Jean-Antoine de Baïf

rédigés en latin) Les auteurs : Pierre de Ronsard (1524-1585): Odes, Les amours de Cassandre, Sonnets pour Hélène,... Poésie lyrique et engagée. Joachim du Bellay ( ): Regrets, L'Olive, Défense et illustration de la langue française,... Jean Antoine de Baïf Jodelle Jean Dorat Les principes et thèmes des poètes de la Pléiade - L'imitation des "anciens" (l'antiquité gréco-latine) dont les oeuvres sont considérés comme des modèles. Il faut également s'appuyer sur les oeuvres des écrivains de la renaissance

Au 16ème siècle, de nombreux poètes font partis du groupe de huit de la Pléiade composé de Joachim Du Bellay, Etienne Jodelle, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf, Jacques Peletier, Pontus de Tyard, Jean Dorat ainsi que le très célèbre poète Pierre Ronsard. Il publie « Une beauté de quinze ans enfantine » en 1552. Ce sonnet fait partie du recueil de poème, les Amours de Cassandre, écrit pour une jeune fille de 15 ans qu’il a rencontré à l’âge de 21 ans.

de Baïf; mais une grave maladie le rend à demi-sourd; il doit donc réorienter son avenir. Ronsard ne fait pas d'études littéraires régulières, il apprend sous l'influence de beaucoup d'écrivains, d'abord auprès de l'hellénistre français Jean Dorat qu'il a comme maître, au collège de Coqueret.Il fréquente des poètes, des humanistes, des clercs, des gens de cour; il y participe activement à la vie des premiers salons et à l'activité de l'Académie de poésie et de musique, créée par Jean Antoine de Baïf

cousin est comte du Piémont) se passe heureusement, au contact de la nature. C'est à la faculté de droit, à Poitiers, que du Bellay rencontre Pierre de Ronsard, qu'il suivra au collège de Coqueret. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décideront de former un groupe de poètes appelé la Pléiade. Jacques Pelletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay écrit alors une thèse : Défense et illustration de la langue française. En effet, l'objectif de

tiennent de nombreuses réunions. Parmi ceux qui fréquentèrent son salon, on retrouve Maurice Scève et Pernette du Guillet qui appartiennent, comme elle, à l’école lyonnaise. Il y a eu aussi d’autres poètes comme Jacques Peletier du Mans et Jean-Antoine de Baïf qui deviendront plus tard membres de La Pléiade. Mais son charme et le fait qu’elle dirige ces réunions provoquent la jalousie, elle est cataloguée de femme facile et trop libre. Ses écrits, trop voluptueux ou trop satiriques, renforcent la

quoi est lié ce mouvement littéraire ? La pléiade est un mouvement issu du 16e siècle regroupant 3 grands poètes amis, âgés de 20 à 25 ans, qui ont décidés de mettre en avant la langue française a la place du latin. Pierre De Ronsard, Jean-Antoine De Baïf, Joachim De Bellay. Ce dernier rédige un manifeste, « défense et illustration de la langue française. » Ce mouvement est lié à la renaissance. Humanisme Et en quoi consiste le mouvement nommé : le classicisme ? On parle de classicisme

cousin est comte du Piémont) se passe heureusement, au contact de la nature. C'est à la faculté de droit de Poitiers que du Bellay rencontre Pierre de Ronsard, qu'il suit au collège de Coqueret. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décident de former un groupe de poètes appelé la Pléiade. Jacques Peletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay écrit alors une thèse : Défense et illustration de la langue française. En effet, l'objectif de la

sociétés littéraires ou savantes, des œuvres de bienfaisance, des aides à des familles nombreuses, aux veuves, aux personnes défavorisées ou qui se sont distinguées par l’accomplissement d’actes de dévouement ainsi qu’un certain nombre de bourses : Jean-Walter-Zellidja, Neveux, Corblin, Damade. Historique[modifier | modifier le code] Article connexe : Histoire de la langue française. La Coupole, où se réunissent les académiciens lors des séances publiques. Les origines de l'Académie se trouvent

religieuse, si l'on se rapporte à la publication importante en France de nombreux recueils de chansons polyphoniques à quatre parties. Le XVI ème siècle apporte la spontanéité, la vivacité et le rythme à la chanson populaire. En 1571 le poète Jean Antoine de Baïf fonde une Académie de musique et de Poésie, fréquentée entre autre par des poètes de la Pléiade comme Ronsard. Ils souhaitent unir musique et poésie à la manière des Grecs et des Latins. En Italie naît un genre très proche de la chanson française

Carpe Diem – Elsa Marpeau – 2006Auteurs : Les poètes de la pléiade Pierre de Ronsard (1524-1585) « le Prince des poètes », c’est le chef de file de la Pléiade. Il chante les joies simples et terrestres. Il invite sa dame à « profiter du jour présent » avant que a beauté ne se fane. Mais ce rappel des affronts infligés par le temps constitue également une louange détournée de la poésie. Tout passe sauf le génie