Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

on en fait tout 12 un plat alors que c’est pourtant l’événement le plus banal au monde. Ce qui m’importe, en fait, ce n’est pas la chose, c’est son comment. Mon côté japonais penche évidemment pour le seppuku. Quand je dis mon côté japonais, je veux dire : mon amour pour le Japon. Je suis en quatrième et, évidemment, j’ai pris japonais deuxième langue. Le prof de japonais n’est pas terrible, il mange les mots en français et passe son temps à se gratter la tête d’un air perplexe mais il y a un

sur trois autres poèmes s’inscrivant dans des thèmes différents de la poésie engagée, comme Nelly Sachs qui nous fais ressentir la douleur des orphelins ou René Guy Cadou qui s’attarde sur la douleur des fusillés ou Prévert qui fait une prière a la beauté du monde. Il ne nous reste plus qu’à nous laisser porter par la magie de ces textes. Arthur RIMBAUD, Le mal Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou

Vais a« Dis moi pourquoi je t'accorde toute cette importance? Dis moi pourquoi je pourrais tout te pardonner, en peu de temps? Dis moi pourquoi je t'idéalise, pourquoi je ne veux que toi? Dis moi pourquoi je ne pense qu'à toi, pourquoi j'écris tout ça, pourquoi, trop souvent, tu me manques? Dis moi pourquoi je ne supportes plus tout ça, pourquoi j'ai peur de tout perdre? Dis moi pourquoi je me souviens de tout comme si c'était hier? Pourquoi j'ai toujours cette envie de tout recommencer depuis le

le pays des TCA, demain est souvent équivoque à aujourd’hui, la semaine passée, et le mois prochain. ” Truie, tu es une grosse truie”. je sais. Mon âme est capricieuse. Pas moi, mon âme j’ai dit. Distinguer la volonté de la force maladive. je veux être normale mais mon esprit dit non. Tu mangeras 500KO demain, mais 3000 aujourd’hui. Tu pleureras ton poids et saignera ta graisse. Si tu peux vomir, tu auras de la chance, aussinon il faudra repasser. ” Dis moi ce que tu manges, je te dirai

MVMT 1: l’envie de poète à être enterré dans une simple fosse Dans une terre grasse et pleine d’escargots introduction par un complément circonstanciel de lieu pour exprimer l’idée d’enfouissement. la proposition “dans” est répétée dans le vers 4 Je veux creuser moi-même une fosse profonde, verbe d’envie + pronom personnel “je” + “moi-même” —-----> Cela marque la détermination et l’envie du poète à être enterré —> Une idée renforcée par l’adjectif “profonde” .Le poète apporte une information

gens de se regarder souvent dans une glace : « Si vous êtes beaux, disait-il, restez dignes de votre beauté ; si vous êtes laids, faites oublier votre laideur par votre savoir. »[…] Quand on vint lui annoncer que les Athéniens l’avaient condamné à mort, il répondit que la nature en avait fait autant pour eux (réponse attribuée aussi à Anaxagore), et comme sa femme se lamentait de le voir mourir injustement : « Voulais-tu donc, lui dit-il, que ce fût justement ? » Ayant rêvé qu’on lui disait

ARAIGNEE : Je n'ai pas demandé à naître. PERE : Tais-toi, insolente. Et ta mère, hein ? Elle te met au monde et elle se barre, ni vu ni connu. Tiens, une fille-araignée et adieu. ENFANT ARAIGNEE : Elle est morte. PERE : Elle s'est barrée, ni vu ni connu. Mourir, c'est ce qu’il y a de plus facile. Ce qui fait chier, c'est être ici, à supporter ta vue, jour après jour, à chasser des mouches et des crapauds pour que tu manges, à bien te régaler de vin et à te laver cette carapace dure et répugnante. ENFANT

il ne s’est trouvé aucun être humain pour oser consacrer à l’amour l’hymne qu’il mérite. Voilà comment on néglige un dieu aussi important ». P.95 #3 « … le rejet de tout ce qui est laid, et l’émulation dans le recherche de l’honneur». « oui et mourir pour autrui, c’est en toit cas ce à quoi seuls consentent ceux qui sont amoureux, et pas seulement les hommes, mais aussi les femmes ». P.98 #4 « Les dieux ont accordé comme privilège de faire remonter leur âme de l’Hadès, eh bien, son âme à elle

en 1901 à Bruxelle. [source : wikipedia] 1 Licence : Domaine public 2 « Jadis... ***** « Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute

malfaitrices. Toutes ces femmes éprises de leur personne, avaient martelé son cœur. Ainsi, l'amour sincère n'existerait - il pas? Celles-ci ne verraient - elles jamais qu'elles le faisaient souffrir? Elles n'avaient d'égard que pour la beauté de l'apparence et jamais la beauté des sentiments. Mais malgré, ces larmes qui inondaient le sol, il espérait toujours... Il espérait que ses beaux yeux verts verraient enfin sa dulcinée. Que ses grands bras forts pourraient la serrer dans ses bras et son beau sourire