Jean Bodin

d'une famille de cinq enfants, comprenant son frère Paul (1829-1897) et ses trois sœurs : Anna, née en 1836, Mathilde, née en 1839, et Marie, née en 1842. En 1829, les Verne s'installent au 2 quai Jean Bart où naissent Paul, Anna et Mathilde. En 1840, nouveau déménagement dans un immeuble imposant de la rue Jean-Jacques Rousseau, proche du port, où naît MarieN 2. Statue de Jules Verne enfant à Nantes En 1834, à l'âge de six ans, il est mis en pension dans une école tenue par une certaine Mme Sambin

que  l'état  possede  les  pouvoirs  de  lui  même.  Georg  Jellinek juriste allemand disait «  l'Etat est indépendant car il a la compétence de sa compétence ».      Le  concept  de  souveraineté  est  lié  a la pensée d'un homme qui l'a forgé : Jean bodin lui aussi juriste  de  l'ancien  regime  proche  du  roi  qui  a  écrit  « les  6  livres  de  la  république »  dans  lequel  il  a definit  pour  la  premeire  fois  ce  qu'est  la  souveraineté.  Avant  elle  n'existait  pas.  Le  pouvoir  judiciaire 

lui-même consent à céder une partie de sa souveraineté, il n’est pas contraint. Pour Jean Bodin (XVI) la souveraineté est un attribut essentiel de l’Etat : «  La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d’une République ». Nul pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut donc être anéantie. Cependant elle n'est pas sans limite : elle s'exerce uniquement sur le domaine public. Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté. C'est

mettent en avant la notion de Souveraineté. Ils utilisent en particulier ce vieil adage : « Le Roi de France est Empereur en son Royaume ». Ainsi le Roi est assuré d’être reconnu à l’intérieur comme à l’extérieur. Par la suite, des auteurs comme Jean BODIN donneront à ce concept des contours plus précis. Dans «Les six livres de la République » (1576) il donnera la définition suivante : « la souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d’une République ». La souveraineté est d’abord un pouvoir

principe de la République est le Gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple » (Lincoln) Il faut tout d'abord définir ces deux termes. La souveraineté populaire permet à chaque citoyen de détenir une part de souveraineté, comme le dit Jean Jacques Rousseau, qui se traduit par un régime de démocratie directe ce qui entraîne le Suffrage Universel. La souveraineté nationale, elle, est détenue par la Nation, c'est-à-dire un ensemble fictif qui se délimite par les citoyens présents, passés

mettent en avant la notion de Souveraineté. Ils utilisent en particulier ce vieil adage : « Le Roi de France est Empereur en son Royaume ». Ainsi le Roi est assuré d’être reconnu à l’intérieur comme à l’extérieur. Par la suite, des auteurs comme Jean BODIN donneront à ce concept des contours plus précis. Dans «Les six livres de la République » (1576) il donnera la définition suivante : « la souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d’une République ». La souveraineté est d’abord un pouvoir

de la question sociale, Paris, Fayard, 1995). 2 Cf. J. Mathiot, « Politique et économie chez Jean-Jacques Rousseau », in Rousseau anticipateurretardataire, Presses de l’Université de Laval, L’Harmattan, 2000, p. 19-39 ; A. Eyssidieux-Vaissermann, « Rousseau et la science de l’économie politique dans L’Encyclopédie », Kairos, n° 18, 2001, p. 47-73. 2 Le consentement à l’impôt : Rousseau, Locke et Bodin Rousseau justifie d'abord l'impôt en se référant à la notion de consentement. La notion est cruciale

se retrouvent donc menacées et il n'y a plus que comme droit la loi du plus fort. Réfléchir sur l'état de nature de l'homme permet une réflexion sur la nature même de l'Etat et sur ce que les théoriciens du contrat appellent le Contrat social. Jean-Jacques Rousseau est un philosophe du dix-huitième siècle qui réfléchit sur le contrat social dans son oeuvre Du Contrat Social. Pour lui, l'homme à l'état de nature est libre mais égoïste et c'est ce penchant pour l'égoïsme qui menace cette liberté

puînés. Mais sous l’influence des légistes, les droits des apanagistes furent restreints à partir de la fin du XIIIe. En outre, l’inaliénabilité des droits du prince se manifesta par la révocabilité de ses donations qui se manifestèrent au XIVe. Jean II le Bon intègre dans son ordonnance de réforme du 3 mars 1357 une prescription générale contre les aliénations. Devenu roi de France, il insère une clause relative à l’inaliénabilité du domaine dans le serment du sacre. Avec l’Edit de Moulins,

principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer l’autorité qui n’en émane expressément ». D’autre part, la souveraineté populaire (1793) exercée par le peuple, selon le Contrat Social de Jean Jacques Rousseau : « supposons que l’Etat soit composé de 10 000 citoyens, chaque membre de l’Etat n’a pour sa part que la dix millième partie de l’autorité souveraine ». Le constituant français n’a jamais réellement choisi entre ces deux conceptions