Jean-Baptiste Oudry

était au centre de l’univers. Cette vision de l’HPE, vu comme la tentative pour reconstituer une histoire faite d’erreurs, d’errements et de mise au points qui sont peu utiles à la compréhension des phénomènes. On peut donc prendre comme exemple Jean-Baptiste SAY où dans son cours d’économie politique pratique qu’il a rédigé en 1828, il disait « l’histoire d’une science ne ressemble point à une narration d’événements… ». Dans les années 1950 et dans les décennies qui ont suivi jusqu’en 1975, il n’y

 Vulgarisateur d’Adam Smith sur le continent, Jean-Baptiste Say fut incontestablement un grand pédagogue. Mais son apport théorique personnel se limite à la loi des débouchés que les Américains dénomment loi de Say : globalement, toute offre engendre sa propre demande, si bien qu’il n’est pas envisageable que des désajustements autres que sectoriels (pas assez de ceci, trop de cela) se produisent au sein du système économique. En particulier, Say écarte l’idée que des crises de surproduction (ou

voit par cette postérité inattendue d’un des fondateurs de l’école libérale, l’importance des définitions et l’influence majeure que peut exercer dans l’histoire une erreur théorique relativement mince dans son point de départ. Il faudra attendre Jean-Baptiste Say et Frédéric Bastiat pour parvenir à une définition mûre du travail, comme service rendu par l’homme à d’autres hommes quelle que soit la forme extérieure (valeur ajoutée par le travail à une matière première ou service direct) revêtue par ce

amélioration de nos terres, l’école de nos marins, le nerf de notre guerre, la terreur de nos ennemis » Thomas Mun, England’s Treasure by Forraign Trade, 1664. « Le commerce est la source de la finance, et la finance est le nerf de la guerre » Jean-Baptiste Colbert, Lettre à l'intendant de Rochefort, 1666. « Il est rare que des gens du même métier se trouvent réunis, fût-ce pour quelque partie de plaisir ou pour se distraire, sans que la conversation finisse par quelque conspiration contre le public

Molière Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 en l'église Saint-Eustache, et mort le17 février 1673 à Paris à l'âge de 51 ans, est un dramaturge, comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Ces principaux œuvres : Titre de l’œuvre Genre de l’œuvre Date de création Résumé bref L'Avare Comédie en cinq actes et en prose 9 septembre 1668  L'Avare est une comédie de Molière en 5 actes (comportant respectivement

des différences dans le succès reproductif selon les caractères portés par ces organismes. Ces mécanismes sélectionnent donc au fil des générations certains caractères plutôt que d’autres. On retient de l'histoire deux grands noms : En premier, Jean-Baptiste Lamarck qui a énoncé la théorie suivante : ce sont les animaux qui s'adaptent à leur environnement. Cette théorie n'était pas complément fausse : en effet on observe un changement des les caractéristiques des espèces mais cela n'est pas l'animal

de la lumière et des arts. Versailles, un instrument du pouvoir royal Beaucoup de monde vit à Versailles autour du roi : sa famille, ses conseillers et ministres, des membres de la noblesse, de très nombreux domestiques et aussi des artistes. Jean-Baptiste Lully, compositeur français d'origine italienne, surintendant de la musique de Louis XIV. Molière, auteur et acteur de pièces jouées à Versailles Versailles est le lieu de fêtes somptueuses et nombreuses au temps de Louis XIV : le roi aime la

publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras Léon 9 PLAN I. LE COURANT LIBERAL A. Le courant classique 1. Le modèle de l’Homo oeconomicus - L’individualisme des agents économiques - L’affirmation

monument d'inspiration Façades, sculptures et décors extérieurs La Poésie par Francois Jouffroy La Musique instrumentale par Eugène Guillaume la Danse par Jean-Baptiste Carpeaux, au musée d'Orsay Le Drame lyrique par JeanJoseph Perraud L'Opéra Restaurant - Palais Garnier Statue de Jean-Philippe Rameau Statue de Jean-Baptiste Lully Statue de Georg Friedrich Haendel Avant-foyer ou foyer des Mosaïques Bibliothèque de l'Opéra Garnier Salle Opera Garnier Grand vestibule Balcons et

respectivement 2, 5, 16, 5 et 6 scènes) en prose (sauf les entrées de ballet qui sont en vers), représentée pour la première fois le 14 octobre 1670, devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. La musique est de Jean-Baptiste Lully, les ballets de Pierre Beauchamp, les décors de Carlo Vigarani et les costumes turcs du chevalier d'Arvieux. Dans cette pièce, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le genre de vie des nobles. Ce spectacle