Je veux tout

rière, qui servira pour les apparitions de Tar zan, an cours du premier et du troisième acte. Une caisse de bois renversée s'appuie contre le mur du hangar et représente le trône de Tar zan. Ce décor est tout blanc. C'est-à-dire qu'il va du blanc pur au noir presque complet, en passant par toutes les teintes de gris. Un petit arbre décharné et stérile projette son ombre sur le mur d'une maison de gauche, tandis que des cordes à linge vides traversent la scène, accro chées à un poteau croche planté

depuis toutes ces années. Et puis te voila. Tu n’étais qu’un petit garçon quand nous nous sommes perdus de vue Un petit garçon discret, peu bavard, invisible à mes yeux. Aujourd’hui je sais que c’est toi que j’attendais depuis toutes ces années. Toi qui étais juste à coté lorsque nous jouions dans la cour de récré Toi qui étais juste là et que je ne voyais pas Toi qui était là et que je n’ai pas vu s’échapper Toi que j’ai laissé filer. J’ai envie de pleurer d’avoir perdu tout ce temps

philologue et secrétaire perpétuel de l'Académie Française. 2 PENSÉES I. DE toutes les choses du monde, les unes dépendent de nous, les autres n'en dépendent pas. Celles qui en dépendent sont nos opinions, nos mouvements, nos désirs, nos inclinations, nos aversions ; en un mot, toutes nos actions. II. CELLES qui ne dépendent point de nous sont le corps, les biens, la réputation, les dignités ; en un mot, toutes les choses qui ne sont pas du nombre de nos actions. III. LES choses qui dépendent

foi. En attendant que ma dissertation résolve enfin le problème géographique qui tient toute l'Europe savante en suspens, je veux vous raconter une petite histoire, elle ne préjuge rien sur l'intéressante question de l'emplacement de Munda. J'avais loué à Cordoue un guide et deux chevaux, et m'étais mis en campagne avec les Commentaires de César et quelques chemises pour tout bagage. Certain jour errant dans la partie élevée de la plaine de Cachena, harassé de fatigue, mourant de soif, brûlé par un

point au courant de cela, vous m’avez laissé libre cours à mon imagination, j’ai essayé de reproduire ceux qui était décrit dans l’œuvre. » Jacques Vincey « La mise en scène doit aller jusqu’au bout. Je la veux froide. Les costumes doivent être sobres. » Le scénographe « Je les imaginer tout de même plus coloré... Quoi de mieux qu’un peu plus de couleurs sur certaines habits ? Cela illuminera la pièce. Et pourquoi pas quelques fantaisies ? » Jacques Vincey « Nous reviendrons là-dessus plus tard

vers. 2. Résumé de la pièce Paris, sous Louis XIV, 1666. Alceste est amoureux de Célimène, mais, à sont grand malheurs, celle-ci ne lui rend pas de manière loyal à cet amour. Célimène est une coquette médisante, qui se laisse séduire et séduit à qui veux bien s'y prendre. Lorsqu'Oronte fait entendre à Alceste, malgré le recul de celui-ci, un sonnet au goût du jour dont il est l'auteur, Alceste va de l'honnêteté et critique l'oeuvre. Au contraire de Philinte qui lui ne tarris pas d'éloge pour le poème

de vivre. Non−seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez−vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit et à gauche, partout où l'on se trouve ? On n'attend pas même qu'on en demande, et l'on court au−devant du souhait des gens : tant il est vrai que le tabac inspire des sentiments d'honneur et de vertu

Maman Excuse-moi de te fait subir tout ça, maman. Car je t'aime et tu ne mérite vraiment pas sa... Je sais que je te fait vraiment souffrir et je m'en veux beaucoup crois moi. Mais j'espère pouvoir me rattraper à l'avenir. Je suis énormément désolée de te faire mener une telle vie en ce moment. Comment te montrer que je m'en veux maman ? Comment faire pour que tu me pardonnes vraiment ? Que te répondre ? Maman, je sais le mal que je te fais, sa me fait autant mal a moi aussi. Tu pourrais me

Ah combien de % tu m'aimes?Garçon: Tu sais je t'aime plus que tout dans ce monde.Fille: 0ui.Garçon: Pourquoi tu me demandes ça??Fille: *silence*Garçon: Est-ce qu'il y a un truc qui ne vas pas ?Fille: Rien du tout. Combien tu tiens à moi?Garçon: Je voudrais te donner le monde en un battement de cœur si je pouvais.Fille: tu ferais ça?Garçon: 0uais, bien sûr je le ferais. *l'air inquiet* y-a-t-il quelque chose qui ne va pas ?Fille: Non, tout va bien.Garçon: t'es sûr?Fille: 0ui.Garçon: D'accord. Je l'espère

théâtre Je ne veux pas comprendre ISMENE – Tu sais, j’ai bien pensé, Antigone. ANTIGONE- Oui ISMENE – J’ai bien pensé toute la nuit. Tu es folle. ANTIGONE – OUI. ISMENE – Nous ne pouvons pas. ANTIGONE – après un silence, de sa petite voix – Pourquoi ? ISMENE – Il nous ferait mourir. ANTIGONE – Bien sûr. A chacun son rôle. Lui, il doit nous faire mourir, et nous, nous devons aller enterrer notre frère. C’est comme cela que ç’a été distribué. Qu’est-ce que tu veux que nous y fassions