Je Vis Toujours Paul Eluard

constitue de six textes qui nous sont proposés à la réflexion. Ainsi que deux photos qui y sont lié. Nous nous appuierons ici sur les poèmes « Les cahiers de Douai » d’Arthur Rimbaud (1870) et « La victoire de Guernica » (tiré de « cours naturel ») de Paul Eluard (1935). Mais aussi sur deux extraits du roman « Les Thibault » de Roger martin du Gard (1922-40), la poésie « Calligrammes » de Guillaume Apollinaire (1918) et une lettre « Lettre à Antoine de _Derghes » d’Erasme (1514). Nous porterons également

conservant sa "musicalité". C'est ainsi qu'elle est devenue lyrique comme on peut le voir avec l'invocation et la suplication du temps "Ô temps, suspends ton vol" dans Le Lac de Lamartine ; ou engagée comme nous le montre l'appel à la "Liberté" de Paul Eluard. Si j'avais à soutenir le choix des écrits présents ici ou encore la façon dont ils sont évoqués, je dirais, pour commencer : que ce n'est pas chose facile de se voir attribuer un devoir comme celui ci : il faut plaire! Mais aussi se plaire au

Tombeau Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose  Fut le digne sujet de mes saintes amours.  Las ! Depuis qu'elle y dort, jamais je ne repose,  Et s'il faut en veillant que j'y songe toujours. Ce fut une si rare et si parfaite chose  Qu'on ne peut la dépeindre avec l'humain discours ; Elle passa pourtant de même qu'une rose,  Et sa beauté plus vive eut des termes plus courts

Sonnet XIX Prédit me fut que devais fermement Un jour aimer celui dont la figure Me fut décrite ; et sans autre peinture Le reconnus quand vis premièrement. Puis le voyant aimer fatalement, Pitié je pris de sa triste aventure, Et tellement je forçai ma nature, Qu'autant que lui aimai ardentement. Qui n'eût pensé qu'en faveur devait croître Ce que le ciel et destins firent naître ? Mais quand je vois si nubileux apprêts, Vents si cruels et tant horrible orage, Je crois qu'étaient

Ici-bas Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont courts ; Je rêve aux étés qui demeurent Toujours... Ici-bas les lèvres effleurent Sans rien laisser de leur velours ; Je rêve aux baisers qui demeurent Toujours... Ici-bas tous les hommes pleurent Leurs amitiés ou leurs amours ; Je rêve aux couples qui demeurent Toujours. René-Francois SULLY PRUDHOMME, Stances et poèmes, 1865. Songeant la nuit, bien souvent je pense être Songeant la nuit

revoirRegarde! Je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’asseoir! - Alphonse de Lamartine , « Le Lac » Figure de style : ________________________________8. Sur mes cahiers d’écolierSur mon pupitre et les arbresSur le sable de neigeJ’écris ton nom- Paul Éluard, « Liberté »Figure de style : Énumeration________________________________II. Identifiez ET expliquez brièvement

16ème siècle : 4- « De sa grande amye » - Clément Marot Le poète parle d'une demoiselle qu'il vis dans Paris et avec qui il échangea un baiser. Il dit que c'est son amie. 5- « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage » - Joachim Du Bellay Le poète est partie de chez lui (la France) pour l'Italie et il regrette sa terre natale. Il exprime son regret et son manque dans ce poème-ci. 6- « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie » - Louise Labé Ce poème traite de l'Amour et notamment des

la nature et la poésie dans un poème de R.G. Cadou ; Le lyrisme africain de Senghor ; de la poésie lyrique à la poésie engagée : Barbara, de Prévert ; Eluard, poète lyrique et engagé: “Notre vie” et “Avis” ; Dénoncer la barbarie de la guerre : « Oradour », de Jean Tardieu ; La poésie clandestine et la fraternité chez P. Emmanuel, J. Cayrol, P. Eluard et M. Cohn ; Chanter la grandeur de l’engagement R.G. Cadou: “Les fusillés de Châteaubriant” - écriture : écrire un poème d’après l’analyse d’un tableau

dehors de toute préoccupation esthétique ou morale [...] ». J'ai choisi deux poèmes à vous faire partager pour montrer une autre face, et une autre façon d'expression de l'amour totalement différente au romantisme. J'ai donc choisi un poème de Paul Eluard nommé L'amoureuse, représentatif du surréalisme car le poète imagine sa muse et son subconscient prend le dessus et voit l'amour partout. Puis, un poème de Robert Desnos, A la faveur de la nuit, qui évoque l'imaginaire et les rêveries loin de la

Problématiques de dissertation Poésie : Pensez-vous que les contraintes formelles puissent être pour le poète un obstacle à une expression libre et originale ? Paul Eluard, le poète "aimant l'amour", n'est pas tant amoureux d'une femme que de l'amour lui-même. La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l'amour, ou privilégiez-vous d'autres fonctions ? La poésie est-elle seulement l'expression de sentiments personnels ? Voyez-vous dans la poésie un simple jeu avec les