Je veux tout

bureau. — C’est l’alouette qui chante ? NORA, tout en ouvrant quelques paquets. — Oui ! HELMER. — C’est l’écureuil qui s’agite ? NORA. — Oui ! HELMER. — Quand l’écureuil est-il rentré ? NORA. — À l’instant. (Elle remet le sac de macarons dans sa poche et s’essuie la bouche.) Viens ici, Torvald, voir ce que j’ai acheté. HELMER. — Ne me dérange pas. (Peu après il ouvre la porte et, la plume à la main, jette un coup d’œil dans le salon.) Acheté, tu dis ? Tout cela ? Le petit étourneau a-t-il de nouveau

quand le destin est fait par qui rejette la grâce. Mes enfants étaient destinés a une meilleure mort, si la grâce t’avait béni d’une meilleure vie.Richard : Vous parlez comme si j’avais tué mes neveux La reine : Tes neveux oui ! Leur faux oncle leur a tout volé : Joie, royaume, parents, liberté, vie. Quelle que soit la main qui a percé leurs tendres cœurs, c’est ta tête, indirectement, qui l’a dirigée. Nul doute que le couteau meurtrier était sans pointe ni tranchant. Avant d’être aiguisé sur ton cœur

dessus de toutes les contraintes qu'il y a entre moi et ma liberté : les lois. Mais si nous supprimons les lois, et que je peux faire ce que je veux, les autres peuvent aussi faire ce qu'ils veulent, dans ce cas je deviens vulnérable aux yeux des autres, et j’accepte que eux aussi ait le même liberté que moi, quitte à ce que la liberté des autres empêche ma liberté. On peut donc se demander s'il suffit de faire ce que l'on veut pour être libre. Soit je suis libre en faisant ce que je veux, mais dans

le croire. j'ai longtemps résisté à cette pensée, en me disant, Vladimir soit raisonnable, tu n'as pas encore tout essayé. Et je reprenais le combat. Alors, te revoilà, toi. ESTRAGON Tu crois ? VLADIMIR Je suis content de te revoir . Je te croyais parti pour toujours. ESTRAGON Moi aussi VLADIMIR Que faire pour fêter cette réunion ? Lève-toi que je t'embrasse. ESTRAGON Tout à l'heure, tout à l'heure. VLADIMIR Peut-on savoir où monsieur a passé la nuit ? ESTRAGON Dans un fossé. VLADIMIR Un fossé ! Où

de vivre; non seulement il réjouit, et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner, à droit, et à gauche, partout où l'on se trouve? On n'attend pas même qu'on en 1 D'après le marché du 3 décembre 1664 (voir la notice de la pièce), le décor du Ier acte est un palais ouvert aux promeneurs

et justifierez votre choix avec des phrases correctement rédigées. •Comique de mots : il réside dans les jeux de mots, les défauts de prononciation mais aussi d’images amusantes, de double sens. « HARPAGON. - Je crois ce que je crois ; mais je veux que tu me dises à qui tu parles quand tu dis cela. LA FLÈCHE. - Je parle... Je parle à mon bonnet. » Dans l’acte I scène 3, la Flèche fait un jeu de mot avec son bonnet. • Comique de caractère : il réside dans la personnalité, les manières, le

Je vit avec mes parents et je suie au lycée en 1er ES. Je faits du badminton et du foot en dehors du lycée. Je veux être l’enfant de dieu pour toujours jusqu’à la fin de ma vie c'est pour cela que j'ai aussi choisit de faire ma confirmation. Si aujourd'hui j'ai choisit de faire ma confirmation c'est parce que je veux aller plus loin dans la relation qu’il y a entre moi et le dieu,je veux mieux connaître dieu,mieux comprendre le dieu et vivre toujours avec lui. J'ai apprit à devenir chrétien grâce

O horror ! horror ! horror ! Shakespeare, Macbeth. Les Turcs ont passé là : tout est ruine et deuil. Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil, Chio, qu’ombrageaient les charmilles Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un choeur dansant de jeunes filles Tout est désert : mais non, seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée. Il avait pour asile, il avait

Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Chio, l'île des vins, n'est plus qu'un sombre écueil, Chio, qu'ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois 5 Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête

C'est tout! Mais j'aime à la folie... La vie est un long manteau qui traîne pour effacer ses traces... Optimisme J'aime ma vie, Malgré tous mes ennuis, Je suis telle que je suis, Je m'accepte ainsi. J'ai longtemps désespéré, A défaut d'aimer, J'aurai voulu dépérir, Pour ne plus souffrir. Mais j'ai survécu, Au-delà de toute attente, Je n'ai pas pressé la détente, Moi-même je n'y ai cru. Je ne regrette rien, Je ne vis que pour demain, En priant à deux mains, Que tout se passera