Je Voulais Juste Rentrer Chez Moi

acheter le cadeau de mariage de Lise Allard, la fille de notre voisine d’en face, qui convolait en justes noces quelques jours plus tard. Ma mère tapotait le bois verni du bout de ses doigts, signe, chez elle, de grande nervosité. Moi, j’étais caché sous la table, là où je me réfugiais chaque fois que je voulais écouter sans me faire voir ce que disaient les adultes, c’est-à-dire trop souvent à leur goût. Les grandes discussions se faisaient autour de la table de la salle à manger, les grandes décisions

j’avais à faire, et puis voilà. Cela ne faisait pas très longtemps que j’étais arrivé à Ulleungdo. Deux semaines environ. Deux semaines que je ne cesse de chercher, encore et encore. A croire que ce petit s’amuse à jouer à cache-cache avec moi, juste pour me faire mourir un peu plus. La patience était l’une de mes vertus mais je dois vous dire qu’après deux ans, elle commençait à s’estomper très légèrement … Et ce cher oncle qui ne trouvait rien de mieux que de faire ses petits suspenses à deux

études. Et, pour tout vous dire, moi, je m’en fichais. Je n’avais aucune idée de ce que je pourrais faire. D’ailleurs, ce n’était pas ce qui me préoccupait le plus. La sonnerie retentit, et le reste de la journée passa rapidement. 2. En rentrant chez moi, je déposais mes affaires dans ma chambre et m’y enfermais, comme chaque soir. Mes parents étaient là, mais c’était comme si j’étais seule, ou comme si je n’existais pas. Et encore ce soir, ils s’engueulaient. Le lendemain, au lycée, comme tous

réflexivité chez l’animal. Malgré cette conscience de soi, cela ne nous permet pas de savoir qui nous sommes réellement car si l’on était, si l’on savait qui l’on était réellement, on se trouverait si différent c’est ce qu’explique la phrase d’Alain, « Si l’on retrouvait tout entier, c’est alors qu’on ne se reconnaitrait pas » Impossible de savoir ce qui nous caractérises vraiment, c‘est le fait que l’immédiat échappe à l’homme qui explique cela. Le fait que la conscience est temporel chez l’homme

inspecteur à la police scientifique. Je me présente : Bart TERRO, inspecteur à la police scientifique depuis 10 ans. J’ai 35 ans et j’étais marié avec Marisa TERRO mais la pauvre est morte d’un accident de voiture il y a 3 ans. Je suis grassouillet (juste quelque kilos en trop). Voilà pour moi ! Je me dirige vers les lieux du crime (23, rue du général Frisquet-Volaille, Paris) avec l’équipe. Surprise ! Nous trouvons le corps de Steven et Diane Connor l’un en face de l’autre dans leur salon. Le médecin

me demande (avant de rentrer) si je veux injecter l'insuline. J'accepte (c'est la première fois pour moi). L'infirmière demande a Me. D. si elle est d'accord pour que je puisse faire l'acte. Elle est d'accord.( Droit des patients). Elle a compris le message transmis. « Dans le cas de Wiener » : l’émetteur est l’infirmière et le récepteur la patiente (il y a une rétroaction négative : il y a équilibre, homéostasie). L'acceptationJour J : ce matin à 8h, nous nous rendons chez Me. D. comme tous les

cru qu'il était plutôt quelconque  (Il fait tomber la cendre de son cigare) à en juger par la façon dont tu contemples la même page depuis plusieurs minutes. Linda : Oh vraiment ? Je devais rêvasser.. Harvey : ( Il s'adresse au public) Vient-elle juste de rougir ? ( Il marque une pause ) Elle semble amoureuse ( s'énerve ) mais pas de moi ... Linda : C'est vraiment dommage pour ton poker ce soir ! Je sais combien tu tiens à ces parties du mercredi (Elle sourit) Probablemenet parce que tu gagnes toujours

Titre original : Where Rainbows End © Cecelia Ahern, 2004 Pour la traduction française : © Éditions Albin Michel. 2005 Pour Mimmie PREMIÈRE PARTIE 1 Alex, Tu es invité à la fête pour mes 7 ans, mardi 8 avril. On a un majisien et tu peux venir chez moi à 2 heures. Ce sera fini à 5 heures. J’espère que tu viendras, Ta meilleure amie Rosie Rosie, Je viendrai à ta fête d’anniversaire maircredi. Alex Alex, C’est mardi et pas mercredi. Maman dit que tu dois pas amener Sandy. Elle sent mauvais, ton

Chloé que je parle, Chloé, écoute-moi. J’ai envie de vous emmener loin d’ici. Tu veux bien ? — ... — Tu crois que c’est une mauvaise idée ? — Je ne sais pas. — Va chercher tes affaires. Nous partirons quand tu reviendras. — Je n’ai pas envie d’aller chez moi. — Alors n’y va pas. On se débrouillera sur place. — Mais vous ne... — Chloé, Chloé, s’il te plaît... Fais-moi confiance. 7 Ma belle-mère protestait encore : — Mais enfin ! Vous n’allez pas réveiller les petites maintenant quand même ! La maison

à Chloé que je parle, Chloé, écoute-moi. J’ai envie de vous emmener loin d’ici. Tu veux bien ? -… - Tu crois que c’est une mauvaise idée ? - Je ne sais pas. - Va chercher tes affaires. Nous partirons quand tu reviendras. - Je n’ai pas envie d’aller chez moi. - Alors n’y va pas. On se débrouillera sur place. - Mais vous ne… - Chloé, Chloé, s’il te plaît… Fais-moi confiance. Ma belle-mère protestait encore : - Mais enfin ! Vous n’allez pas réveiller les petites maintenant quand même ! La maison n’est