Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

perdu toutes les illusions. Mais à travers son tyrannicide imminent, il tente de limiter les dégâts, en préservant une certaine unité de soi-même, ce fil qui le rattache à celui qu’il était autrefois : « Il ne se bat pas pour des idées, mais pour la beauté et la grandeur d’un acte qui pourrait lui permettre de coïncider de nouveau avec lui-même » (CatherineTreilhou-Balaudé). C- La structure du plaidoyer (la dimension argumentative de la tirade) → S’adressant à Philippe, Lorenzaccio plaide sa propre

amis de R· Rastignac qui pousse R à arrêter son travail sur la théorie de la volonté· Émile : “Tuer les sentiments pour vivre vieux ou mourir jeune en acceptant le martyre des passions, voilà notre arrêt”.· Le banquet de Taillefer, l’excès de toutes choses, la débauche· Foedora, femme sans coeur qui anéanti tous les hommes qui l’aiment “Mon nom m’ordonne de mourir plutôt que de mendier”· Les deux courtisanes “l’une était l’âme du vice, l’autre le vice sans âme” · “[…] un groupe de femmes se présenta

d’avoir des fils qui vous ressemblent ; mais je vous demande instamment, par tout l’amour que vous avez eu pour moi, de ne céder à l’empressement de vos peuples que lorsque vous aurez trouvé une princesse plus belle et mieux faite que moi ; j’en veux votre serment et alors je mourrai contente. On présume que la reine, qui ne manquait pas 6 d’amour-propre, avait exigé ce serment, ne croyant pas qu’il fût au monde personne qui pût l’égaler, pensant bien que c’était s’assurer que le roi ne

(Elle sort.) COELIO, entrant − Eh bien ! Ciuta, qu'a−t−elle dit ? CIUTA. − Plus dévote et plus orgueilleuse que jamais. Elle instruira son mari, dit−elle, si on la poursuit plus longtemps. COELIO. − Ah ! malheureux que je suis, je n'ai plus qu'à mourir ! Ah ! la plus cruelle de toutes les femmes ! Et que me conseilles−tu, Ciuta? quelle ressource puis−je encore trouver ? CIUTA. − Je vous conseille d'abord de sortir d'ici, car voici son mari qui la suit. (Ils sortent. − Entrent Claudio et Tibia. )

COELIO , entrant .mdash ; Eh bien ! Ciuta, qu’a-t-elle dit ? CIUTA .mdash ; Plus dévote et plus orgueilleuse que jamais elle instruira son mari, dit-elle, si on la poursuit plus longtemps. COELIO .mdash ; Ah ! Malheureux que je suis, je n’ai plus qu’à mourir ! Ah ! La plus cruelle de toutes les femmes ! Et que me conseilles-tu, Ciuta ? Quelle ressource puis-je encore trouver ? CIUTA .mdash ; Je vous conseille d’abord de sortir d’ici, car voici son mari qui la suit. Ils sortent. - Entrent Claudio et Tibia

Elle sort. COELIO, entrant.—  Eh bien ! Ciuta, qu’a-t-elle dit ? CIUTA.—  Plus dévote et plus orgueilleuse que jamais elle instruira son mari, dit-elle, si on la poursuit plus longtemps. COELIO.—  Ah ! Malheureux que je suis, je n’ai plus qu’à mourir ! Ah ! La plus cruelle de toutes les femmes ! Et que me conseilles-tu, Ciuta ? Quelle ressource puis-je encore trouver ? CIUTA.—  Je vous conseille d’abord de sortir d’ici, car voici son mari qui la suit. Ils sortent. - Entrent Claudio et Tibia

Hans MEMLING La Vanité Cette peinture de Hans MEMLING est une vanité mais sans la présence d'une tête de mort. Elle représente tous les plaisir futiles de la vie comme la beauté, la richesse mais on ne peut rien face à la mort. La beauté est représentée par: -Les rondeurs de la femme qui à l'époque étaient un signe de beauté -Ses longs cheveux roux couronnés d'une tresse -Le miroir qu'elle tient pour se regarder La richesse est représentée par: -Les chiens de chasse (ils peuvent chasser)

inspiré par les Muses, filles de Mnémosyne et de Zeus, et celles-ci lui permettait de manier le langage de telle façon qu'il animait les mots d'une beauté qui leur conférait un pouvoir hors du commun. Pour les grecs, la figure du poète était incarnée par Orphée, personnage légendaire qui séduisait les Dieux, les hommes et même les animaux par la beauté de son chant, accompagné de sa lyre. La thèse de Platon était que le poète était habité par une présence divine, pensant que le poème les plus parfaits

tout est perdu pour l'amant. Paul SCARRON « vous faites voir des os … » L’art du blason est l’art de décrire une partie du corps, de la femme en particulier. Cette description se fait habituellement sur le mode élogieux (laudatif), et louer la beauté de l’anatomie est une manière pour le poète de louer toute la femme et d’exprimer, sur un mode souvent ludique, son amour. Ici, Scarron renverse les règles, dans un anti-blason, la description des dents d’Hélène, pour lui déclarer toute sa haine

mains croisées, |Mon amour  | |Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. |Ma beauté  | |Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, |Et te trouver