophiae, donne la parole à la déesse Fortune « Fais ce que voudra. » Abbaye de Thélème, Rabelais, Gargantua « Aime et fais ce que tu veux. » Saint-Augustin « »Quand je suis, la mort n'est pas, quand elle est, je ne suis plus. » Epicure « Mourir n'est rien, c'est achever de naître. » Réplique de Séjanus à Térentius, La mort d'Agrippine, Cyrano de Bergeras « Ne vouloir être plus que ce qu'on se doit être. » Vauquelin des Yvetaux, poète

préférence, grassouillette, bras et épaules nus, corsage très décolleté, poitrine plantureuse, collier de perles. ». Pourtant, elle est « enterrée jusqu'au dessus de la taille dans le mamelon, au centre précis de celui-ci ». Il y a un décalage entre la beauté de la robe et l'endroit où elle se trouve. Elle semble ne pas pouvoir en sortir. Hormis le fait qu'elle possède la moitié du corps enterré, elle est dans un lieu désert où seul son mari, Willie, peut la voir. De plus, ce dernier est « allongé par

lumière peut caractériser le « paradis ». L’œuvre littéraire : A une fleur Que me veux-tu, chère fleurette, Aimable et charmant souvenir ? Demi-morte et demi-coquette, Jusqu’à moi qui te fait venir ? Sous ce cachet enveloppée, Tu viens de faire un long chemin. Qu’as-tu vu ? que t’a dit la main Qui sur le buisson t’a coupée ? N’es-tu qu’une herbe desséchée Qui vient achever de mourir ? Ou ton sein, prêt à refleurir, Renferme-t-il une pensée ? Ta fleur, hélas ! a la blancheur