Je veux tout

l'impression que quoi je fasse, tu m'échappes. Alors je laisse le temps tout emporter. Nos baisers, nos paroles, nos rires, nos caresses, nos disputes, nos retrouvailles, tout ça deviendront que des souvenirs... Mes plus beaux souvenirs. Car malgré le mal qu'on s'est fait tu m'as apporté tant d'amour. D'ailleurs cet amour je ne le vois plus, je ne le ressens plus. Je sais pas, quelque chose a changé en nous. Il y a un an exactement tout sonnait comme une évidence. Je te comprenais mieux que personne et

Dieu, Paixhans est son prophète. Vrai but du genre humain : tuer correctement. Les hommes, dont le sabre est l’unique calmant, ont le boulet rayé pour chef-d’œuvre ; leur astre, c’est la clarté qui sort d’ une bombe Lancastre, et l’admiration de tout peuple poli va du mortier Armstrong au canon Cavalli. Dieu s’est trompé ; César plus haut que lui s’élance ; Jéhovah fit le verbe et César le silence. Parler, c’est abuser ; penser, c’est usurper. La voix sert à se taire et l’esprit à ramper.

Paris , Mademoiselle Véronique Nollet de Toulouse. PHILIPPE: Mademoiselle. VtRONIQ : Monsieur. UE PHILIPPE: Je suis désolé de vous déranger. Vous lisez .. . VtRONIQ Oh non non, pas du tout. Ça ne fait rien. UE: MME L.: Oh là là! Sept heures? Excusez-moi. Je vous laisse. [En chantant.] À tout à l'heure... PHILIPPE: À tout à l'heure ... [À lui-même] Zut! Elle est partie. [Long silence. Il tousse. À Véronique] Madame Laluy est gentille ... VtRONIQUE: Oui. PHILIPPE: Monsieur Laluy est gentil aussi. VtRONIQUE

seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. Fight Club, Tyler. - Ne pars pas avec lui, s’il te plait ! - Pourquoi ? Donne moi une raison. - Parce que tu ne le veux pas. - Insuffisant... - Parce que je ne le veux pas. - Insuffisant... - Qu’y a-t-il d’autre ? - La vraie raison... je resterai exactement où je suis et ne monterai pas en voiture... Trois mots... Sept lettres, dis-les et je suis à toi. - Je... Je... - Merci. C’est tout ce que j’avais besoin

moments sont les derniers.. J'y arrive pas, pardonne moi, c'est plus fort que moi. Je peux pas ne pas t'imaginer là-bas, le danger autour de toi. L'arme à la main, esquivant des balles qui pourrait t'enlever la vie à jamais. Toi et ta folie, pouvant tout sacrifier, tous ceux que tu aimes pour en sauver d'autres.. Excuse moi, je t'en pris, je n'arrive pas à retenir mes larmes de couler quand j'y pense Julien. Pourquoi tu pars ? Pourquoi maintenant ! C'est ton rêve ? Le mien était que tu restes là

CHAPITRE 1 Vous voyez ce tas affalé sur le canapé, pas douché ni rasé ? Le type au tee-shirt gris, sale, et qui porte un pantalon de survêtement déchiré ? Eh bien c’est moi, Drew Evans. Ce n’est pas dans mes habitudes, cela ne me ressemble pas du tout. Dans la vraie vie, je suis quelqu’un de soigné, je suis rasé de près et mes cheveux bruns sont plaqués en arrière sur les côtés. C’est ce que l’on m’a conseillé de faire en tous les cas pour avoir l’air dangereux et professionnel en même temps

histoire sympathique à vous raconter Déjà petit, enfin ados... Je me voilais un peu la face. Du genre, je pouvais me branler devant un film Gay, et j'essayai de faire comme s'il ne s'était rien passé. En 4éme, je regardais un site où il y avait toutes les stars masculines nues et j'avais trouvé un bon film que je n'ai jamais retrouvé, bref je m'égare. Donc je me voilais la face, c'est ça l'essentiel. Chapitre Premier Alors ça commence, enfin ça a commencé au mois de Mars 2007 sauf

Vérone. - Un cimetière au milieu duquel s'élève le tombeau des Capulets. Entre Pâris suivi de son page qui porte une torche et des fleurs. Pâris. - Page, donne-moi ta torche. Éloigne-toi et tiens-toi à l'écart... Mais, non, éteins-la, car je ne veux pas être vu. Va te coucher sous ces ifs là-bas, en appliquant ton oreille contre la terre sonore ; aucun pied ne pourra se poser sur le sol du cimetière, tant de fois amolli et foulé par la bêche du fossoyeur sans que tu l'entendes : tu siffleras, pour

 quelqu'un  des  miens  qu'il  veuille  encor  séduire  ?   Qu'il  joigne  à  ses  efforts  le  secours  des  enfers  ;   Je  suis  maître  de  moi  comme  de  l'univers  ;   Je  le  suis,  je  veux  l'être.  Ô  siècles,  ô  mémoire  !   Conservez  à  jamais  ma  dernière  victoire  !   Je  triomphe  aujourd'hui  du  plus  juste  courroux   De  qui  le  souvenir  puisse  aller  jusqu'à  vous

n’avais pas tord. En fait, je suis trop dur à vivre, j’ai un sal caractère. Je suis pas comme toutes ces filles toutes gentilles et extraordinaires, j’ai rien de plus qu’elle. Je ne suis bonne qu’à être folle de toi, jalouse de toutes ces personnes qui t’entourent et possessive. J’ai rien de spécial. Et toi tu as tout. Tu mérites beaucoup plus que je ne suis capable de t’offrir. Alors quand j'entend tout ce que tu dis Bryan, je me met vite un film en tête : Et si tu me prenais pour une conne ? Et